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85 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
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14 janvier 2025
QUESTION : Que signifie le terme "nombre effectif de rotations" dans la note 1 sous le tableau 3.4 des Valeurs références? Est-il vrai de dire qu'une rotation de 35 jours vs 42 jours en poulets à grille femelle, par exemple, aura les mêmes rejets par tête produit? Il serait logique de croire qu'il y aura moins de
rejets par lot si mon producteur garde ses oiseaux 35 jours au lieu de 42. RÉPONSE : Votre question réfère à la p.26 du «Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d'éléments fertilisants dans les effluents d'élevage». La fin de la note 1 du tableau 3.4 exhorte en effet les agronomes à considérer le nombre effectif de rotations dans l'élevage lorsque celui-ci diffère du nombre de jours inscrit à la 2e colonne du même tableau. Toutefois, les valeurs de rejets par tête produite doivent être considérées car il s'agit de la valeur de référence acceptée et reconnue. À la page suivante du Guide, vous trouverez un exemple de calcul de charge annuelle de phosphore à l'exemple 1 qui illustre un cas calqué sur les valeurs de références. Toutefois, vous pouvez constater que l'exemple 3 réfère à une situation similaire à celle que vous soulevez, soit une durée d'élevage plus courte que celle inscrite au Tableau 3.4. La charge annuelle de phosphore calculée est alors plus élevée puisque le rejet par tête produite demeure le même. Toutefois, comme vous le soulignez, il est fort possible que la charge phosphore de l'élevage décrit soit plus faible que celle calculée à l'aide des valeurs de référence. Une caractérisation des déjections sur l'entreprise vous permettra de valider cette information. Le comité de coordination effluents d’élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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05 décembre 2024
QUESTION : Pour une demande d'autorisation ministérielle , je veux calculer la charge phosphore pour une production bovine (semi-finition et engraissement), comment dois-je procéder? En utilisant l'analyse fertilisante CRAAQ ou les rejets par tête produites CRAAQ. RÉPONSE : La page 20 du «Guide Valeurs références pour
les volumes et les concentrations d'éléments fertilisants dans les effluents d'élevage» illustre une exemple de calcul de rejet de P2O5 par tête. Pour calculer la charge phosphore d'un lieu d'élevage, vous devez effectuer l'équation suivante pour chaque catégorie d'élevage détaillées au tableau 3.2 (ex : bouvillons semi-finition) : Nombre de tête x nombre de rotations x rejets P2O5/tête = X kg P2O5. Ces valeurs concordent normalement avec celles de l'annexe VII du REA. Pour un bâtiment abritant plusieurs catégories d'animaux, il faut additionner les valeurs obtenues pour chaque catégorie afin d'établir la charge du lieu d'élevage. Le comité de coordination effluents d’élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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11 octobre 2024
QUESTION : Bonjour, J'ai un client qui sépare son lisier de porc en solide et en liquide. Il exporte tout le lisier de porc. Le liquide chez un receveur et le solide chez un autre. En ce moment il ne caractérise pas, mais je crois que ce serait la meilleure solution pour lui pour comptabiliser la quantité produite en solide
et en liquide par année avec des analyses associées. Pour l'instant puisque la caractérisation est en cours, comment est-ce que je détermine les analyses à utiliser pour la portion liquide et pour la portion solide? Pour le total produit par année, j'utiliserais les valeurs CRAAQ pour connaitre le total théoriquement produit par les animaux, mais je ne suis pas certaine comment déterminer l'analyse de chaque portion. Qu'est-ce que vous proposez? RÉPONSE : Pour ce qui est des élevages porcins sous gestion solide ou en séparation des phases solides et liquides, le CRAAQ n’a publié aucune valeur référence. Par conséquent, l’agronome n’a d’autres choix que d’utiliser les données résultant de la caractérisation des fumiers d’une autre entreprise qui opère la même conduite d’élevage pour établir les ratios en éléments fertilisants des 2 phases ou d’utiliser les données d’une autre source fiable (organisme gouvernemental ou de certification ou revue de littérature) si vous réussissez à en obtenir. Dans ce cas plus précis, des résultats de caractérisation issus d'entreprises ayant une régie d'élevage similaire et ayant effectué les caractérisations séparées d'un surnageant et d'un fond de fosse pourrait servir de comparatif pour établir les ratios en éléments fertilisants pouvant être associés à chaque phase. Vous devrez toutefois tenir compte du rapport C/N qui sera probablement différent dans une phase solide et qui affectera la disponibilité et la charge nette apportée en azote. Comité de coordination effluents d'élevage Quant aux valeurs totales pondérées en concentration d’éléments fertilisants, vous devrez vous référer aux valeurs disponibles
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24 mai 2024
QUESTION : Afin de calculer la charge en phosphore pour une demande de Certificat d’Autorisation, j’ai utilisé le nombre de dindons à griller potentiellement vendu (nb entré X 94-95%) X 0,161 kg P2O5/tête X nb lot / année. L’analyste me dit que je dois utiliser le nb d’oiseau entrée car dans l’exemple du guide c’est
un chiffre rond (10000). La note 5 du tableau 3.4 mentionne bien qu’il est question du nombre d’oiseau vendus. Je sais que ce n’est peut-être un détail mais quand il y a pas mal d’oiseaux, ça fait facilement 2000 kg P2O5 de différence. RÉPONSE : Il est à souligner que les valeurs de référence pour les rejets de dindons sont issues de caractérisations réalisées dans ces types d'élevage, tel qu'indiqué à la note 4 du tableau 3.4 . De ce fait, les rejets par tête produite (161 g P2O5 / tête pour le dindon à griller) ont été calculés sur la base de l'analyse des fumiers à la sortie du bâtiment et du cheptel vendu. La note 5 du même tableau sert donc à expliquer la méthodologie qui a été observée afin de déterminer ces valeurs. Toutefois, les exemples données à la page suivante pour déterminer la charge annuelle de phosphore d'un cheptel se basent sur le nombre d'animaux à l'entrée du bâtiment, en cohérence avec le principe d'inventaire maximum sur le lieu d'élevage. Dans ce calcul, la mortalité durant la période d'élevage n'est pas considérée. Bien entendu, une caractérisation des déjections animales suite à l'augmentation du cheptel permettra d'évaluer avec plus de justesse la charge de phosphore liée au lieu d'élevage. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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01 mai 2024
QUESTION : Un producteur a 2 sites d'entreposages: une fosse circulaire pour le lisier et une plate-forme pour le fumier. Ces 2 structures sont sur le même lieux d'élevage, mais associées à 2 groupes de bovins distincts donc 2 bâtisses. Pour les épandages, il fait un mélange du fumier et du lisier. Est-ce accepté
de prendre l'analyse du mélange uniquement tout en tenant un registre d'épandage pour le lisier et le fumier vu que ça provient du même cheptel sans pour autant être les mêmes animaux associés au fumier et au lisier? RÉPONSE : Dans le cas présenté, la caractérisation séparée des 2 déjections (fumier et lisier) s'impose afin de déterminer la charge phosphore produit sur le lieu d'élevage. Plusieurs facteurs peuvent influencer les valeurs obtenues du mélange : ratio et uniformité du mélange, brassage de la fosse à lisier, etc. Ces facteurs ne sont pas pris en compte dans les protocoles respectifs de caractérisation de fumier solide et liquide, ce qui diminue la représentativité et la fiabilité des données. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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20 octobre 2023
Dans la mise à jour du REA de Septembre 2022, il sera permis, sous certaines conditions, d'utiliser la méthode de bilan alimentaire pour ''remplacer'' la caractérisation des effluents d'élevage en production porcine et avicole. En faisant mes recherches, il est plutôt rare d'avoir un bilan du N et du K avec la méthode
de bilan alimentaire. Souvent, ce sont les bilans en P qui sont concernés. Comment allons nous allier le bilan alimentaire en P et les autres éléments N et K. Est-ce que le P du bilan alimentaire sera utilisé et le N et le K seront issu de la caractérisation passé des effluents? Ou le N et le K seront issus des références du CRAAQ? Le bilan alimentaire peut effectivement être utilisé afin d'établir la production de phosphore d'un lieu d'élevage sous certaines conditions dans les productions porcines et d'oeufs de consommation. La charge en phosphore issue du bilan alimentaire peut donc être utilisée afin de produire le bilan de phosphore de ce lieu d'élevage. Par ailleurs, dans le cadre de l'élaboration d'un PAEF, l'agronome peut utiliser plusieurs méthodes afin d'établir les valeurs fertilisantes associées à un effluent d'élevage. Les données issues d'une précédente caractérisation peuvent être utilisées si elles sont toujours jugées pertinentes par l'agronome. Ce dernier devra utiliser la méthode qui lui semble la plus appropriée afin d'établir les teneurs en éléments fertilisants d'un fumier ou d'un lisier. Toutefois, si l'agronome établit la charge phosphore d'un lieu d'élevage à partir du bilan alimentaire dans le cadre de l'élaboration d'un bilan de phosphore, il est attendu que les données inscrites au PAEF pour les déjections issues de ce lieu d'élevage soient cohérentes avec celles du bilan alimentaire ainsi que celles du bilan de phosphore. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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23 janvier 2022
QUESTION: Une ferme de poulets à griller qui comporte 4 poulaillers sur le même lieu d’élevage a caractérisé son fumier en 2020 et 2021. Il a respecté le protocole (1 analyse par bâtiment par année, à des différents moments de l’année, etc.). Il sort 7 lots de poulets par année. Il a donc 7 lots par année X 2 années X
4 bâtiments (56 sorties). J’ai reçu les tonnages sortis pour chaque lot de chaque poulailler (donc 56 pesées). J’ai aussi les mesures de la remorque pour mesurer la densité. Pour valider le cheptel et la catégorie d’élevage, ça se corse, car les couvoirs ne sexent plus les poussins. Le producteur mentionne que le non-sexage des poussins deviendrait même la norme, à l’avenir. J’ai donc des poussins mixtes (mâles et femelles) et des analyses de fumier mélangé. Le plus gros couvoir au Canada (Boire) me dit que leurs chiffres démontrent des éclosions de 50.4% poussin mâle pour 49.6% poussin femelle. Question : Puis-je calculer les rejets par tête femelle vs mâle en prenant les proportions moyennes d’éclosion? Ex. pour un lot de 10000 poussins mixtes, j’ai 5040 poulets mâles et 4960 poulets femelles. Le tonnage serait réparti proportionnellement entre les 2 catégories. L’analyse et la densité seraient la même pour les 2 catégories. Mais les rejets seraient légèrement différents selon la catégorie. Il n’existe pas de données plus précises. Malgré la « non-catégorie REA », l’analyse du fumier est précise, le fumier est mélangé et c’est ce fumier qui est épandu sur les terres (et recommandé dans un PAEF). RÉPONSE: Si l’on prend pour acquis que la proportion de mâle et femelle semble être stable, la production annuelle de fumier devrait être relativement équivalente d’un cheptel à l’autre. Par conséquent, dans le cas où le non sexage deviendrait la norme, le plus simple serait d’évaluer la charge fertilisante annuelle par tête et appliquer cette valeur au nombre de têtes produites annuellement par poulailler. Aussi, il serait pertinent de comparer votre production
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21 janvier 2022
QUESTION : Je sais que les valeurs de référence du CRAAQ pour les fumiers sous forme liquide inclut les eaux de laiterie et les précipitations, cela m’est confirmé dans la section Foire aux questions « Eaux de Laiterie de la Base de connaissance effluent d’élevage ». Dans le document Valeurs de références pour les volumes
et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage (2020), spécifie au bas du tableau (p.16) Production laitière: « L’eau des précipitations est incluse dans les volumes sous-gestion liquide.» Or je ne trouve nulle part l’indication textuelle dans ce document précisant cette information. Y a-t-il un document ou un ouvrage de référence officielle, citant textuellement que les eaux de laiterie sont incluses dans les valeurs de référence du CRAAQ. RÉPONSE : En ce qui concerne les volumes produits en production laitière, le seul document faisant référence spécifiquement aux eaux de laiterie est l’Agdex 538/400.27, 1999, intitulé Fumier de ferme - Production . Ce qu’il faut comprendre, c’est que les valeurs références, pour la production laitière ont été adaptées afin d’avoir la même charge fertilisante totale (masse X teneur) peu importe si les déjections animales sont entreposées sous forme solide ou liquide, ce qui n’était pas le cas avec les valeurs de l’Agdex 538/400.27. Comme les valeurs références en production laitière sont issues d’une revue littérature qui date de 2003, il est important de rappeler que ces valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation de la majorité des élevages actuels. Par conséquent, la caractérisation des effluents d’élevage selon les protocoles en vigueur publiés par le CRAAQ constitue l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives des effluents d’élevage du cheptel présent dans un lieu d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour
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25 août 2020
QUESTION : Je vous écris concernant le domaine des données d'effluents d'élevage. J'aimerais savoir si un document comme «État de situation : Outils disponibles et particularités liés aux effluents d'élevage dans les production en développement Éditeur : CRAAQ» est en cours de mise à niveau. Ce document date de 2008 et
je serais intéressée de connaître si les valeurs ont changé depuis. Ma demande concerne une production de cerfs rouges. RÉPONSE : Actuellement, en ce qui concerne les productions en développement, il y a un projet en cours dans la production du Bison, afin de mettre à jour les données entourant la production d’effluent d’élevage et les teneurs en éléments fertilisants. Pour les autres productions citées dans le document que vous nous présentez, aucune mise à jour n’a été réalisée. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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19 juin 2020
RÉPONSE: Les calculs de l’ingénieur et de l’agronome répondent à deux objectifs différents. Les calculs de l’ingénieur visent à évaluer la capacité d’entreposage d’un lieu d’élevage, alors que les calculs de l’agronome visent à évaluer la production annuelle de phosphore d’un lieu d’élevage dans le but de réaliser un bilan
de phosphore répondant aux exigences réglementaires du REA. Nous vous rappelons que le guide du CRAAQ précise que les valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation des élevage actuels et que l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives est la caractérisation des effluents d’élevage. (page 4 du guide) Dans une demande de CA, le MELCC analysera les calculs des professionnels en tenant compte des consensus et règles de l’art établis dans chacune des professions. Donc, il est très possible que les valeurs de volumes utilisées par l’ingénieur soient différentes de celles utilisées par l’agronome. Dans la situation que vous proposez, comme il s’agit d’un nouveau lieu d’élevage, il a été convenu que l’agronome utilise les valeurs références du CRAAQ pour établir la production annuelle de phosphore dans sa demande de CA. (page 5 du guide) Par la suite, la caractérisation des effluents d’élevage permettra d’évaluer les volumes correspondant à la situation réelle du lieu d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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