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15 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
11 octobre 2024
QUESTION : Bonjour, J'ai un client qui sépare son lisier de porc en solide et en liquide. Il exporte tout le lisier de porc. Le liquide chez un receveur et le solide chez un autre. En ce moment il ne caractérise pas, mais je crois que ce serait la meilleure solution pour lui pour comptabiliser la quantité produite en solide
et en liquide par année avec des analyses associées. Pour l'instant puisque la caractérisation est en cours, comment est-ce que je détermine les analyses à utiliser pour la portion liquide et pour la portion solide? Pour le total produit par année, j'utiliserais les valeurs CRAAQ pour connaitre le total théoriquement produit par les animaux, mais je ne suis pas certaine comment déterminer l'analyse de chaque portion. Qu'est-ce que vous proposez? RÉPONSE : Pour ce qui est des élevages porcins sous gestion solide ou en séparation des phases solides et liquides, le CRAAQ n’a publié aucune valeur référence. Par conséquent, l’agronome n’a d’autres choix que d’utiliser les données résultant de la caractérisation des fumiers d’une autre entreprise qui opère la même conduite d’élevage pour établir les ratios en éléments fertilisants des 2 phases ou d’utiliser les données d’une autre source fiable (organisme gouvernemental ou de certification ou revue de littérature) si vous réussissez à en obtenir. Dans ce cas plus précis, des résultats de caractérisation issus d'entreprises ayant une régie d'élevage similaire et ayant effectué les caractérisations séparées d'un surnageant et d'un fond de fosse pourrait servir de comparatif pour établir les ratios en éléments fertilisants pouvant être associés à chaque phase. Vous devrez toutefois tenir compte du rapport C/N qui sera probablement différent dans une phase solide et qui affectera la disponibilité et la charge nette apportée en azote. Comité de coordination effluents d'élevage Quant aux valeurs totales pondérées en concentration d’éléments fertilisants, vous devrez vous référer aux valeurs disponibles
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19 juin 2020
RÉPONSE: Les calculs de l’ingénieur et de l’agronome répondent à deux objectifs différents. Les calculs de l’ingénieur visent à évaluer la capacité d’entreposage d’un lieu d’élevage, alors que les calculs de l’agronome visent à évaluer la production annuelle de phosphore d’un lieu d’élevage dans le but de réaliser un bilan
de phosphore répondant aux exigences réglementaires du REA. Nous vous rappelons que le guide du CRAAQ précise que les valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation des élevage actuels et que l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives est la caractérisation des effluents d’élevage. (page 4 du guide) Dans une demande de CA, le MELCC analysera les calculs des professionnels en tenant compte des consensus et règles de l’art établis dans chacune des professions. Donc, il est très possible que les valeurs de volumes utilisées par l’ingénieur soient différentes de celles utilisées par l’agronome. Dans la situation que vous proposez, comme il s’agit d’un nouveau lieu d’élevage, il a été convenu que l’agronome utilise les valeurs références du CRAAQ pour établir la production annuelle de phosphore dans sa demande de CA. (page 5 du guide) Par la suite, la caractérisation des effluents d’élevage permettra d’évaluer les volumes correspondant à la situation réelle du lieu d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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19 juin 2020
QUESTION : Lorsqu'une entreprise prévoit installer des trémies sèches avec bols économiseurs d'eau en production de porcs engraissement, faut-il utiliser les valeurs de références validées pour porcs en croissance avec trémies-abreuvoir ou sans trémies-abreuvoir? À priori, lorsqu'on consulte la note 7 de la grille du CRAAQ,
il faudrait utiliser sans trémies-abreuvoir puisque cette catégorie incluait les systèmes avec économie d'eau. Cependant, les ingénieurs utilisent 4.2 L/jours (donnée avec TA) lors de l'utilisation de trémies sèches et bols économiseurs d'eau, lequel est contraire à la note de la grille de référence, par contre, les structures construites ne débordent pas. Également, il est inscrit dans la note que les systèmes avec économies d'eau étaient sous représentés lors de l'échantillonnage laissant sous-entendre que le volume établit de 6.8L pourrait être inapproprié pour un système avec économie d'eau. Que devons-nous utiliser dans un tel cas? Comment le volume peut être jugé adéquat pour la détermination du volume par les ingénieurs pour le dimensionnement des structures d'entreposage, alors que selon la grille de référence, 6.8 L (sans TA) doit être considéré plutôt que 4.2 L (avec TA)? RÉPONSE : Le nouveau guide du CRAAQ « Valeurs références pour les volumes et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage », précise que ces valeurs peuvent être utiles lors de la valorisation par épandage des déjections animales pour la planification de la fertilisation des cultures et pour l’établissement de la production annuelle de phosphore (P2O5) d’un lieu d’élevage. Le guide précise aussi que les valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation des élevages actuels et que l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives est la caractérisation des effluents d’élevage. D’ailleurs, les valeurs références pour la production porcine proviennent d’un projet de recherche initié en 2000. Donc, en réponse à votre question,
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13 mai 2016
QUESTION: Nous avons un intégrateur qui est en train de faire modifier des porcheries d'engraissement conventionnelles en porcheries "Certified Humane". La certification demande de passer d'une gestion liquide à une gestion sur litière accumulée, une diminution du nombre de porcs/parc, des délais plus longs pour l'engraissement,
etc. Je me demandais si vous aviez des références utilisables pour m'enligner dans la réalisation de PAEF. Je me demandais aussi comment gérer la caractérisation de ces lieux d'élevage. Par exemple, mon client a transformé une de ses porcheries au mois de décembre (donc, en gestion liquide pendant 3 mois, un vide pendant 6 semaines et 4 mois de la nouvelle gestion avec litière accumulée.) D'autres porcheries ont été transformées au printemps ou le seront au cours de l'été. Finalement, dois-je prendre le protocole pour le solide ou le liquide? RÉPONSE: Pour ce qui est de la caractérisation, elle devra être réalisée lorsque le mode d’élevage sous gestion solide aura été effectif pendant au moins douze mois. À ce moment, le protocole de caractérisation des fumiers (production d’œufs de consommation) devra être utilisé. En attendant les valeurs issues de la caractérisation des déjections animales, vous pouvez utiliser les valeurs d’une caractérisation des déjections animales de ce lieu d’élevage valide ou les valeurs références publiées par le CRAAQ en 2007 pour les porcs sous gestion liquide. Pour ce qui est des élevages en conversion sous gestion solide, le CRAAQ n’a publié aucune valeur référence. Par conséquent, l’agronome n’a d’autres choix que de faire réaliser des bilans alimentaires correspondant à chaque phase de croissance, d’utiliser les données résultant de la caractérisation des fumiers d’une autre entreprise qui opère la même conduite d’élevage que celle projetée par votre client ou d’utiliser les données d’une autre source fiable (organisme gouvernemental ou de certification ou revue de littérature) si vous réussissez à en obtenir.
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31 juillet 2015
QUESTION : Quelle valeur de production de phosphore doit-on considérer pour les porcs lourds (120 kg) ? Suivant les valeurs références (CRAAQ 2007), un gain de poids de 80,3 kg pour les porcs équivaut à un rejet de 3,93 kg P2O5, soit 0,049 kg P2O5/kg de gain (en rotation et avec réduction eau dilution). Peut-on utiliser
ce même critère pour les porcs lourds, gain de 95,3 kg X 0,049 kg P2O5/kg gain = 4,67 kg P2O5? RÉPONSE : Nous vous rappelons que l’entreprise agricole est tenue de procéder à la caractérisation des déjections animales selon un protocole reconnu, soit le protocole de caractérisation des lisiers de porc, publié par le CRAAQ en 2008. Donc, votre PAEF devra faire l’objet d’une recommandation à cet égard pour la saison de culture 2010. En l’absence de données issues d’une caractérisation, il est convenu que le conseiller utilise les valeurs références les plus récentes, notamment les valeurs références pour la production de porc publiées par le CRAAQ en avril 2007. Selon cette référence, la production de phosphore par unité d'inventaire (place), pour un élevage en rotation avec système d’économie d’eau, serait de 3,93 kg de P2O5 (1,8 m3 X 0,95 X 2,3 kg P2O5/t). Cependant, le tableau I (1) de l'Ordre des agronomes du Québec précise que lorsque les effluents d'élevage n'ont pas été caractérisés et que le conseiller présente des valeurs supérieures aux fourchettes (moyenne majorée de l'écart-type) proposées par la référence du CRAAQ, celles-ci sont acceptées, mais l'agronome doit fournir des explications. Comme l'augmentation des rejets de phosphore pour des porcs plus lourds ne se fait pas de façon proportionnelle, le conseiller devra valider cette valeur à l'aide d'un bilan alimentaire. Cette façon de faire serait valable dans le cas d'une entreprise qui possède déjà des bâtiments en production. Dans le cas d'une entreprise qui n'exploite pas ou ne possède pas encore de bâtiment, et qui présente une demande de certificat d'autorisation, l'absence d'historique
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31 juillet 2015
QUESTION : J'aimerais savoir si un élevage de porcs à l'engrais qui utilise des "assiettes" (machines à auges) est considéré comme un élevage avec "trémies-abreuvoirs" (ça donne un plus petit volume de lisier, mais une plus forte analyse). RÉPONSE : Selon mes informations, ce type de distributeur de moulée serait
comparable à des bols économiseurs d’eau. Cependant, le CDPQ n’a pas réalisé de tests sur cet équipement. Il serait opportun de contacter le vendeur d’équipement pour plus de précisions. Toutefois, je vous rappelle qu’il est préférable de comparer (étape d’interprétation des données) les données issues de la caractérisation aux données issues de la méthode du bilan alimentaire (interprétation des résultats), parce que les données références sont de moins en moins représentatives de la réalité. Il faut se rappeler que les valeurs références CRAAQ-2007 proviennent de l’étude Chaudière-Appalaches réalisée en 2000 et 2001. Cette étude précise que même si les producteurs utilisaient de la phytase, la concentration en phosphore de l’alimentation n’était pas ajustée en conséquence (voir note 5, page 5 CRAAQ-avril 2007). Comité de coordination effluents d’élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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31 juillet 2015
QUESTION : J’aurais souhaité que vous m’apportiez quelques éclaircissements concernant le document `` Valeurs références pour les volumes et pour les concentrations d’éléments fertilisants en production porcine CRAAQ 2007`` et plus précisément sur les coefficients d’inventaire (IM), présentés au tableau de la page 5. Pour
le porcelet sevré en bande, celui-ci est de 0,99. Si je considère la définition donnée en page 3, celle-ci se lit comme suit : ``L’inventaire moyen annuel s’obtient en calculant le nombre total de jours d’occupation du bâtiment d’élevage par chaque porc de l’élevage par période de 365 jours et tient compte des vides sanitaires et des mortalités. Ainsi, l’unité d’inventaire (UI) exprime des informations par unité d’inventaire moyen annuel``. Pour les élevages de mes clients, l’application de ce coefficient avec le nombre de place-porcelet n’exprime malheureusement pas la réalité de l’UI. Les élevages en bandes varient légèrement, mais ont tous sensiblement des UI qui se rapprochent de l’exemple suivant : (L’exemple ne tient pas compte des mortalités) Pouponnière fictive de 100 places IM= ((100 porcelets * 50 jours) + (100 porcelets * 51 jours) + (100 porcelets * 49 jours) + (100 porcelets * 51 jours) + (100 porcelets * 49 jours) + (100 porcelets * 50 jours) + (100 porcelets * 25 jours) = 32500 jours-porcelet/365 jours = 89,04 porcelets Donc, pour 100 places de pouponnière, l’UI est de 89 porcelets et le coefficient associé serait de 0,89. Si on applique ce coefficient sur 365 jours, on obtient le nombre de jours de présence dans le bâtiment, soit 325 jours, ce qui donne 40 jours de vide sanitaire ou une moyenne de 6,15 jours de vide par lot. Si ma compréhension de la façon de calculer le coefficient d’IM est bonne. Je me pose la question suivante : qu'est-ce qui expliquerait un coefficient IM de 0,99 pour les porcelets en bande ? Selon ce coefficient, nous aurions donc moins de 4 jours de vide sanitaire annuellement. Il semble peu probable que la moyenne
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31 juillet 2015
QUESTION : J'ai un client qui fait du porc de 6-120 kg en bande ce qui veut dire qu'il prend les porcs après le sevrage jusqu'à la fin. Je me demande comment convertir les volumes de la grille CRAAQ 2007 de porcelets sevrés et porcs en croissance pour avoir mon volume total à la fin de l'année ainsi que l'analyse du lisier.
Je ne peux pas prendre les deux volumes et les additionner puisque je n'ai pas les deux catégories en même temps pendant toute l'année mais en alternance. Je ne peux pas utiliser les données de la caractérisation pour l'instant puisque la production n'est pas encore commencée. RÉPONSE : Selon le cas que vous présentez, nous comprenons que le bâtiment reçoit les porcelets après le sevrage, et ceux-ci sont engraissés jusqu’à 120 kg. Par conséquent, il est effectivement difficile d’appliquer les calculs de la référence CRAAQ 2007 pour la production porcine pour évaluer la production annuelle de phosphore et les volumes de lisiers produits car ni le mode de production, ni les poids à la sortie ne correspondent à la référence. Toutefois, il serait possible d’avoir recours à deux méthodes. Des données publiées par le CRAAQ en 2005 proposaient des valeurs de charges de phosphore (P2O5) par 1 000 kg de gain de poids. Cette référence indiquait une charge de 7,9 kg de phosphore/1 000 kg de gain pour les porcelets (5,3 à 25 kg) et de 14,9 kg de phosphore/1 000 kg de gain pour le porc en croissance (26 à 105,3 kg) avec trémies-abreuvoirs. Donc, à partir d’une projection de gain de poids total par phase de croissance, il serait possible d’estimer une production annuelle de phosphore. Pour ce qui est du volume de déjections animales produites, la même référence indiquait un volume de 5,2 l/kg GPM (gain de poids moyen) pour les porcelets et de 6,3 l/kg GPM pour le porc en croissance. Cependant, la façon la plus juste de procéder serait d’évaluer la production annuelle de phosphore à partir d’un bilan alimentaire d’un bâtiment déjà existant et ayant ce mode de production
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31 juillet 2015
QUESTION : Je sais que l'annexe VII sert à établir le kg P2O5 au C.A afin de savoir s'il y a des démarches à faire. Je suis en train de faire un PAEF pour du porc lourd, je me suis fait dire que dans l'annexe VII dans la catégorie suidé, il avait tenu compte du porc lourd. Donc, dans mon PAEF doit-on changer l'analyse
du CRAAQ 2007 en phophore pour mon cheptel pour que j'arrive à la même charge de P2O5. Exemple : j'ai 1000 porcs au C.A = 4750 kg de P2O5 techniquement moi qui ai le même cheptel devrait arriver au même kg phosphore ou presque et non utiliser l'analyse du CRAAQ 2007. Merci de m'aider pour savoir quoi utiliser pour le porc lourd. RÉPONSE : Peu importe la valeur apparaissant à l’annexe VII du REA, vous avez à déterminer la valeur à utiliser pour préparer le PAEF et le bilan de phosphore de votre client. Dans un premier temps, vous devez demander à votre client de vous signifier son intention par rapport à l’obligation de caractériser les déjections animales de son entreprise si elle est visée dès 2011 (production annuelle de phosphore du ou des bâtiments d’élevage dont la gestion est sous fumier liquide et la production annuelle est supérieure à 5000 kg P2O5. Cette quantité est déterminée à partir de la méthodologie fixée à l’article 50.01 (annexe VII)). Si son entreprise est visée dès 2011 et qu’il choisit de caractériser, vous devez utiliser les valeurs que vous jugez adéquates pour son cheptel, à savoir les valeurs références du CRAAQ de 2007, les valeurs d’une autre source que vous jugez fiable ou encore les données d’une caractérisation que vous jugez fiable pour cet élevage de porcs lourds. Nous vous rappelons que les valeurs références CRAAQ 2007 pour la production de porcs en croissance visent des élevages dont le gain de poids moyen est au maximum de 80,3 kg/tête. Si son entreprise est visée dès 2011 et qu’il choisit de ne pas caractériser, il choisit donc de se soumettre aux valeurs de l’annexe VI, vous devez donc utiliser la valeur de la catégorie
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31 juillet 2015
Je suis agronome au club agro de l’Estrie et je me demandais quelle référence utilisée pour le fumier de porc sur litière 20-107 kg pour le calcul du volume et de l’analyse du fumier ainsi produit. Nous n'avons malheureusement aucune source d’information à vous donner, pour repère, concernant la litière de porc. Par contre,
si votre producteur fonctionne depuis plusieurs années avec la gestion solide des effluents d’élevage, il connaît sûrement le nombre moyen de voyages d’épandage annuellement nécessaires pour vidanger toutes ces déjections. Comme il est possible de mesurer le ou les véhicules de transport et d’épandage, on peut donc déduire le volume total produit annuellement. À partir de la charge totale d’une production sous gestion liquide, on peut obtenir la concentration moyenne estimée pour le troupeau en divisant cette charge totale par le volume calculé ci-dessus. Sauf pour les résultats de concentration d’azote, car le rapport C/N peut affecter les charges réelles. S’il s’agit d’un projet de porc sur litière, votre client n’a évidemment pas d’historique d’épandage sous ce mode. Il faudra alors trouver un ou des producteurs qui fonctionnent sous ce mode de gestion des fumiers pour évaluer les volumes à produire par le nouvel élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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