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17 février 2025
Cette formation vise à informer les agronomes et les producteurs agricoles sur les outils de diagnostic et d’intervention liés à la conservation de l’eau et adaptés aux conditions qui peuvent être rencontrées dans les entreprises agricoles productrices de grandes cultures biologiques. Vous êtes agronomes? 8,5 heures de
cette sont accréditées par l'OAQ. Contenu de la formation (vidéos et fiches) * Cliquez ici pour avoir accès gratuitement au contenu de la formation en ligne. La formation en 7 modules Cahier du participant Module 1: L'état des lieux Module 2: Déterminer les besoins en eau des cultures Module 3: Comprendre les excès d'eau Module 4: Prédire l'évolution de la matière organique et la compaction des sols Module 5: Optimiser l'usage de l'eau Module 6: Améliorer les pratiques agricoles et les systèmes culturaux Module 7: Mettre en place des aménagements hydroagricoles Trois études de cas à la ferme - Études de cas à la ferme Flobert: excès d'eau à l'automne en sol sableux - Étude de cas à la ferme Écopré: excès d'eau localisés en sol loameux - Étude de cas à la ferme OJ Bouchard: Érosion hydrique et compaction en sol argileux Neuf fiches - Déterminer les besoins en eau des cultures grâce à l’outil EstimEau - Faire des aménagements hydroagricoles - Faire un profil de sol - Des outils pour l’aide à la décision - Intégrer des pratiques agricoles et des systèmes culturaux favorables à la conservation de l’eau - Optimisation de l'usage de l'eau - Prédire l’évolution de la matière organique et de la compaction des sols - Protection des cours d’eau au Québec - Comprendre les excès d’eau Cette formation est une collaboration entre le Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec et l'Institut de recherche et de développement en agroenvironnement. La formation a été réalisé en vertu du sous-volet 3.2 du programme Prime-Vert 2013-2018 et il a bénéficié d’une aide financière du ministère de l’Agriculture, des
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12 février 2025
Afin de participer de manière active à la mise en oeuvre du Plan d’agriculture durable 2021-2025 (PAD), les Producteurs de légumes de transformation du Québec (PLTQ) ont formulé des engagements au PAD qui reposent principalement sur le transfert de connaissances et l'accompagnement. Afin de répondre à ces engagements,
les principales méthodes de transfert suivantes ont été sélectionnées en fonction de leur pertinence : la mise en exemples de fermes performantes et la démonstration technique de systèmes jugés hautement performants. L'adoption d'outils d'aides à la décision (OAD) menant à une meilleure utilisation de l’eau (bilan hydrique, tensiomètre) est aussi un résultat positif souhaitable ayant été identifié. Cette démarche de transfert visée par les PLTQ est en lien avec l’objectif 4 du PAD « Optimiser la gestion de l’eau » et est conséquemment aussi en lien avec l’objectif 1 « Réduire le risque des pesticides pour la santé et l’environnement », via la réduction du lessivage des pesticides. Les objectifs du projet sont : Réaliser un diagnostic global de la gestion de l’eau dans 10 systèmes culturaux (haricot, pois); Proposer des correctifs pour améliorer l’usage et la gestion de l’eau; Accompagner les entreprises pour l’intégration des correctifs proposés; Concevoir et réaliser des activités de transfert de connaissances. Alors que les objectifs 1 à 3 visent l'atteinte de résultats concrets et mesurables à court terme chez les producteurs accompagnés, l'objectif 4 a une portée collective plus importante. Ces activités de transfert des connaissances consisteront en des journées portes ouvertes, des webinaires, des capsules vidéo, des podcasts et des fiches synthèses. Ce projet est réalisé par une équipe multidisciplinaire composée d’intervenants des PLTQ, de l’IRDA, du MAPAQ et de Nortera. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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17 janvier 2025
Le présent projet s’inscrit dans le plan de mise en œuvre 2021-2025 du Plan d’agriculture durable (PAD) du MAPAQ 2020-2030. Plus spécifiquement, ce projet visait à répondre à l’engagement no 1 des Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ) : offrir aux entreprises de pommes de terre un cadre de référence
pour l’adoption de pratiques écoresponsables, leur permettant de s’améliorer et de se positionner sur les marchés. Ainsi, l’objectif général du projet était d’accélérer l’adoption de pratiques agroenvironnementales et, plus spécifiquement, réduire les pesticides et leurs risques sur la santé et l’environnement, améliorer la santé et la conservation des sols, améliorer la gestion des matières fertilisantes et optimiser la gestion de l’eau. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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18 octobre 2024
Ce rapport présente les résultats agronomiques obtenus pour le panic érigé et le miscanthus géant au cours de la saison 2023 dans le cadre du Réseau des Plantes Bio-industrielles du Québec. Il met également de l’avant les progrès réalisés dans différents projets scientifiques et de transfert de connaissance.
12 septembre 2024
Le Centre ACER, en collaboration avec l’IRDA, les PPAQ, le MAPAQ, le MELCCFP et l’INRS, a développé 5 infofiches pour aider les producteurs à mieux comprendre et se conformer au règlement REAFIE. Aujourd’hui, nous vous présentons la 4e infofiche : Estimation des volumes de rejets en acériculture, ainsi que le chiffrier
Excel (à télécharger) qui vous permettra d'estimer les volumes de rejets générés de différents équipements de production acéricole. Ces estimations pourront être utiles pour déterminer les espaces et les équipements d’entreposage requis afin de recueillir les eaux à neutraliser. Bonne lecture!
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12 septembre 2024
Le Centre ACER, en collaboration avec l’IRDA, les PPAQ, le MAPAQ, le MELCCFP et l’INRS, a développé 5 infofiches pour aider les producteurs à mieux comprendre et se conformer au règlement REAFIE. Cette 5e et dernière infofiche permettra d’expliquer les méthodes recommandées pour réaliser la neutralisation manuelle
des rejets acéricoles. Ces méthodes auront fait l’objet de validation chez des entreprises acéricoles et pourront être utilisées par les producteurs qui ne souhaitent pas acquérir des équipements automatisés.
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09 septembre 2024
Rapport scientifique Au Québec, l'industrie porcine est le deuxième secteur agroalimentaire en importance. Cependant, l'intensification de la production rend plus probables les problèmes sanitaires, qui peuvent causer des problèmes économiques aux producteurs et réduire le bien-être animal. Le lavage et la désinfection
des bâtiments d'élevage jouent un rôle primordial pour maintenir un statut sanitaire élevé, qui permet de contrôler les maladies, d'éviter les épidémies et de ralentir la dégradation de la santé des bâtiments. De plus, les pressions environnementales exigent une production plus durable, ce qui rend la réduction de la quantité d'eau utilisée très importante. Dans ce contexte, ce projet vise à optimiser les paramètres des opérations de lavage pour assurer de bonnes conditions sanitaires en minimisant la quantité d'eau utilisée dans les bâtiments porcins. L'hypothèse principale avancée est que l'optimisation des méthodes de lavage permettra non seulement d'améliorer l'hygiène du bâtiment, mais également de réduire de manière significative la consommation d'eau nécessaire pour les opérations de nettoyage. Tout d'abord, ce projet a permis d’étudier des stratégies pour évaluer rapidement l'efficacité de lavage et les niveaux de propreté des matériaux. Deux méthodes ont été identifiées comme étant à la fois simples et prometteuses pour servir d'indicateurs de propreté : la méthode de bioluminescence de l'adénosine triphosphate (ATP) et la méthode de réaction enzymatique utilisant le Biofinder. La méthode ATP permet de détecter la contamination bactérienne et non bactérienne présents sur une surface, tandis que la méthode Biofinder utilise des enzymes pour détecter la présence de biofilms. Ensuite, l’optimisation des paramètres des opérations de lavage a été étudié dans le but de garantir des conditions sanitaires optimales, c'est-à-dire réduire la présence de bactéries et de résidus organiques en minimisant la consommation d'eau. Pour ce faire, trois paramètres
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09 septembre 2024
Fiche technique Dans l’industrie porcine, il est essentiel d’évaluer rapidement la propreté des installations après les processus de lavage afin de prendre des mesures correctives et de maintenir des conditions sanitaires adéquates. Cependant, les méthodes d’inspection traditionnelles, telles que le décompte des colonies
bactériennes sur des plaques de culture, peuvent s’avérer trop longues pour le producteur. L’IRDA a répertorié et étudié des méthodes alternatives qui fournissent des indicateurs simples et efficaces pour surveiller les niveaux de propreté des bâtiments porcins. Deux techniques ont été retenues : la technique de bioluminescence de l’adénosine triphosphate (ATP) (méthode biochimique) et la technique de réaction enzymatique utilisant le produit BioFinder (méthode chimique). Les deux techniques fournissent en quelques secondes le niveau de propreté des surfaces après les processus de nettoyage. Les techniques de bioluminescence de l’adénosine triphosphate (ATP) et de réaction enzymatique utilisant le Biofinder permettent au producteur de suivre lui-même le niveau sanitaire à la suite des procédures de lavage. De plus, ces techniques ont été identifié
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09 septembre 2024
Fiche technique En production porcine, l’eau est utilisée principalement pour abreuver les animaux et les refroidir, ainsi que pour le lavage des bâtiments. Selon les éleveurs de porcs du Québec (ÉPQ), pour des protocoles de lavage similaires, la quantité d’eau utilisée varie considérablement d’un producteur à l’autre.
En effet, un sondage auprès des producteurs a révélé que la consommation d’eau utilisée pour le lavage des bâtiments porcins varie de 77 à 383 L/cage/lavage en maternité, de 2 à 25 L/place/lavage en pouponnière et de 2 à 82 L/place/lavage en engraissement (CDPQ,2023). Le type de plancher, le type de matériaux, l’opérateur, les méthodes de lavage et les paramètres adoptés sont les facteurs qui affectent la consommation d’eau. L’optimisation des paramètres de lavage, tel que l’utilisation d’eau chaude (> 35 °C ou 95 °F), peut réduire la consommation d’eau de 31%, le temps de lavage de 24% et la présence de bactéries et de résidus organiques sur les surfaces de 45 % (selon le test d’ATP). L’adoption de certaines pratiques de lavage peut entraîner de gains significatifs de réduction de gaspillage d’eau et des impacts économiques positifs.
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