Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
83 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
1 archive correspondant à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
11 octobre 2024
QUESTION : Bonjour, J'ai un client qui sépare son lisier de porc en solide et en liquide. Il exporte tout le lisier de porc. Le liquide chez un receveur et le solide chez un autre. En ce moment il ne caractérise pas, mais je crois que ce serait la meilleure solution pour lui pour comptabiliser la quantité produite en solide
et en liquide par année avec des analyses associées. Pour l'instant puisque la caractérisation est en cours, comment est-ce que je détermine les analyses à utiliser pour la portion liquide et pour la portion solide? Pour le total produit par année, j'utiliserais les valeurs CRAAQ pour connaitre le total théoriquement produit par les animaux, mais je ne suis pas certaine comment déterminer l'analyse de chaque portion. Qu'est-ce que vous proposez? RÉPONSE : Pour ce qui est des élevages porcins sous gestion solide ou en séparation des phases solides et liquides, le CRAAQ n’a publié aucune valeur référence. Par conséquent, l’agronome n’a d’autres choix que d’utiliser les données résultant de la caractérisation des fumiers d’une autre entreprise qui opère la même conduite d’élevage pour établir les ratios en éléments fertilisants des 2 phases ou d’utiliser les données d’une autre source fiable (organisme gouvernemental ou de certification ou revue de littérature) si vous réussissez à en obtenir. Dans ce cas plus précis, des résultats de caractérisation issus d'entreprises ayant une régie d'élevage similaire et ayant effectué les caractérisations séparées d'un surnageant et d'un fond de fosse pourrait servir de comparatif pour établir les ratios en éléments fertilisants pouvant être associés à chaque phase. Vous devrez toutefois tenir compte du rapport C/N qui sera probablement différent dans une phase solide et qui affectera la disponibilité et la charge nette apportée en azote. Comité de coordination effluents d'élevage Quant aux valeurs totales pondérées en concentration d’éléments fertilisants, vous devrez vous référer aux valeurs disponibles
Lire la suite
24 mai 2024
QUESTION : Afin de calculer la charge en phosphore pour une demande de Certificat d’Autorisation, j’ai utilisé le nombre de dindons à griller potentiellement vendu (nb entré X 94-95%) X 0,161 kg P2O5/tête X nb lot / année. L’analyste me dit que je dois utiliser le nb d’oiseau entrée car dans l’exemple du guide c’est
un chiffre rond (10000). La note 5 du tableau 3.4 mentionne bien qu’il est question du nombre d’oiseau vendus. Je sais que ce n’est peut-être un détail mais quand il y a pas mal d’oiseaux, ça fait facilement 2000 kg P2O5 de différence. RÉPONSE : Il est à souligner que les valeurs de référence pour les rejets de dindons sont issues de caractérisations réalisées dans ces types d'élevage, tel qu'indiqué à la note 4 du tableau 3.4 . De ce fait, les rejets par tête produite (161 g P2O5 / tête pour le dindon à griller) ont été calculés sur la base de l'analyse des fumiers à la sortie du bâtiment et du cheptel vendu. La note 5 du même tableau sert donc à expliquer la méthodologie qui a été observée afin de déterminer ces valeurs. Toutefois, les exemples données à la page suivante pour déterminer la charge annuelle de phosphore d'un cheptel se basent sur le nombre d'animaux à l'entrée du bâtiment, en cohérence avec le principe d'inventaire maximum sur le lieu d'élevage. Dans ce calcul, la mortalité durant la période d'élevage n'est pas considérée. Bien entendu, une caractérisation des déjections animales suite à l'augmentation du cheptel permettra d'évaluer avec plus de justesse la charge de phosphore liée au lieu d'élevage. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
01 mai 2024
QUESTION : Un producteur a 2 sites d'entreposages: une fosse circulaire pour le lisier et une plate-forme pour le fumier. Ces 2 structures sont sur le même lieux d'élevage, mais associées à 2 groupes de bovins distincts donc 2 bâtisses. Pour les épandages, il fait un mélange du fumier et du lisier. Est-ce accepté
de prendre l'analyse du mélange uniquement tout en tenant un registre d'épandage pour le lisier et le fumier vu que ça provient du même cheptel sans pour autant être les mêmes animaux associés au fumier et au lisier? RÉPONSE : Dans le cas présenté, la caractérisation séparée des 2 déjections (fumier et lisier) s'impose afin de déterminer la charge phosphore produit sur le lieu d'élevage. Plusieurs facteurs peuvent influencer les valeurs obtenues du mélange : ratio et uniformité du mélange, brassage de la fosse à lisier, etc. Ces facteurs ne sont pas pris en compte dans les protocoles respectifs de caractérisation de fumier solide et liquide, ce qui diminue la représentativité et la fiabilité des données. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
20 octobre 2023
Dans la mise à jour du REA de Septembre 2022, il sera permis, sous certaines conditions, d'utiliser la méthode de bilan alimentaire pour ''remplacer'' la caractérisation des effluents d'élevage en production porcine et avicole. En faisant mes recherches, il est plutôt rare d'avoir un bilan du N et du K avec la méthode
de bilan alimentaire. Souvent, ce sont les bilans en P qui sont concernés. Comment allons nous allier le bilan alimentaire en P et les autres éléments N et K. Est-ce que le P du bilan alimentaire sera utilisé et le N et le K seront issu de la caractérisation passé des effluents? Ou le N et le K seront issus des références du CRAAQ? Le bilan alimentaire peut effectivement être utilisé afin d'établir la production de phosphore d'un lieu d'élevage sous certaines conditions dans les productions porcines et d'oeufs de consommation. La charge en phosphore issue du bilan alimentaire peut donc être utilisée afin de produire le bilan de phosphore de ce lieu d'élevage. Par ailleurs, dans le cadre de l'élaboration d'un PAEF, l'agronome peut utiliser plusieurs méthodes afin d'établir les valeurs fertilisantes associées à un effluent d'élevage. Les données issues d'une précédente caractérisation peuvent être utilisées si elles sont toujours jugées pertinentes par l'agronome. Ce dernier devra utiliser la méthode qui lui semble la plus appropriée afin d'établir les teneurs en éléments fertilisants d'un fumier ou d'un lisier. Toutefois, si l'agronome établit la charge phosphore d'un lieu d'élevage à partir du bilan alimentaire dans le cadre de l'élaboration d'un bilan de phosphore, il est attendu que les données inscrites au PAEF pour les déjections issues de ce lieu d'élevage soient cohérentes avec celles du bilan alimentaire ainsi que celles du bilan de phosphore. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
23 janvier 2022
QUESTION: Une ferme de poulets à griller qui comporte 4 poulaillers sur le même lieu d’élevage a caractérisé son fumier en 2020 et 2021. Il a respecté le protocole (1 analyse par bâtiment par année, à des différents moments de l’année, etc.). Il sort 7 lots de poulets par année. Il a donc 7 lots par année X 2 années X
4 bâtiments (56 sorties). J’ai reçu les tonnages sortis pour chaque lot de chaque poulailler (donc 56 pesées). J’ai aussi les mesures de la remorque pour mesurer la densité. Pour valider le cheptel et la catégorie d’élevage, ça se corse, car les couvoirs ne sexent plus les poussins. Le producteur mentionne que le non-sexage des poussins deviendrait même la norme, à l’avenir. J’ai donc des poussins mixtes (mâles et femelles) et des analyses de fumier mélangé. Le plus gros couvoir au Canada (Boire) me dit que leurs chiffres démontrent des éclosions de 50.4% poussin mâle pour 49.6% poussin femelle. Question : Puis-je calculer les rejets par tête femelle vs mâle en prenant les proportions moyennes d’éclosion? Ex. pour un lot de 10000 poussins mixtes, j’ai 5040 poulets mâles et 4960 poulets femelles. Le tonnage serait réparti proportionnellement entre les 2 catégories. L’analyse et la densité seraient la même pour les 2 catégories. Mais les rejets seraient légèrement différents selon la catégorie. Il n’existe pas de données plus précises. Malgré la « non-catégorie REA », l’analyse du fumier est précise, le fumier est mélangé et c’est ce fumier qui est épandu sur les terres (et recommandé dans un PAEF). RÉPONSE: Si l’on prend pour acquis que la proportion de mâle et femelle semble être stable, la production annuelle de fumier devrait être relativement équivalente d’un cheptel à l’autre. Par conséquent, dans le cas où le non sexage deviendrait la norme, le plus simple serait d’évaluer la charge fertilisante annuelle par tête et appliquer cette valeur au nombre de têtes produites annuellement par poulailler. Aussi, il serait pertinent de comparer votre production
Lire la suite
21 janvier 2022
QUESTION : Je sais que les valeurs de référence du CRAAQ pour les fumiers sous forme liquide inclut les eaux de laiterie et les précipitations, cela m’est confirmé dans la section Foire aux questions « Eaux de Laiterie de la Base de connaissance effluent d’élevage ». Dans le document Valeurs de références pour les volumes
et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage (2020), spécifie au bas du tableau (p.16) Production laitière: « L’eau des précipitations est incluse dans les volumes sous-gestion liquide.» Or je ne trouve nulle part l’indication textuelle dans ce document précisant cette information. Y a-t-il un document ou un ouvrage de référence officielle, citant textuellement que les eaux de laiterie sont incluses dans les valeurs de référence du CRAAQ. RÉPONSE : En ce qui concerne les volumes produits en production laitière, le seul document faisant référence spécifiquement aux eaux de laiterie est l’Agdex 538/400.27, 1999, intitulé Fumier de ferme - Production . Ce qu’il faut comprendre, c’est que les valeurs références, pour la production laitière ont été adaptées afin d’avoir la même charge fertilisante totale (masse X teneur) peu importe si les déjections animales sont entreposées sous forme solide ou liquide, ce qui n’était pas le cas avec les valeurs de l’Agdex 538/400.27. Comme les valeurs références en production laitière sont issues d’une revue littérature qui date de 2003, il est important de rappeler que ces valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation de la majorité des élevages actuels. Par conséquent, la caractérisation des effluents d’élevage selon les protocoles en vigueur publiés par le CRAAQ constitue l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives des effluents d’élevage du cheptel présent dans un lieu d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour
Lire la suite
25 août 2020
QUESTION : Je vous écris concernant le domaine des données d'effluents d'élevage. J'aimerais savoir si un document comme «État de situation : Outils disponibles et particularités liés aux effluents d'élevage dans les production en développement Éditeur : CRAAQ» est en cours de mise à niveau. Ce document date de 2008 et
je serais intéressée de connaître si les valeurs ont changé depuis. Ma demande concerne une production de cerfs rouges. RÉPONSE : Actuellement, en ce qui concerne les productions en développement, il y a un projet en cours dans la production du Bison, afin de mettre à jour les données entourant la production d’effluent d’élevage et les teneurs en éléments fertilisants. Pour les autres productions citées dans le document que vous nous présentez, aucune mise à jour n’a été réalisée. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
19 juin 2020
RÉPONSE: Les calculs de l’ingénieur et de l’agronome répondent à deux objectifs différents. Les calculs de l’ingénieur visent à évaluer la capacité d’entreposage d’un lieu d’élevage, alors que les calculs de l’agronome visent à évaluer la production annuelle de phosphore d’un lieu d’élevage dans le but de réaliser un bilan
de phosphore répondant aux exigences réglementaires du REA. Nous vous rappelons que le guide du CRAAQ précise que les valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation des élevage actuels et que l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives est la caractérisation des effluents d’élevage. (page 4 du guide) Dans une demande de CA, le MELCC analysera les calculs des professionnels en tenant compte des consensus et règles de l’art établis dans chacune des professions. Donc, il est très possible que les valeurs de volumes utilisées par l’ingénieur soient différentes de celles utilisées par l’agronome. Dans la situation que vous proposez, comme il s’agit d’un nouveau lieu d’élevage, il a été convenu que l’agronome utilise les valeurs références du CRAAQ pour établir la production annuelle de phosphore dans sa demande de CA. (page 5 du guide) Par la suite, la caractérisation des effluents d’élevage permettra d’évaluer les volumes correspondant à la situation réelle du lieu d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
19 juin 2020
QUESTION : Lorsqu'une entreprise prévoit installer des trémies sèches avec bols économiseurs d'eau en production de porcs engraissement, faut-il utiliser les valeurs de références validées pour porcs en croissance avec trémies-abreuvoir ou sans trémies-abreuvoir? À priori, lorsqu'on consulte la note 7 de la grille du CRAAQ,
il faudrait utiliser sans trémies-abreuvoir puisque cette catégorie incluait les systèmes avec économie d'eau. Cependant, les ingénieurs utilisent 4.2 L/jours (donnée avec TA) lors de l'utilisation de trémies sèches et bols économiseurs d'eau, lequel est contraire à la note de la grille de référence, par contre, les structures construites ne débordent pas. Également, il est inscrit dans la note que les systèmes avec économies d'eau étaient sous représentés lors de l'échantillonnage laissant sous-entendre que le volume établit de 6.8L pourrait être inapproprié pour un système avec économie d'eau. Que devons-nous utiliser dans un tel cas? Comment le volume peut être jugé adéquat pour la détermination du volume par les ingénieurs pour le dimensionnement des structures d'entreposage, alors que selon la grille de référence, 6.8 L (sans TA) doit être considéré plutôt que 4.2 L (avec TA)? RÉPONSE : Le nouveau guide du CRAAQ « Valeurs références pour les volumes et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage », précise que ces valeurs peuvent être utiles lors de la valorisation par épandage des déjections animales pour la planification de la fertilisation des cultures et pour l’établissement de la production annuelle de phosphore (P2O5) d’un lieu d’élevage. Le guide précise aussi que les valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation des élevages actuels et que l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives est la caractérisation des effluents d’élevage. D’ailleurs, les valeurs références pour la production porcine proviennent d’un projet de recherche initié en 2000. Donc, en réponse à votre question,
Lire la suite
15 avril 2020
QUESTION : Je m'apprête à déposer une reconnaissance de droits d'exploitation au 5 août 2010 au MELCC pour un site de production de poules et coqs d'incubation d'OEUFS DE VACCIN. Il faut savoir que la race de poules d'oeufs de vaccin est la même que celle utilisée pour la production d'oeufs de consommation, excepté que
les poules sont accompagnées de coqs de même race. La production de P2O5 de ces poules est connue (CRAAQ oeufs de consommation) mais pas celle des coqs. J'hésite à prendre la valeur Annexe VII-poules pondeuses oeufs de consommation pour les coqs également car ces derniers sont beaucoup plus gros que les poules. D'un autre côté, la valeur Annexe VII-poules pondeuses d'incubation est probablement sur-estimée puisque la poule d'incubation est beaucoup plus grosse que la poule de consommation. Je me demandais s'il existait des valeurs de référence pour les coqs présents dans des élevages de poules pondeuses d'oeufs de vaccin ou des données qui incluaient carrément les coqs au sein d'élevage de poules pondeuses d'oeufs de vaccin RÉPONSE : À ce jour, le CRAAQ ne possède aucune valeur référence pour les élevages de poules pondeuses d’incubation d'oeufs de vaccin. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
1 à 10 sur 83