Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
201 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
29 archives correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
04 juin 2020
Chaque fiche technique présente une description des symptômes, les différentes formes d'expression, les méthodes/moyens de lutte actuellement disponibles et les pratiques de gestion pour contrer une maladie spécifique du bois de la vigne. Ces fiches techniques permettront aux intervenants et producteurs d'intégrer des pratiques
préventives pour limiter la présence de ces maladies, d'identifier les diverses maladies au champ, d'analyser la situation au vignoble et d'utiliser les méthodes/moyens de gestion de ces maladies au vignoble.
Lire la suite
17 novembre 2022
Les viticulteurs sont menacés par plusieurs maladies foliaires et des baies, dont le la pourriture de la grappe (Botrytis cinerea), le mildiou (Plasmopara viticola), le blanc (Erysiphe necator), et la pourriture noire (Guignardia bidwellii). L'utilisation des biofongicides est à privilégier dans une stratégie de lutte
contre les maladies. Cette fiche synthèse résume les résultats d'efficacité de différents produits biologiques contre les maladies.
Lire la suite
21 octobre 2024
Notre étude a permis de mettre en lumière l’intérêt des couvre-sols végétaux en vignoble comme alternative à l’utilisation d’herbicides sur le rang. Nos résultats montrent que les couvre-sols à l’étude ont peu d’effet sur la croissance des vignes, les maladies, les ravageurs et ultimement le rendement, tout en étant une
belle façon d’accroître la biodiversité en vignoble. Des espèces se démarquent dans le contexte de l’étude, soit le thym serpolet et l’épervière piloselle. Ces deux plantes ne nécessitent pas de fauches, car elles restent basses et ne créent pas de problèmes d’humidité aux pieds des ceps. Elles ont aussi une jolie floraison attractive pour les insectes bénéfiques et sont intéressantes pour l’agrotourisme. Leur coût d’implantation reste plus élevé, car elles s’établissent mieux à partir de transplants, mais elles arrivent alors à dominer l’espace rapidement et laissent peu de place à des plantes indésirables. Il reste que des techniques d’implantation plus abordables comme l’hydroensemencement par exemple, devront être testées pour faciliter leur utilisation à l’échelle commerciale. Ce sont également des espèces qui se naturalisent très bien dans le reste du couvre-sol du verger et supportent assez bien le piétinement. Peu de travaux avaient été réalisés sur les couvre-sols permanents dans la vigne au Québec à ce jour, mais devant le fait que le buttage est de plus en plus délaissé, cette technique devient possible et transférable sur une majorité d'entreprises viticoles. Les couvre-sols à l'essai pourraient aussi être intéressants pour plusieurs autres cultures fruitières qui connaissent des enjeux similaires (bleuets, camerises, pommes, poires, etc.).
Lire la suite
21 juillet 2017
Cette fiche synthèse présente un projet qui avait comme objectif d'inventorier, de documenter et d'analyser les approches et les technologies novatrices dans les secteurs des grandes cultures et des cultures horticoles qui répondent aux besoins du Québec en termes de surveillance phytosanitaire. Le rapport complet,
également disponible, a été fiancé par le programme Prime-Vert (volet 3.2) du MAPAQ.
Lire la suite
16 octobre 2024
Notre étude a permis de mettre en lumière l’intérêt des couvre-sols végétaux en vignoble comme alternative à l’utilisation d’herbicides sur le rang. Nos résultats montrent que les couvre-sols à l’étude ont peu d’effet sur la croissance des vignes, les maladies, les ravageurs et ultimement le rendement, tout en étant une
belle façon d’accroître la biodiversité en vignoble. Des espèces se démarquent dans le contexte de l’étude, soit le thym serpolet et l’épervière piloselle. Ces deux plantes ne nécessitent pas de fauches, car elles restent basses et ne créent pas de problèmes d’humidité aux pieds des ceps. Elles ont aussi une jolie floraison attractive pour les insectes bénéfiques et sont intéressantes pour l’agrotourisme. Leur coût d’implantation reste plus élevé, car elles s’établissent mieux à partir de transplants, mais elles arrivent alors à dominer l’espace rapidement et laissent peu de place à des plantes indésirables. Il reste que des techniques d’implantation plus abordables comme l’hydroensemencement par exemple, devront être testées pour faciliter leur utilisation à l’échelle commerciale. Ce sont également des espèces qui se naturalisent très bien dans le reste du couvre-sol du verger et supportent assez bien le piétinement. Peu de travaux avaient été réalisés sur les couvre-sols permanents dans la vigne au Québec à ce jour, mais devant le fait que le buttage est de plus en plus délaissé, cette technique devient possible et transférable sur une majorité d'entreprises viticoles. Les couvre-sols à l'essai pourraient aussi être intéressants pour plusieurs autres cultures fruitières qui connaissent des enjeux similaires (bleuets, camerises, pommes, poires, etc.).
Lire la suite
01 mars 2023
L’anthracnose est une maladie observée en vignoble causée par le champignon Elsinoë ampelina. Selon la gravité de l’épidémie, le cep infecté par E. ampelina aura un développement ralenti et un mûrissement des baies retardé. Les vignes infectées présentent une diminution de rendement importante due à la mortalité d'inflorescences
et de rameaux et à la pourriture des baies. Les ceps gravement atteints sont moins résistants à l’hiver et en absence de contrôle peuvent mourir causant ainsi des pertes économiques importantes. L’objectif du projet était d’évaluer l'impact du mode de conduite de la vigne pour la gestion et la réduction de l'incidence de l'anthracnose en vignoble. Des essais ont été menés dans deux vignobles durant la saison 2019 et 2020 afin de comparer trois modes de conduite : le Cordon de Royat, le Cordon de Royat renouvelé (renouvellement des bras à partir de nouveaux bourgeons) et le Guyot.
Lire la suite
06 juin 2024
Le stade « début floraison » (EL19-21) des cépages hâtifs et « 25 % floraison » (EL 23) pour le raisin de table est atteint sur les sites les plus chauds. Insectes : le scarabée du rosier et les tordeuses de la vigne sont arrivés! Cicadelles : le retrait des feuilles sous les grappes peut réduire
jusqu'à 70 % des larves. Cécidomyie : plus de peur que de mal. Mildiou : plusieurs cas rapportés. Moisissure grise : le moment entourant la floraison est la période cruciale pour intervenir. C'est le temps des analyses foliaires. DÉVELOPPEMENT PHÉNOLOGIQUE Les températures chaudes et humides de la dernière semaine ont accéléré la croissance des vignes. Les cépages hâtifs sur les sites les plus chauds de la Montérégie ont atteint le stade « début floraison » (EL19-21), tandis que les raisins de table ont atteint le stade « 25 % floraison » (EL23). En terme d'accumulation de degrés-jours base 6, le début de la saison 2024 est comparable à celui de 2015... Mais plus récemment, c'est le début de saison le plus chaud des 5 dernières années pour la majorité des stations météo consultées. Comparatif 2015-2024 Consultez Agrométéo Québec pour un visuel provincial de l'état d'avancement du développement des cépages à débourrement hâtif et semi-tardif ainsi que d'autres modèles bioclimatiques sur la vigne. Phénologie des cépages à débourrement hâtif au 4 juin 2024 Source : Agrométéo Québec Phénologie des cépages à débourrement semi-tardif au 4 juin 2024 Source : Agrométéo Québec INSECTES ET ACARIENS Stratégie GIEC À la fin de la floraison, le retrait des feuilles sous les grappes peut permettre de réduire jusqu'à 70 % les larves de cicadelles. Cicadelles Les collaborateurs du sous-réseau Vigne du RAP ont observé la présence de cicadelles sur quelques sites, encore cette semaine, dans plusieurs régions, dont la Montérégie
Lire la suite
1 à 10 sur 201