Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
16997 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
8467 archives correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
25 août 2023
clérotiniose dans le soya en fin de saison : comment l'évaluer et quoi faire en cas d'infection. Jaunissement du soya en fin de saison. Mauvaises herbes résistantes au glyphosate : plusieurs cas rapportés dans les dernières semaines. Désherbage de fin de saison. Pensez aux céréales d'automne. COMMENT ÉVALUER
LA SCLÉROTINIOSE DANS LE SOYA EN FIN DE SAISON ET QUOI FAIRE EN CAS D'INFECTION T. Copley1, Y. Faucher2, V. Samson2 et B. Duval2 1. Chercheuse (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ) Les symptômes de la sclérotiniose sont observés actuellement dans certains champs de soya. Bien que cette maladie puisse causer des pertes de rendement, ce n’est pas toujours le cas, même quand elle est répandue au champ. Il est donc pertinent de bien évaluer la sévérité de la maladie dans un champ, soit de calculer le « DSI » (Disease severity index ou indice de sévérité de la maladie) afin de mieux comprendre si les seuils de dommages économiques ont été atteints. L’évaluation du DSI permet également de planifier les méthodes préventives à implanter pour des années subséquentes afin de réduire de futures pertes. Voici comment calculer le DSI : Choisir 5 à 10 stations de façon aléatoire au champ. Les stations devraient être représentatives de l’état général du champ et ne devraient pas se trouver uniquement dans des foyers symptomatiques. Évaluer la sévérité de la maladie sur un minimum de 50 plantes par station, soit 25 plantes par rang. Compter le nombre de plantes dans chaque catégorie suivante : 0- Aucun symptôme de la sclérotiniose; 1- Maladie présente sur les branches latérales; 2- Maladie présente sur la tige principale, mais les gousses sont saines et ne présentent pas de symptômes; 3- Maladie présente sur la tige principale et les gousses sont atteintes ou plante symptomatique et flétrie ou plante morte. Calculer le DSI selon la formule suivante : Le DSI peut aider à déterminer si le seuil de dommages économiques a été atteint,
Lire la suite
18 août 2023
Puceron du soya : les populations sont majoritairement faibles et le stade du soya ne sera bientôt plus à risque. Défoliation dans le soya : quel ravageur fait quel dommage? Chrysomèle de l'asclépiade. PUCERON DU SOYA : LES POPULATIONS SONT MAJORITAIREMENT FAIBLES ET LE STADE DU SOYA NE SERA BIENTÔT PLUS
À RISQUE J. Saguez1, B. Duval2, V. Samson2, S. Boquel1 et J. Breault2 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ) Selon les dépistages effectués les 14 et 15 août dans 62 champs suivis par le sous-réseau Grandes cultures, le puceron du soya était présent dans 59 champs. Toutefois, les populations sont encore très faibles, avec une moyenne provinciale de 31,8 pucerons/plant. Un seul site dépasse le seuil d’alerte de 250 pucerons/plant. Ce site est situé à Valcourt (Estrie) avec une moyenne de 355 pucerons/plant; le soya est au stade R5. La majorité des champs dépistés a maintenant atteint les stades R5 ou R6 et les infestations survenant à partir du stade R5 affectent peu le rendement du soya. Ainsi, compte tenu des faibles populations de pucerons et du stade de la culture, il y a peu de risque que les pucerons causent des pertes de rendement cette année. Si vous souhaitez plus de détails, vous pouvez consulter le document Lutte intégrée contre le puceron du soya. DÉFOLIATION DANS LE SOYA : QUEL RAVAGEUR FAIT QUEL DOMMAGE? Y. Faucher1, B. Duval1, S. Brousseau-Trudel1, S. Boquel2 et J. Saguez2 1. Agronome (MAPAQ) 2. Chercheur (CÉROM) On observe, à cette période de la saison, différents insectes défoliateurs dans les champs de soya. Même s’il n’est pas toujours possible d’observer le ravageur en action, il est souvent possible, par la façon dont la feuille est défoliée, d’identifier celui qui est en cause. La figure ci-dessous présente l’aspect des dommages causés par les principaux défoliateurs dans le soya. Dommages de défoliation du soya par divers ravageurs : A) Limaces B) Scarabées
Lire la suite
11 août 2023
VGOH : captures de papillons généralement en baisse. Le dépistage des masses d'oeufs et des jeunes larves est requis pour déterminer le besoin d'une intervention. Chrysomèle du haricot observée dans le soya. Puceron du soya : les populations sont faibles dans tous les sites, sauf pour un champ (Lanaudière). Maladies
foliaires du soya en fin de saison. VER-GRIS OCCIDENTAL DU HARICOT (VGOH) : LES CAPTURES DE PAPILLONS COMMENCENT À DIMINUER SUR PLUSIEURS SITES. DÉPISTEZ LES MASSES D'OEUFS ET LES JEUNES LARVES POUR SAVOIR SI UNE INTERVENTION EST JUSTIFIÉE J. Saguez1, J. Breault2, V. Samson2, S. Brousseau-Trudel2, B. Duval2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Au cours de la dernière semaine, bien que des augmentations aient été observées sur quelques sites, les captures de papillons ont commencé à diminuer dans une grande majorité des pièges (voir le tableau des captures). Cette année semble être une année record pour les captures de papillons mâles, puisque la moyenne provinciale dépasse celle des années précédentes. Toutefois, seulement quelques sites dépassent le seuil économique d’intervention pour le maïs grain utilisé en Amérique du Nord (5 % de plants infestés, qui est un seuil cumulatif basé sur les différentes semaines de dépistage). Les sites infestés se trouvent notamment en Mauricie et en Outaouais. Le dépistage des masses d’œufs et des jeunes larves est encore de mise pour les deux prochaines semaines dans les champs de maïs à risque, puisque les papillons sont actifs et pondent pendant quelques semaines. Les masses d’œufs sont pondues aléatoirement dans les champs. Il est donc important de dépister les masses d’œufs et les jeunes larves à plusieurs endroits dans le champ. Plusieurs producteurs et conseillers se posent la question s’ils doivent intervenir et quand. Voici quelques éléments à considérer pour la prise de décision : Si le champ se trouve sous le
Lire la suite
04 août 2023
VGOH : captures augmentent fortement, seuil atteint pour le nombre de masses d’œufs sur quelques sites. Pourriture à sclérotes : stade critique d’infection passé pour la plupart des champs. Quelques cas de pourriture phytophthoréenne du soya. Puceron du soya : augmentation très tranquille des populations
et dépassement du seuil d’alerte dans un champ de Lanaudière. VGOH : LES CAPTURES DE PAPILLONS AUGMENTENT FORTEMENT ET QUELQUES SITES ATTEIGNENT LE SEUIL ÉCONOMIQUE D'INTERVENTION POUR LE NOMBRE DE MASSES D'OEUFS J. Saguez1, J. Breault2, B. Duval2, S. Mathieu2 et C. Rieux2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronomes (MAPAQ) Les captures de papillons du ver-gris occidental des haricots (VGOH) ont augmenté dans toutes les régions du Québec. Dans plusieurs pièges, ils se comptent par centaines (voir le tableau). Cette semaine, c’est dans un piège situé à Saint-Étienne-des-Grès (Mauricie) que les captures étaient les plus abondantes, avec plus de 1 000 spécimens capturés. Elles sont plus importantes que les autres années à la même date. Évolution des captures moyennes de papillons de VGOH au cours des dernières années Les captures de papillons ne sont toutefois qu’un indicateur de la présence de populations dans une région. Elles ne permettent pas de juger de la pertinence d’une intervention dans le champ où un piège est installé. Seul le dépistage permet de savoir si les papillons ont pondu dans les champs. Nous sommes actuellement dans une période propice pour le dépistage des masses d’œufs dans les champs de maïs à risque qui ont atteint le stade VT. Parmi les 40 champs suivis par le sous-réseau Grandes cultures pour le dépistage des masses d’œufs, des masses d’œufs et des jeunes larves ont été retrouvées dans six champs. Par contre, le seuil économique d’intervention (5% de plants affectés) n’a été atteint que pour deux champs situés à Saint-Étienne-des-Grès, soit 5 % de la totalité des champs suivis par le
Lire la suite
03 mai 2018
Le phylloxera est largement répandu dans toutes les régions viticoles au monde et il demeure l'un des insectes les plus redoutables pour cette culture. Bien que la viticulture soit relativement récente au Québec, le phylloxera est en progression constante dans nos vignobles et sa présence devient de plus en plus inquiétante.
Au Québec, très peu d’informations sont disponibles pour lutter contre ce ravageur. Au Québec, la forme gallicole du phylloxera est en progression constante depuis quelques années et certains cépages démontrent une sensibilité importante à ce ravageur. Les dommages causés par le phylloxera foliaire sont peu documentés dans nos conditions, mais quelques hypothèses ont été soulevées. Ce ravageur diminuerait la capacité de photosynthèse du feuillage et auraient par conséquent un impact sur le rendement, la maturation et la qualité des baies produites, ainsi que sur la vitalité du plant de vigne. Ce projet visait à acquérir de plus amples informations concernant les effets du phylloxera sur la vigne. Pour les cépages hybrides, le phylloxera a un impact réduit sur la vigne et le rendement.
Lire la suite
11 août 2023
Poursuite d’une bonne croissance en général, sauf si excès en précipitations. Maladies : présence du mildiou dans six régions de la province, conditions toujours très favorables au champignon; progression graduelle de la brûlure hâtive dans le sud de la province; évolution à la hausse d’autres pathogènes. Ravageurs :
majoritairement sous contrôle. CONDITIONS MÉTÉOROLOGIQUES Pour la période du 4 au 10 août, ce fut une météo à nouveau difficile en plusieurs endroits. Les températures se sont maintenues près des moyennes de saison pour le sud de la province, mais souvent en-dessous pour la région de Québec en allant vers l’est. Les nuits ont été, la plupart du temps, douces, sauf plus fraiches par moments, dont au Témiscamingue avec 5-6 ºC (voir le sommaire agrométéorologique). Des périodes de fortes pluies, parfois accompagnées d’orages, ont eu lieu dans plusieurs secteurs de la province, avec des cumuls en précipitations très appréciables. Entre autres, une perturbation est passée les 8 et 9 août en plusieurs endroits, donnant des quantités journalières élevées jusqu’à 110 mm dans la région de Québec et 150 mm en Gaspésie, ce qui dépasse la moyenne historique des précipitations totales en août (voir la carte des précipitations des sept derniers jours). Pour la période du 11 au 17 août (selon Environnement Canada), des températures plutôt fraîches (le jour) sont prévues, avec du temps humide et de fréquents risques d’averses. DÉVELOPPEMENT DE LA CULTURE Les collaborateurs rapportent de la variabilité dans les champs selon le type de sol et les précipitations reçues. La croissance demeure généralement bonne avec une généreuse biomasse foliaire en plusieurs endroits (photo), mais qui a tendance à se stabiliser dans des parcelles. Les fortes précipitations ont également couché du feuillage par endroits et conduit à des situations d’eau stagnante dans des champs à texture plus lourde. Le remplissage des tubercules se poursuit bien
Lire la suite
11 décembre 2023
Présentations de la journée terre noire qui s’est déroulée dans le cadre des Journées horticoles et grandes cultures 2023 à Saint-Rémi. Seules les présentations autorisées pour publication sont déposées sur le site d’Agri-Réseau. Consultez les présentations en suivant les liens : Contrôle des pucerons dans la
laitue pommée : essai en bassinage et approche biologique Jessica Girona, M. Sc., professionnelle de recherche, Phytodata inc. Dernières avancées en termes d’aération et de drainage des sols organiques Jean Caron, Professeur en physique des sols, titulaire de la chaire CRSNG en conservation des sols organiques et ex-directeur scientifique du réseau québécois de recherche en agriculture durable, co-fondateur de Hortau Inc. (2002) et fondateur de Édaphis inc. (2012) Des nouvelles de la production ontarienne d'oignon: les insectes et maladies présents en 2023 Travis Cranmer, spécialiste en cultures maraîchères, ministère de l'Agriculture, de l'alimentation et des affaires rurales en Ontario Importance des relevés de terrain pour supporter la cartographie et la conservation des sols organiques Raphaël Deragon, agr., M. Sc., Université Laval Le Centre de lutte antiparasitaire a 20 ans déjà ! Une équipe locale qui répond à vos besoins ! Martin Trudeau, Julie Smaers, Cezarina Kora, Centre de lutte antiparasitaire, Agriculture et Agroalimentaire Canada Où quand comment? Profil des espèces et facteurs de risque pouvant influencer les dommages causés par les mouches des semis Anne-Marie Fortier, Compagnie de recherche Phytodata Inc., Sherrington, Allen-Bush Beaupré et Jade Savage, Université Bishop’s, Sherbrooke Promotion de croissance et amélioration des rendements chez la laitue grâce à l’utilisation de nouvelles technologies microbiennes ciblées Martin Filion, Ph. D., Agriculture et agroalimentaire Canada Suivi des populations d’altises dans les radis en sol organique et évaluation de méthodes alternatives de contrôle des dommages Laurence Fleury,
Lire la suite
1 à 10 sur 16997