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635 documents disponibles
193 archives disponibles
Mise à jour
18 novembre 2024
Outil pour caractériser le terroir viticole et évaluer le potentiel d'un site pour l'établissement d'un vignoble au Québec. IMPORTANT: nous vous invitons à enregistrer sur votre poste de travail le dossier comprimé comprenant la grille d'évaluation de même que son guide de l'utilisateur, pour être en mesure
d'utliser le module d'aide adéquatement.
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08 novembre 2024
Degrés-jours : 2024, saison record! Moments de la taille des vignes et impacts sur le rendement. Protection contre les rongeurs. Analyses de sol. Bilan agronomique de la saison 2024 dans les vignobles du Québec. DEGRÉS-JOURS ACCUMULÉS EN 2024 Les températures ont été supérieures à la normale
tout au long de la saison avec un cumul de degrés-jours parmi les plus élevés des 10 dernières années. Pour les régions du sud du Québec, les degrés-jours accumulés en 2024 sont similaires à ceux de 2018 et 2021. Pour les régions plus au nord (Abitibi, Bas-Saint-Laurent, Gaspésie, Mauricie, Capitale-Nationale), l’accumulation 2024 est la plus élevée depuis le début des prises de données (généralement 2016). Comparatif 2015-2024 MOMENTS DE LA TAILLE ET IMPACTS SUR LES RENDEMENTS La taille des vignes non rustiques, qui doivent être protégées pour l’hiver, bat son plein dans les vignobles du Québec. Certains vignerons sont tentés de faire une taille finale en vue d'économiser du temps au printemps prochain. Toutefois, une étude réalisée au Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel (CRAM) a démontré qu’une taille finale réalisée à l’automne (avant ou après la chute des feuilles) engendrait une diminution du taux de survie des bourgeons primaires des vignes durant l'hiver et une baisse de rendement l’année suivante. Les vignes prétaillées à l’automne obtenaient un taux de survie et un rendement meilleurs. La prétaille consiste à laisser un nombre excédentaire de bourgeons à l'automne (par exemple le double) et de faire la taille finale au printemps après le retrait des toiles. Dans le cadre du projet, le fait de tailler avant ou après la chute des feuilles n’a pas eu d’impact sur les rendements l’année suivante. Toutefois, il a été démontré dans d’autres études que les métabolites contenus dans les feuilles sont acheminés dans les organes de stockage des vignes (bois et bourgeons) lors de l’abscission des feuilles et utilisés
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21 octobre 2024
La gestion des mauvaises herbes au pied des vignes est un enjeu majeur en viticulture. Au Québec, la majorité des entre-rangs des vignobles sont enherbés et les rangs sont désherbés à l’aide d’herbicides ou d’équipement de désherbage mécanique. Dans une optique de réduction des pesticides, l’utilisation de couvre-sols enherbés
sous le rang de vigne est un réel gain pour l’environnement et la santé. Cette pratique vise à maîtriser le développement d’adventices indésirables en recouvrant le sol d’espèces végétales sélectionnées. Elle est bien plus qu’une simple façon de remplacer le désherbage chimique et mécanique, car elle offre de multiples avantages. Elle permet de protéger le sol en limitant l’érosion, le ruissellement, la compaction et l’évaporation excessive. Elle favorise la biodiversité et limite les blessures mécaniques, porte d’entrée de plusieurs maladies. Ce projet d’une durée de 3 ans a donc pour but d’évaluer le potentiel de couvre-sols permanents sur le rang comme alternative aux herbicides dans la culture de la vigne au Québec. Pour ce faire nous avons suivi sur trois ans quatre couvre-sols végétaux vivaces comparés à deux traitements témoins dans deux vignobles québécois. Les espèces choisies sont : 1) le Lotier corniculé (Lotus corniculatus); 2) le Thym serpolet (Thymus serpyllum); 3) l’Aspérule odorante (Galium odoratum); 4) l’Épervière piloselle (Pilosella officinarum) et elles étaient comparées à 5) l’Enherbement spontané et 6) le Sol à nu (herbicides selon les pratiques du producteur). Nous avons évalué l’effet des couvre-sols sur la phénologie et la croissance des plants de vigne, sur les ravageurs et les maladies, ainsi que sur le rendement et la qualité des fruits. Nous avons aussi suivi l’établissement des différents couvre-sols choisis et leur compétitivité face aux adventices. Finalement, les problématiques récurrentes de gel sur les sites nous ont aussi amenés à évaluer l’effet du couvert végétal sur la température du sol à différents moments
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21 octobre 2024
Notre étude a permis de mettre en lumière l’intérêt des couvre-sols végétaux en vignoble comme alternative à l’utilisation d’herbicides sur le rang. Nos résultats montrent que les couvre-sols à l’étude ont peu d’effet sur la croissance des vignes, les maladies, les ravageurs et ultimement le rendement, tout en étant une
belle façon d’accroître la biodiversité en vignoble. Des espèces se démarquent dans le contexte de l’étude, soit le thym serpolet et l’épervière piloselle. Ces deux plantes ne nécessitent pas de fauches, car elles restent basses et ne créent pas de problèmes d’humidité aux pieds des ceps. Elles ont aussi une jolie floraison attractive pour les insectes bénéfiques et sont intéressantes pour l’agrotourisme. Leur coût d’implantation reste plus élevé, car elles s’établissent mieux à partir de transplants, mais elles arrivent alors à dominer l’espace rapidement et laissent peu de place à des plantes indésirables. Il reste que des techniques d’implantation plus abordables comme l’hydroensemencement par exemple, devront être testées pour faciliter leur utilisation à l’échelle commerciale. Ce sont également des espèces qui se naturalisent très bien dans le reste du couvre-sol du verger et supportent assez bien le piétinement. Peu de travaux avaient été réalisés sur les couvre-sols permanents dans la vigne au Québec à ce jour, mais devant le fait que le buttage est de plus en plus délaissé, cette technique devient possible et transférable sur une majorité d'entreprises viticoles. Les couvre-sols à l'essai pourraient aussi être intéressants pour plusieurs autres cultures fruitières qui connaissent des enjeux similaires (bleuets, camerises, pommes, poires, etc.).
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16 octobre 2024
Notre étude a permis de mettre en lumière l’intérêt des couvre-sols végétaux en vignoble comme alternative à l’utilisation d’herbicides sur le rang. Nos résultats montrent que les couvre-sols à l’étude ont peu d’effet sur la croissance des vignes, les maladies, les ravageurs et ultimement le rendement, tout en étant une
belle façon d’accroître la biodiversité en vignoble. Des espèces se démarquent dans le contexte de l’étude, soit le thym serpolet et l’épervière piloselle. Ces deux plantes ne nécessitent pas de fauches, car elles restent basses et ne créent pas de problèmes d’humidité aux pieds des ceps. Elles ont aussi une jolie floraison attractive pour les insectes bénéfiques et sont intéressantes pour l’agrotourisme. Leur coût d’implantation reste plus élevé, car elles s’établissent mieux à partir de transplants, mais elles arrivent alors à dominer l’espace rapidement et laissent peu de place à des plantes indésirables. Il reste que des techniques d’implantation plus abordables comme l’hydroensemencement par exemple, devront être testées pour faciliter leur utilisation à l’échelle commerciale. Ce sont également des espèces qui se naturalisent très bien dans le reste du couvre-sol du verger et supportent assez bien le piétinement. Peu de travaux avaient été réalisés sur les couvre-sols permanents dans la vigne au Québec à ce jour, mais devant le fait que le buttage est de plus en plus délaissé, cette technique devient possible et transférable sur une majorité d'entreprises viticoles. Les couvre-sols à l'essai pourraient aussi être intéressants pour plusieurs autres cultures fruitières qui connaissent des enjeux similaires (bleuets, camerises, pommes, poires, etc.).
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28 août 2024
Nouveauté : Affiche PFI 2024 disponible! Activité gratuite sur l'agriculture durable le 4 septembre. Début des récoltes pour le raisin de table. Aoûtement : c'est commencé! Utilisation des pesticides en agriculture. Maladie : moisissure grise. Insectes : guêpes et coccinelles présentes. Divers sujets toujours d'actualité.
RALENTISSEMENT ESTIVAL Pendant le mois d'août, les avertissements du sous-réseau Vigne seront généralement publiés aux deux semaines. Toutefois, nous demeurons présents sur le terrain et à l'affût des ravageurs ou autres problèmes qui pourraient affecter les vignobles. NOUVEAUTÉ L'affiche PFI vigne a été mise à jour par une super équipe de travail au cours des dernières semaines. Plusieurs l'ont reçue lors de la journée CVQ du 20 août dernier. Vous pouvez aussi la consulter et la télécharger en ligne. ACTIVITÉ SUR L'AGRICULTURE DURABLE Quand : mercredi 4 septembre de 10 h à 15h Où : Vignoble Domaine Beauchemin, 380 rue Guérin Lajoie, Yamachiche Coût : gratuit pour les vignerons, viticulteurs et agronomes et 20 $ pour les autres participants. Déroulement de la journée : Plusieurs sujets seront abordés, dont la biodiversité, la santé des sols et les cultures de couvertures entre les rangs. Réservez cette date à votre agenda! Inscription obligatoire avant le 2 septembre 2024. DÉVELOPPEMENT PHÉNOLOGIQUE Le stade de développement va de début à mi et fin de maturation selon les cépages et les régions viticoles. Pour certains sites, la récolte du raisin de table est commencée ou sur le point de l'être. En date du 27 août, malgré quelques journées plus fraîches, le cumul annuel de degrés-jour se classait parmi les plus élevés, comparable à celui de l'année 2018. Comparatif 2015-2024 Consultez Agrométéo Québec pour un visuel provincial de l'état d'avancement du développement des cépages à débourrement hâtif
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