Ajouté à Mes favoris.

Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire
Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

S'informer

Le savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

Chargement en cours

Filtrer la recherche 
  • Sujet(s) :
  • Production(s) :
Format
Type de contenu
Date de début
Date de fin
Régions

Q&R BCEE - Entreprise en transition vers la gestion solide

Base de connaissances effluents d'élevage

QUESTION: Nous avons un intégrateur qui est en train de faire modifier des porcheries d'engraissement conventionnelles en porcheries "Certified Humane". La certification demande de passer d'une gestion liquide à une gestion sur litière accumulée, une diminution du nombre de porcs/parc, des délais plus longs pour l'engraissement, etc. Je me demandais si vous aviez des références utilisables pour m'enligner dans la réalisation de PAEF. Je me demandais aussi comment gérer la caractérisation de ces lieux d'élevage. Par exemple, mon client a transformé une de ses porcheries au mois de décembre (donc, en gestion liquide pendant 3 mois, un vide pendant 6 semaines et 4 mois de la nouvelle gestion avec litière accumulée.) D'autres porcheries ont été transformées au printemps ou le seront au cours de l'été. Finalement, dois-je prendre le protocole pour le solide ou le liquide?


RÉPONSE: Pour ce qui est de la caractérisation, elle devra être réalisée lorsque le mode d’élevage sous gestion solide aura été effectif pendant au moins douze mois. À ce moment, le protocole de caractérisation des fumiers (production d’œufs de consommation) devra être utilisé. En attendant les valeurs issues de la caractérisation des déjections animales, vous pouvez utiliser les valeurs d’une caractérisation des déjections animales de ce lieu d’élevage valide ou les valeurs références publiées par le CRAAQ en 2007 pour les porcs sous gestion liquide. Pour ce qui est des élevages en conversion sous gestion solide, le CRAAQ n’a publié aucune valeur référence. Par conséquent, l’agronome n’a d’autres choix que de faire réaliser des bilans alimentaires correspondant à chaque phase de croissance, d’utiliser les données résultant de la caractérisation des fumiers d’une autre entreprise qui opère la même conduite d’élevage que celle projetée par votre client ou d’utiliser les données d’une autre source fiable (organisme gouvernemental ou de certification ou revue de littérature) si vous réussissez à en obtenir. L'utilisation du bilan alimentaire pourra aussi, dans une certaine mesure, servir d'outil selon certains critères afin de déterminer la charge de phosphore produite par le lieu d'élevage.
 

Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.


  Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage

Auteur(s) : Comité de coordination effluents d’élevage
Date de publication : 13 mai 2016

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.