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02 décembre 2024
Les plus récentes cibles visant la conservation et la restauration des milieux naturels à l’échelle du territoire québécois inscrites au Cadre mondial de la biodiversité de Kunming à Montréal en 2022 commandent des gains de superficies de milieux naturels préservés à l’intérieur des régions en possédant
moins de 30 %?1. Or, dans certaines régions dominées par des agglomérations urbaines et des terres agricoles parmi les plus productives de la province, le territoire agricole apparaît pour plusieurs comme le secteur le plus propice à accueillir ces initiatives de restauration. Conscients des enjeux liés à cette richesse collective que sont les terres agricoles, les partenaires régionaux se concentrent donc davantage sur les secteurs moins productifs du territoire, afin d’amorcer cette restauration écologique tout en minimisant les impacts sur la rentabilité des entreprises agricoles. Les coulées agricoles sont considérées comme une zone de prédilection pour cela. Il importe toutefois que les aménagements qui y sont réalisés le soient non seulement au bénéfice de la qualité de l’eau et de la biodiversité, mais également des entreprises agricoles. Les recommandations présentées dans le présent guide rendent d’ailleurs compte de l’adéquation possible, voire nécessaire, des impératifs collectifs et agricoles dans les projets de valorisation des coulées par l’entremise d’aménagements judicieux. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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02 décembre 2024
La coulée agricole est une zone d’écoulement préférentielle de l’eau dont l’érosion a créé un relief accidenté présentant des pentes plus ou moins prononcées. La présence d’eau en contrebas y est plus ou moins importante, voir intermittente. Consulter également la vidéo de ce projet. Livrables d'un projet financé dans
le cadre du Plan d'agriculture durable.
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Nouveau
02 décembre 2024
La coulée agricole est une zone d’écoulement préférentielle de l’eau dont l’érosion a créé un relief accidenté présentant des pentes plus ou moins prononcées. La présence d’eau en contrebas y est plus ou moins importante, voir intermittente. Consulter égaleement la vidéo de ce projet. Livrables d'un projet financé
dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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Nouveau
02 décembre 2024
La coulée agricole est une zone d’écoulement préférentielle de l’eau dont l’érosion a créé un relief accidenté présentant des pentes plus ou moins prononcées. La présence d’eau en contrebas y est plus ou moins importante, voir intermittente. Consulter également la vidéo de ce projet. Livrables d'un projet financé dans
le cadre du Plan d'agriculture durable.
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Mise à jour
02 décembre 2024
Les cultures de couverture apportent plusieurs avantages pour améliorer la santé et la conservation des sols et la qualité de l’environnement, tout en procurant des avantages pour la productivité des cultures et la gestion des intrants. Le projet «Réussir sa culture de couverture dans le maïs ensilage» déposé par Les Producteurs
de lait du Québec au Plan d’agriculture durable (PAD), a permis de réaliser ce cahier technique ainsi que deux capsules vidéo (Cuture intercalaire - Ferme M&G L'Heureux et Cultures de couverture après la récolte du maïs ensilage - Ferme Laroselait) afin d’encourager les producteurs à saisir les opportunités d’intégrer des cultures de couverture dans leur rotation.
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Mise à jour
28 novembre 2024
Formation en BIOSÉCURITÉ pour les éleveurs et employés adaptée au secteur des palmipèdes La biosécurité est un ensemble de mesures conçues dans le but de réduire le risque d'introduction, d'établissement et propagation de maladies, infections ou infestations dans une population animale. La formation est divisée en trois
sections: L'importance de la biosécurité L'employé au coeur de la biosécurité Une série de questions quiz pour vérifier les apprentissages
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22 novembre 2024
En vertu du Règlement sur les exploitations agricoles (REA), la caractérisation des effluents d’élevage est obligatoire pour une majorité d’entreprises agricoles ayant des activités d’élevage. Cette exigence revêt une grande importance, puisque c’est à partir des valeurs découlant de la caractérisation que
l’agronome établit le bilan de phosphore de l’entreprise et réalise le plan de fertilisation. Selon la réglementation en vigueur, une entreprise peut se soustraire à la caractérisation, mais elle doit alors évaluer la production de phosphore du lieu d’élevage en utilisant les données de l’annexe VI du REA qui correspondent aux valeurs moyennes du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ), majorées de 20 %. La problématique rencontrée actuellement sur le terrain est la difficulté pour les entreprises de prendre une décision éclairée sur la pertinence de caractériser ou non les effluents d’élevage. En effet, plusieurs éléments entrent en ligne de compte sur le plan réglementaire en lien avec le bilan de phosphore lorsque vient le temps de décider de procéder ou non à la caractérisation, notamment : La possibilité de basculer vers un bilan de phosphore positif en raison de l’utilisation des valeurs de l’annexe VI du REA; La disponibilité de superficies d’épandage actuelles et projetées; La quantité de déjections animales à exporter pour les entreprises en surplus de phosphore. De plus, l’utilisation de données de référence pour l’élaboration du plan de fertilisation biaise les valeurs fertilisantes réellement apportées par les déjections animales. L’intérêt, pour le producteur ou la productrice, d’une gestion optimale de la fertilisation sur l’entreprise influe aussi sur le processus décisionnel entourant la caractérisation. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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