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1265 documents disponibles
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02 avril 2025
Les oiseaux champêtres, comme le Goglu des prés, la Sturnelle des prés et l'Hirondelle rustique, déclinent dans les paysages agricoles en raison de facteurs tels que les monocultures, les pesticides et la dégradation des habitats. Ce projet sur quatre ans visait à préserver leur habitat avec l'aide des agriculteurs en Estrie,
notamment dans la MRC des Sources, du Val-Saint-François et du Haut Saint-François. Il mettait en place des aménagements pour améliorer les habitats des oiseaux champêtres en milieu agricole.
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Nouveau
28 mars 2025
Avant de remplir ce questionnaire d’autoévaluation des initiatives de biodiversité de votre ferme, nous vous invitons à prendre connaissance de la fiche portant sur la biodiversité ou à faire et avoir terminé la visite terrain. Ce questionnaire est un livrable d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture
durable.
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Mise à jour
28 mars 2025
Mes deux grands-pères, ainsi que mon père possédaient chacun une érablière. J’ai donc été initié très jeune au métier de sucrier et tout au long de ma vie, j’ai vu évoluer les techniques de cueillette et du traitement de l’eau d’érable. Lorsqu’en 1983, je prends possession de l’érablière de mon père, située à Saints-Anges
de Beauce, le dépérissement des érablières au Québec est pratiquement à son paroxysme. En effet, dans mon exploitation, plus de 30 % des sujets sont gravement affectés. À cette époque, je travaille en recherche et développement au ministère de l’Environnement. Dans le cadre de mes fonctions, je collabore directement à l’établissement d’un réseau de collecte des précipitations à la grandeur du Québec et au développement de nouvelles méthodologies pour l’analyse des pluies acides. De plus, je fournis un apport technique important au ministère des Ressources Naturelles pour leurs programmes de recherche sur le dépérissement des érablières. Ce document comporte un texte complémentaire : L'Homme qui plantait des érables : les résultats d'une expérience. Ce document a été présenté avec la collaboration du MAPAQ et ses partenaires lors des Journées acéricole 2019 sous le thème: «Comment s'assurer d'une meilleure production?»
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26 mars 2025
Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) aimerait bonifier l’offre de formation en santé des sols destinée aux producteurs et aux conseillers afin de favoriser l’adoption de pratiques bénéfiques pour la santé et la conservation des sols. Deux sondages ont ainsi été réalisés en vue d’évaluer
les besoins pour chaque type de clientèle. Nous invitons les producteurs et les conseillers qui le désirent à remplir le sondage qui leur est destiné d’ici le 14 mai 2025. Sondage auprès des producteurs : LIEN Sondage auprès des conseillers : LIEN
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24 mars 2025
Cette conférence a été présentée à la journée INPACQ grandes cultures du 5 février 2025. Dans un premier temps, un portrait de la situation sera dressé montrant que 90 % des sols Montérégie souffrent d’affaissement de l’horizon de surface et de compactage en profondeur au point où la productivité agricole en est affectée.
Dans un second temps, nous regarderons comment on peut conserver la santé physique ou restaurer celle-ci dans ces sols. Dans un troisième temps, nous présenterons l’impact économique à court terme et à long terme de la dégradation, un facteur largement sous-estimé dans le choix des scénarios alternatifs de production en culture intensive.
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24 mars 2025
Cette conférence a été présentée à la journée INPACQ grandes cultures du 5 février 2025. La présentation aborde l'impact du paysage et des cultures de couverture sur les ravageurs et organismes bénéfiques. Le tout avec des exemples de comment faire concrètement à l'échelle de la ferme.
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24 mars 2025
Cette conférence a été présentée à la journée INPACQ grandes cultures du 5 février 2025. Pour chacun des ennemis suivants : nématode à kystes du soya, tache goudronneuse du maïs, amarante tuberculée Brève description (identification, à ne pas confondre, etc.) Quelques informations sur la biologie (cycle, facteurs de
risque, etc.) Comment ça arrive dans un champ, quels sont les impacts Méthodes de prévention et de lutte
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21 mars 2025
Ce guide technique présente les résultats du projet « Nichoirs artificiels et sites d'hivernage des bourdons dans les cultures fruitières du Québec » réalisé à l’Université Laval. Il présente trois types de nichoirs artificiels pour bourdons testés durant ce projet (2022-2025), en incluant les détails
de leur construction, de leur installation et de leur entretien.
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21 mars 2025
Ce projet visait à développer des aménagements sur les fermes fruitières permettant de favoriser la conservation des bourdons et de pérenniser leurs populations. Nous avons étudié l’habitat requis par les reines bourdons durant deux phases clés de leur cycle de vie, soit la nidification et la diapause hivernale. Afin d’augmenter
le nombre de sites de nidifications disponibles, quatre types de nichoirs artificiels (en bois sous terre, en bois hors du sol, dans un pot en terre cuite ou en béton) ont été installés sur des fermes de pommes, de bleuets en corymbe et de canneberges. Le taux d’occupation des nichoirs, les espèces de bourdons les occupant et la présence de parasites/prédateurs ont été évalués. Le projet a également permis de caractériser les sites de diapause hivernale grâce à la télémétrie. Nos résultats révèlent que le nichoir en bois au-dessus du sol permet d’obtenir de meilleurs taux d’initiation du nid et d’établissement de colonies, similaires au nichoir en bois sous le sol. Il est cependant davantage victime des pyrales parasites. Les deux chambres du nichoir en béton permettent d’obtenir des résultats intermédiaires, alors que les pots en terre cuite sont inefficaces pour l’établissement de colonies de bourdons. Nous démontrons également que les vergers et les bleuetières de bleuet en corymbe sont de meilleurs endroits que les cannebergières pour déployer un réseau de nichoirs artificiels. Nous recommandons l’installation de types de nichoirs variés dans ces deux cultures pour favoriser la présence et la diversité des bourdons.
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21 mars 2025
Ce projet visait à développer des aménagements sur les fermes fruitières permettant de favoriser la conservation des bourdons et de pérenniser leurs populations. Nous avons étudié l’habitat requis par les reines bourdons durant deux phases clés de leur cycle de vie, soit la nidification et la diapause hivernale. Afin d’augmenter
le nombre de sites de nidifications disponibles, quatre types de nichoirs artificiels (en bois sous terre, en bois hors du sol, dans un pot en terre cuite ou en béton) ont été installés sur des fermes de pommes, de bleuets en corymbe et de canneberges. Le taux d’occupation des nichoirs, les espèces de bourdons les occupant et la présence de parasites/prédateurs ont été évalués. Le projet a également permis de caractériser les sites de diapause hivernale grâce à la télémétrie. Nos résultats révèlent que le nichoir en bois au-dessus du sol permet d’obtenir de meilleurs taux d’initiation du nid et d’établissement de colonies, similaires au nichoir en bois sous le sol. Il est cependant davantage victime des pyrales parasites. Les deux chambres du nichoir en béton permettent d’obtenir des résultats intermédiaires, alors que les pots en terre cuite sont inefficaces pour l’établissement de colonies de bourdons. Nous démontrons également que les vergers et les bleuetières de bleuet en corymbe sont de meilleurs endroits que les cannebergières pour déployer un réseau de nichoirs artificiels. Nous recommandons l’installation de types de nichoirs variés dans ces deux cultures pour favoriser la présence et la diversité des bourdons.
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