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Fiers de diffuser leur expertise


20 mars 2025
L’objectif global du projet était d’encourager, inspirer, éduquer et accompagner les producteurs en grandes cultures pour qu’ils consacrent davantage de superficies à des aménagements pour la biodiversité. 12 activités ont été organisées spécifiquement pour le projet. Le thème des aménagements favorisant la biodiversité
a été abordé dans 6 autres événements du CETAB+ et le CETAB+ a collaboré à 3 événements organisés par d’autres organisations sur le sujet. Voir: Aménagements favorisant la biodiversité (Noémie Gagnon Lupien, 16 p.) Aménager pour favoriser la diversité (Noémie Gagnon Lupien, 49 p.) S’adapter aux changements climatiques en favorisant la biodiversité (Noémie Ga-gnon-Lupien, 54 p.) Aménagements pour la biodiversité chez Culture Lampron (Daniel Lampron, 25 p.) Vitrine de démonstration d’aménagement fleuri en grandes cultures (Noémie Gagnon Lupien et Caroline Beaulieu, 12 p.) 7 fiches thématiques ont été rédigées, les thèmes ayant été choisis pour être complémentaires aux contenus déjà disponibles sur le sujet des aménagements pour la biodiversité à la ferme et pertinents pour répondre aux préoccupations et besoins des conseillers et des agriculteurs et agricultrices. Diagnostic écologique à la ferme D. Desjardins et N. Gagnon Lupien, 2025, 13 p. Une démarche à réaliser en amont pour maximiser les retombées écologiques des aménagements pour la biodiversité Bonnes pratiques favorables à la biodiversité à la ferme CETAB+, D. La France et N. Gagnon Lupien, 2025 Comprendre la biodiversité et comment la favoriser par ses pratiques culturales Aménager pour les auxiliaires de culture CETAB+, G Labrie, 2025, 18 p. Plantes indigènes d’intérêt pour les aménagements favorables a la biodiversité Les exceptionnelles CETAB+, N Gagnon Lupien, 2025, 21 p. Plantes indigènes d’intérêt pour les aménagements favorables à la biodiversité Aspects économiques des haies pour la biodiversité CETAB+, Geoffroy Ménard, 2025 Synthèse des coûts et bénéfices des haies agroforestières
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Les exceptionnelles - Plantes indigènes d’intérêt pour les aménagements favorables à la biodiversité
26 février 2025
Dans les fiches suivantes nous vous présenterons des plantes qui selon nos expériences et observations sont parmi les plus intéressantes espèces à implanter sur les fermes pour favoriser les pollinisateurs et autre faune auxiliaire de culture. Ce sont des plantes indigènes qui par leur floraison spectaculaire
et leur aptitude à s’établir en bordure des champs agricole se démarquent en territoire québécois. Ce n’est pas une liste exhaustive d’espèces végétales utiles en agriculture, mais plutôt quelques espèces coup de cœur assez versatiles pour être largement utilisées dans des aménagements favorables à la biodiversité.
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26 février 2025
La faune auxiliaire de lutte favorisée par les aménagements des bordures de champs et du paysage agricole La protection des cultures s’est longtemps appuyée sur la gestion au niveau de la plante ou du champ. Les recherches des dernières années démontrent clairement que l’environnement autour des champs a un impact
important sur la régulation naturelle des populations de ravageurs. La lutte biologique par conservation consiste à favoriser la présence et l’activité des ennemis naturels afin d’aider au contrôle des populations de ravageurs en leur fournissant des endroits diversifiés pour leur alimentation, reproduction, refuge lors des activités agricoles ainsi que des sites d’hibernation. Avec ce type de lutte, il ne s’agit pas d’éliminer complètement les ravageurs, mais plutôt de les maintenir sous un seuil de nuisibilité économique. Cette fiche détaille les caractéristiques de chaque groupe d’ennemis naturels retrouvés communément en milieu agricole, les aménagements spécifiques et les pratiques culturales qui leur permettent de trouver un habitat adéquat afin que les producteurs bénéficient de la lutte biologique dans les différents milieux agricoles.
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26 février 2025
Comprendre la biodiversité et comment la favoriser par ses pratiques culturales Le concept de biodiversité fait référence à l'ensemble des êtres vivants, à leurs écosystèmes et aux interactions qu’ils ont entre eux. On l’étudie à différentes échelles d’organisation : la diversité génétique (les gènes), la diversité
spécifique (les espèces) et la diversité écosystémique (les écosystèmes). Du point de vue agricole, on s’intéresse d’abord à la biodiversité à l'échelle spatiale d'une ferme. Comme on connaît mieux les interactions nombreuses et complexes entre les êtres vivants et leur environnement, on doit considérer davantage la biodiversité à l’échelle du paysage, du bassin versant ou même d’une région. L’agriculteur ou l’agricultrice doit tenir compte de la façon dont sa ferme s’intègre dans le paysage et se questionner sur les actions nécessaires pour restaurer un environnement dégradé par des pratiques passées, par exemple l’agrandissement des champs qui a mené à la destruction des espaces sauvages qui pourraient soutenir l’équilibre écologique de sa ferme. En pratique, à la ferme il faut se questionner et appliquer des pratiques favorables sur trois axes : La biodiversité intraparcellaire c'est-à-dire dans les parcelles cultivées; Celle de la périphérie des parcelles, allant des bordures non cultivées, comme les talus, les fossés ou les chaintres, aux zones aménagées ou sauvages qui servent d’habitat pour la faune et la flore sauvage. On considère aussi la dimension temporelle, c’est-à-dire les variations dans le temps, d’abord au long de la saison, mais aussi sur une période pouvant atteindre plusieurs années, par exemple sur la durée d’une rotation, ou même plus. On parle souvent plus de la biodiversité faunique et végétale, mais il faut souligner l’importance négligée de la biodiversité des sols qui abritent la majorité des espèces vivantes. Les organismes vivants dans le sol restent méconnus, car moins visibles, mais ils sont grandement influencés par
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21 octobre 2024
La gestion des mauvaises herbes au pied des vignes est un enjeu majeur en viticulture. Au Québec, la majorité des entre-rangs des vignobles sont enherbés et les rangs sont désherbés à l’aide d’herbicides ou d’équipement de désherbage mécanique. Dans une optique de réduction des pesticides, l’utilisation de couvre-sols enherbés
sous le rang de vigne est un réel gain pour l’environnement et la santé. Cette pratique vise à maîtriser le développement d’adventices indésirables en recouvrant le sol d’espèces végétales sélectionnées. Elle est bien plus qu’une simple façon de remplacer le désherbage chimique et mécanique, car elle offre de multiples avantages. Elle permet de protéger le sol en limitant l’érosion, le ruissellement, la compaction et l’évaporation excessive. Elle favorise la biodiversité et limite les blessures mécaniques, porte d’entrée de plusieurs maladies. Ce projet d’une durée de 3 ans a donc pour but d’évaluer le potentiel de couvre-sols permanents sur le rang comme alternative aux herbicides dans la culture de la vigne au Québec. Pour ce faire nous avons suivi sur trois ans quatre couvre-sols végétaux vivaces comparés à deux traitements témoins dans deux vignobles québécois. Les espèces choisies sont : 1) le Lotier corniculé (Lotus corniculatus); 2) le Thym serpolet (Thymus serpyllum); 3) l’Aspérule odorante (Galium odoratum); 4) l’Épervière piloselle (Pilosella officinarum) et elles étaient comparées à 5) l’Enherbement spontané et 6) le Sol à nu (herbicides selon les pratiques du producteur). Nous avons évalué l’effet des couvre-sols sur la phénologie et la croissance des plants de vigne, sur les ravageurs et les maladies, ainsi que sur le rendement et la qualité des fruits. Nous avons aussi suivi l’établissement des différents couvre-sols choisis et leur compétitivité face aux adventices. Finalement, les problématiques récurrentes de gel sur les sites nous ont aussi amenés à évaluer l’effet du couvert végétal sur la température du sol à différents moments
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