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13 octobre 2023
QUESTION : Un producteur a des vaches de race Galloway Écossaise qui sont au pâturage à l’année longue. Puisque les valeurs du CRAAQ ne sont pas représentatives du fumier produit par ses vaches, il souhaite caractériser le fumier de ses vaches au pâturage. Est-ce réalisable ? Si oui, quel est la procédure à suivre ? Comment
mesurer les volumes produits puisqu'il n'y a pas de hauteurs de fosse ou de nombre de voyage qui peuvent être comptabilisés ? Il possède toutes les données de poids de ses vaches, est-ce qu’il est possible d’utiliser ces données pour mesurer la quantité de fumier produit par vache ? RÉPONSE : Voici une réponse donnée à une question similaire posée antérieurement : «Pour évaluer la quantité de fumier laissé au pâturage, nous devons nous rabattre sur la littérature scientifique. Il existe deux façons de procéder selon que l’on utilise les valeurs références CRAAQ-2003 ou des valeurs réelles issues d’un protocole de caractérisation reconnu. Façon de procéder avec les valeurs CRAAQ-2003 : il suffit de faire un prorata à partir du nombre de jours passés au pâturage. Par exemple des génisses laitières (11 jours à 15 mois) qui passeraient 100 jours au pâturage. 3.6 tonnes/tête X (100/365) = 0.98 tonne par tête 0.98 tonne par tête X valeur de l’analyse CRAAQ-2003 = Charge fertilisante totale laissée au pâturage Nous convenons que même si nous savons que la déjection laissée au pâturage ne contient pas de litière, la charge fertilisante totale est la même, car la paille n’apporte que très peu de phosphore. Façon de faire avec les données réelles issues d’une caractérisation : Dans un contexte de caractérisation des valeurs réelles, les valeurs obtenues nous donnent la charge fertilisante annuelle entreposée et vidangée lors de la valorisation sur le terrain. Pour calculer la charge totale annuelle produite par le troupeau, il faudra ajouter, à la charge entreposée, celle laissée au pâturage pour chaque catégorie d’animaux (génisse, vache adulte). La seule
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13 avril 2023
QUESTION : Normalement, pour connaître la densité des fumiers selon les valeurs de références du CRAAQ, nous divisons la valeur de masse par la valeur de volume. Cependant, dans le cas des poulette et poules pondeuse en production d'oeufs de consommation, il y a aussi la valeur de masse volumique, dont le résultat c'est
pas tout à fait le même que lorsqu'on calcul masse/volume. Laquelle de ces deux valeurs devrait être utilisée comme densité pour convertir la masse du fumier en volume? RÉPONSE : L'utilisation de la masse volumique et du volume par tête est la méthode retenue pour l'évaluation de la masse de déjections produites par un cheptel de poulettes ou de poules pondeuses et pour en évaluer la charge phosphore. Des explications supplémentaires sont données aux pages 12 et 13 du «Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d'éléments fertilisants dans les effluents d'élevage» quant aux disparités des valeurs moyennes pour ces types d'élevage. Des exemples de calcul y sont aussi présentés. https://www.agrireseau.net/documents/113500/guide-valeurs-references-pour-les-volumes-et-les-concentrations-d_elements-fertilisants-dans-les-effluents-d_elevage?a=1 Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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17 mars 2021
QUESTION: Y-a-t-il un pourcentage minimal devant être caractérisé lorsque les déjections animales de bovins laitier sont sous forme solide avec purin ? Pour le lisier de porc, on parle de 60% . Situation où il y a eu un total de 6 chantiers de réalisé dans l'année, devait-il y avoir un nombre minimal de chantier devant
avoir une analyse/pesée ? Par exemple, une analyse au printemps et une à l'automne est-ce suffisant ? RÉPONSE: Conformément au protocole de caractérisation sur les fumiers solides, chaque chantier d’épandage doit faire l’objet d’un échantillon de fumier avec un minimum de 15 prélèvements. Donc, dans le cas que vous nous présentez, le fumier solide de bovins laitiers doit être échantillonné à chaque chantier d’épandage. En ce qui concerne les pesées de fumier, le protocole recommande de procéder à la pesée de cinq chargements répartis à intervalles réguliers (selon la fréquence de prélèvement) sur l’ensemble du volume de fumier épandu. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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09 février 2021
QUESTION: Bonjour à vous, nous travaillons pour un club en agroenvironnement (Réseau de lutte intégrée Orléans inc.) et nous avons des nouveaux clients qui doivent effectuer la caractérisation de leur fumier avec nous. Nous savons que la caractérisation prend 2 ans sur 5 années de production. Puisqu'il s'agit de nos premiers
clients où nous devons suivre la caractérisation nous avions quelques interrogations. La caractérisation sera bientôt complétée (presque la fin du 2 ans de caractérisation). Exemple que la caractérisation a débuté en 2019, si elle termine en 2021 est-ce que cela signifie qu'elle sera adéquate jusqu'en 2024 et que nous devrons commencer la nouvelle caractérisation en 2024 ? Nous sommes simplement un peu perdus à savoir quand débuter une nouvelle caractérisation à savoir si la première caractérisation de 2019 est comprise ou exclus du 5 ans de production RÉPONSE: Selon l’article 28,3 du règlement sur les exploitations agricoles, « la caractérisation prévue aux articles 28.1 et 28.2 doit être effectuée, pour chaque période de 5 ans d’existence du lieu d’élevage, au minimum 2 années consécutives comprises dans cette même période de 5 ans ». Donc, les deux années de caractérisation des effluents d’élevage sont comprises dans le cycle de 5 ans. Dans le cas que vous nous présentez, une nouvelle caractérisation devra débuter en 2024. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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15 avril 2020
QUESTION: J'ai un client producteur de volaille qui a fait le choix de ne pas caractériser ses fumiers et d'utiliser l'Annexe VI car il gère plusieurs sites et la plupart du fumier qui y est produit s'en va en transformation. Sur un de ses sites comportant 6 poulaillers, on y fait l'élevage en rotation de poulets à griller,
dindons lourds (section pouponnière, 0-40 jours), dindons lourds (section engraissement, 40-120 jours), dindons légers (section pouponnière, 0-40 jours) et dindons légers (section engraissement, 40-80 jours). Le fumier de chacun des types d'élevage mentionnés ci-haut est géré séparément. Mon producteur a conclu une entente d'épandage avec un voisin pour lui envoyer seulement le volume de la section dindons lourds (engraissement) et ce receveur voudrait caractériser ce fumier importé pour recevoir le maximum de fumier plutôt que d'utiliser les valeurs Annexe VI. Ma question est la suivante: Comme agronome au dossier, est-ce que je peux continuer d'utiliser les valeurs Annexe VI selon la volonté de mon client pour tous les types de fumiers qui sont produits sur ce site, SAUF pour le fumier de dindons lourds (engraissement) qui serait caractérisé par l'agronome du receveur en question? RÉPONSE: Le REA est assez explicite lorsqu’il s’agit de calculer la production annuelle de phosphore selon une caractérisation des effluents d’élevage. L’exploitant doit mandater l’agronome pour caractériser les déjections animales qui sont produites sur le « lieu d’élevage ». La production annuelle de phosphore découlant des résultats de caractérisation doit être prise en compte pour la réalisation de tout bilan de phosphore. Par conséquent, l’exploitant ne peut caractériser une portion d’un lieu d’élevage, et utiliser les valeurs de l’annexe VI pour l’autre portion. C’est l’un ou l’autre pour l’ensemble du lieu d’élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base
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10 février 2020
QUESTION: J'aimerais m'informer si je peux utiliser les valeurs obtenues seulement pendant 1 an de caractérisation. Un nouveau site d’élevage pondeuse d'incubation, produit moins de 45 % fumier que les valeurs calculée avec les références CRAAQ pour le même type d’élevage. Par contre, la charge de phosphore est seulement
20 % plus élevéeque les valeurs du CRAAQ. 100 % de fumier produit en 2019 est caractérisé. La caractérisation continue en 2020. Je veux savoir si je peux utiliser la premiere année de la caractérisation pour valider mes capacités de réceptions? Cet été, je vais être en mesure de valider la caractérisation au complet. Sinon, la ferme sera obligée de prendre des faux engagements avec ses receveurs. RÉPONSE:Nous avons toujours maintenu que deux années de caractérisation étaient nécessaires pour valider les données utilisées pour réaliser le bilan de phosphore d’une entreprise. Donc, votre bilan de phosphore 2020 devra être réalisé avec les données références CRAAQ, avril 2007, pour la production d’œufs de consommation. Toutefois, afin de faciliter l’exportation des volumes de fumier, il est permis d’utiliser les volumes réels de l’entreprise, notamment ceux estimés à partir de la première année de caractérisation. Par la suite, en divisant la production annuelle de phosphore (kg) estimée à partir de la référence CRAAQ, par les volumes réels (tonnes) de l’entreprise, vous pourrez déduire une teneur (kg/tonne) (N-P2O5-K2O). Lorsque les deux années de caractérisation seront complétées, vous pourrez alors utiliser les valeurs réelles pondérées pour réaliser le bilan de phosphore, le plan de fertilisation et la planification des exportations de fumier. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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22 mars 2019
QUESTION: Avez-vous des références concernant les caractéristiques des eaux de lavages des bâtiments de poule? Je dois faire une estimation de ce que peuvent apporter (N-P-K) les eaux de lavage afin de les épandre dans un champ. Quelqu'un a déjà fait une analyse de ces eaux? RÉPONSE: Aucune valeur référence n’existe pour
ce type d’effluent. Par conséquent, une caractérisation sera nécessaire pour en évaluer les charges fertilisantes. Comme il s’agit d’un effluent liquide, le protocole de caractérisation qui s’applique est celui pour la production porcine. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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27 septembre 2018
QUESTION: Un producteur a 3 poulaillers dont un pour poules en liberté avec litière, et 2 pour poules en cage sans litière. Ils ont 3 fosses. Le fumier du poulailler 1 va dans la fosse 1, le fumier du poulailler 2 va dans la fosse 1 ou 3 et le fumier du poulailler 3 va dans la fosse 2 ou la fosse 3. En 2016, j'ai commencé
un processus de caractérisation. En 2016, il y avait des poules dans les poulaillers 2 et 3 et du fumier dans les 3 fosses. En 2017 et 2018, il y avait des poules dans le poulailler 1 seulement. En 2017, du fumier dans les fosses 1 et 3 seulement. Et en 2018, du fumier dans la fosse 1 seulement. Comment faire une caractérisation avec toutes ses données et tous ces mélanges? J'ai des données pour 2016 et 2017 pour les analyses de fumier. RÉPONSE: Premièrement, il est important de procéder conformément au protocole de caractérisation des fumiers tel que présenté sur la Base de connaissances effluents d’élevage au lien suivant : Protocole validé - Production oeufs de consommation (mars 2013). Dans le cas que vous nous présentez, vous devrez réaliser la caractérisation pour les deux catégories d’élevage, soit les poules en cages et les poules en liberté. Pour chaque catégorie d’élevage, vous devrez obtenir des données sur deux années. Conséquemment, si pendant un cycle d’élevage, les 2 catégories d’élevage sont présentes dans le lieu d’élevage, les deux types d’effluents d’élevage ne devront pas être mélangés de façon à procéder aux deux caractérisations distinctement. À partir du cheptel (nombres de poules) et des résultats de caractérisation, il vous sera possible de calculer la charge fertilisante par poule, et ce, pour chaque catégorie d’élevage. Vous pourrez par la suite valider vos résultats avec les résultats d’un bilan alimentaire. Donc, vous comprendrez le rôle important du conseiller dans la planification de la caractérisation et la vulgarisation du processus de caractérisation auprès du producteur. Comité de coordination effluents d'élevage
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20 avril 2018
QUESTION : J'ai bien lu toutes les informations sur la caractérisation des fumiers de poulets à griller mais je voudrais être certaine de bien comprendre. Mon producteur exploite 3 bâtiments et fait 6 élevages par année. Donc, je dois prendre un échantillon d'un des 3 bâtiments 6 fois durant l'année (1 bâtiment différent
à chaque élevage). La principale production est du mâle à griller. Est-ce bien ça? RÉPONSE : Nous vous invitons à lire le document Adaptation des protocoles de caractérisation : pourquoi et selon quels principes sur la Base de connaissances effluents d’élevage. Pour chaque type d’élevage, le Comité effluents d’élevage recommande : - au moins 2 échantillons et au plus 6 échantillons par site d’exploitation (lieu d’élevage); - au moins 1 échantillon par bâtiment; - pas plus d’un échantillon par période d’élevage afin de répartir l’échantillonnage sur plus d’un élevage. Donc, pour votre exemple de 3 bâtiments, vous devrez prendre 3 échantillons au total. Prendre 1 échantillon par bâtiment, et à des périodes d’élevage différentes. Chaque échantillon doit être composé de 15 prélèvements. Aussi, au moins 5 pesées devront être prises à intervalles réguliers selon le volume de fumier sorti. Et ce, pour chaque catégorie d’élevage. Par exemple, s’il y a 2 catégories d’élevage, vous prendrez 6 échantillons. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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12 mars 2018
QUESTION : Mon client produit des brebis, des agnelles de remplacement et des agneaux lourds et légers. Nous sommes actuellement en train de caractériser son fumier solide qui est conservé dans un abri à fumier, à l'abri des précipitations. Le fumier a été pesé à chaque chantier d'épandage pendant 2 ans (2 chantiers par
année). Il appert que le fumier épandu à l'été a composté tout l'hiver et le printemps, alors le N-NH4 est presque nul et le phosphore est concentré, alors que le fumier appliqué à l'automne est frais, il contient donc plus d'azote, une valeur N-NH4 plus élevée et moins de phosphore en concentration. Croyez-vous que je puisse traiter ces données en faisant une moyenne pondérée, ou je devrais traiter le fumier d'été (composté) comme un effluent et le fumier d'automne (frais) comme un deuxième effluent? RÉPONSE : Pour ce qui est des résultats utilisés pour fin de calcul du bilan de phosphore, comme il est question de phosphore total annuel, une moyenne pondérée est jugée satisfaisante pour la réalisation du bilan de phosphore. Toutefois, en ce qui concerne les valeurs utilisées pour le plan de fertilisation, il serait plus précis de vous créer 2 types de fumier car, comme vous le précisez, la quantité d’azote ammoniacale est très variable d’un type de fumier à l’autre. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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