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Grandes cultures, Avertissement No 17, 18 août 2023
18 août 2023
Puceron du soya : les populations sont majoritairement faibles et le stade du soya ne sera bientôt plus à risque. Défoliation dans le soya : quel ravageur fait quel dommage? Chrysomèle de l'asclépiade. PUCERON DU SOYA : LES POPULATIONS SONT MAJORITAIREMENT FAIBLES ET LE STADE DU SOYA NE SERA BIENTÔT PLUS À RISQUE J. Saguez1, B. Duval2, V. Samson2, S. Boquel1 et J. Breault2 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ)    Selon les dépistages effectués les 14 et 15 août dans 62 champs suivis par le sous-réseau Grandes cultures, le puceron du soya était présent dans 59 champs. Toutefois, les populations sont encore très faibles, avec une moyenne provinciale de 31,8 pucerons/plant. Un seul site dépasse le seuil d’alerte de 250 pucerons/plant. Ce site est situé à Valcourt (Estrie) avec une moyenne de 355 pucerons/plant; le soya est au stade R5. La majorité des champs dépistés a maintenant atteint les stades R5 ou R6 et les infestations survenant à partir du stade R5 affectent peu le rendement du soya. Ainsi, compte tenu des faibles populations de pucerons et du stade de la culture, il y a peu de risque que les pucerons causent des pertes de rendement cette année. Si vous souhaitez plus de détails, vous pouvez consulter le document Lutte intégrée contre le puceron du soya.     DÉFOLIATION DANS LE SOYA : QUEL RAVAGEUR FAIT QUEL DOMMAGE? Y. Faucher1, B. Duval1, S. Brousseau-Trudel1, S. Boquel2 et J. Saguez2 1. Agronome (MAPAQ) 2. Chercheur (CÉROM)   On observe, à cette période de la saison, différents insectes défoliateurs dans les champs de soya. Même s’il n’est pas toujours possible d’observer le ravageur en action, il est souvent possible, par la façon dont la feuille est défoliée, d’identifier celui qui est en cause. La figure ci-dessous présente l’aspect des dommages causés par les principaux défoliateurs dans le soya. Dommages de défoliation du soya par divers ravageurs : A) Limaces   B) Scarabées Lire la suite
07 août 2018
Défoliation du soya par divers ravageurs : méloé cendré, criquets, scarabée japonais, altises, limaces, etc.
Grandes cultures, Avertissement No 14, 15 juillet 2022
15 juillet 2022
Puceron du soya : seuil d'alerte non atteint (majorité des champs dépistés). Insectes défoliateurs du soya : à surveiller. Carence en potassium dans le soya : à surveiller. Pourriture phytophtoréenne : quelques cas observés. Pourriture à sclérotes du soya : champs à risque? Maladies dans les céréales : à surveiller. Pucerons dans les céréales : faut-il s'en préoccuper? Chrysomèle des racines du maïs : évaluation des dommages racinaires et dépistage des adultes à prévoir dans les prochaines semaines.     PUCERON DU SOYA : LA MAJORITÉ DES SITES NE DÉPASSENT PAS LE SEUIL D'ALERTE M. Neau 1, S. Boquel 2, J. Saguez 2, J. Breault 3, S. Mathieu 3 et V. Samson 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheurs (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Parmi la soixantaine de champs dépistés cette semaine par le RAP Grandes cultures, quatre sont près du seuil d’alerte de 250 pucerons par plant, et seulement cinq l’ont dépassé. Pour rappel, ce seuil n’est pas un seuil d’intervention. Il indique qu’il faut suivre les champs de près, dépister tous les trois à sept jours pour noter l’évolution des populations de pucerons et l’abondance des ennemis naturels, et tenir compte de plusieurs facteurs avant d’intervenir. Le puceron du soya peut affecter la culture jusqu’au stade « R5 ». La plupart des champs sont encore loin de ce stade. Pour rappel, un traitement phytosanitaire hâtif entraîne un risque de réinfestation du champ par le puceron en éliminant les ennemis naturels, comme les coccinelles. Le dépistage est recommandé, particulièrement en Lanaudière, dans les Laurentides et en Montérégie, où les populations sont actuellement plus abondantes. Les autres régions semblent pour le moment épargnées. En plus de la quantité de pucerons, le niveau de stress subi par la culture et la présence d’ennemis naturels sont des éléments à prendre en compte pour juger de la pertinence d’un traitement. Certains cultivars tolèrent beaucoup mieux la présence Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 13, 21 juillet 2023
21 juillet 2023
Soya : risque pour la pourriture à sclérotes. Syndrome de la mort subite dans le soya. VGOH : faibles captures de papillons et début du dépistage des champs de maïs à risque. Puceron du soya : populations faibles. Insectes défoliateurs dans le soya. Noir des céréales dans le blé d'automne. Le dépistage et le désherbage de mauvaises herbes en prérécolte et postrécolte des céréales d'automne.   SOYA : RISQUE POUR LA POURRITURE À SCLÉROTES  Y. Dion1, T. Copley2, S. Mathieu1 et B. Duval1    1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Dans l’ensemble des régions, le soya est en floraison (R1 à R3) et il s’agit de la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Les conditions sont généralement favorables au développement de spores infectieuses, mais le risque d’infection varie selon les conditions spécifiques rencontrées à la ferme. Les modèles prévisionnels québécois indiquent actuellement, et pour les prochains jours, des risques généralement élevés de développement d’apothécies dans plusieurs régions. Cependant, les observations les plus récentes, soit du 10 au 19 juillet, des 28 sites de dépistage (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) montrent peu de développement d’apothécies. En effet, des apothécies se sont développées à seulement 6 de ces 28 sites. Voir l'état des observations sur les sites.   Les principales conditions de développement d’apothécies, qui produisent les spores infectieuses, sont les précipitations et le maintien d’un milieu humide dans les 5 premiers centimètres de sol. Un sol humide et la fermeture des rangs constituent des conditions favorables à la germination des sclérotes, à la production d’apothécies et éventuellement à l’infection, lorsque le soya est en floraison. Les températures élevées de la dernière semaine ainsi que la saturation en eau des sols ont pu nuire Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 15, 24 juillet 2020
24 juillet 2020
Premières masses d'oeufs du ver-gris occidental des haricots (trois régions). Oscinie des céréales : ravageur observé dans deux champs de blé au Bas-Saint-Laurent et en Chaudière-Appalaches. Insectes s'alimentant sur les soies du maïs. Pourriture à sclérotes dans le soya. Tétranyques à deux points et autres insectes défoliateurs dans le soya.   VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : FAIBLES CAPTURES DE PAPILLONS, MAIS PREMIÈRES MASSES D’ŒUFS EN ESTRIE, EN OUTAOUAIS ET EN MONTÉRÉGIE-OUEST Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les papillons   Même si le maximum de spécimens capturés dans un piège est peu élevé cette semaine, soit 47 papillons à Nicolet (Centre-du-Québec), suivi de 12 papillons capturés à Shawville (Outaouais), les premières masses d’œufs de ver-gris occidental des haricots (VGOH) ont été observées dans 7 champs dépistés par le RAP Grandes cultures. Des masses d’œufs ont été repérées en Estrie (Standstead-Est), en Outaouais (L’Isle-aux-Allumettes, Shawville et Clarendon) et en Montérégie-Ouest (dans trois champs situés dans le secteur de Saint-Anicet). Le seuil d’intervention de 5 % de plants infestés n’a été atteint que dans un seul de ces champs, à Saint-Anicet. Les larves de ce ravageur pourraient affecter le rendement et la qualité du maïs. Le dépistage des œufs et des ennemis naturels est indispensable pour juger de la nécessité d’intervenir. Le nombre de papillons capturés dans un piège à phéromone ne peut pas permettre de juger de la pertinence d’une intervention dans le champ où ce piège est installé. Le piégeage des papillons sert plutôt à connaître le moment de leur arrivée dans un secteur où les femelles pourraient pondre. Cela est également utile pour déterminer quand commencer le dépistage des masses d’œufs. Les champs à surveiller sont ceux situés dans des zones où les sols sont sableux, et qui ont déjà subi des dommages par le passé et qui présentent une croissance irrégulière. Les champs semés avec Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 13, 20 juillet 2018
20 juillet 2018
Légionnaire uniponctuée : nouveaux cas rapportés. Insectes défoliateurs dans le soya : comment évaluer la situation. Conditions favorables au tétranyque à deux points. Présence du méligèthe des crucifères. Ver-gris occidental des haricots : capture importante dans un site en Montérégie-Ouest. Fusariose de l’épi : cartes interactives disponibles. Puceron du soya : faible présence.   LARVES DE LÉGIONNAIRE UNIPONCTUÉE : PLUSIEURS CAS RAPPORTÉS - DÉPISTAGE SUGGÉRÉ Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM), et Julien Saguez, biologiste-entomologiste (CÉROM)   Des larves de légionnaire uniponctuée ont été observées au cours de la semaine dans des champs de céréales (avoine, orge, blé d’automne) dans plusieurs régions du Québec (Outaouais, Montérégie-Est, Laurentides). Quelques champs présentaient des niveaux élevés de populations.   Les larves de légionnaires possèdent des bandes longitudinales le long du corps et un Y inversé sur la tête (voir photo 1). Différents stades de développements et différentes couleurs peuvent être observés dans un même champ. Des cas de défoliation pourront être constatés dans les prochaines semaines. À travers la province, les champs à risque qui devraient être surveillés en priorité sont : Les champs de céréales de printemps et de maïs semés tardivement et mal désherbés (particulièrement les endroits où il y a eu présence ou avec présence de chiendent). Les peuplements denses de céréales et de graminées vivaces. Les prairies situées à proximité des cours d'eau. Sur la base de ces cas rapportés et des sites où des captures ont été plus élevées, la vigilance devrait être supérieure en Estrie, en Montérégie, en Abitibi-Témiscamingue, en Outaouais et dans les Laurentides. Avant de prendre la décision de traiter, il est important de vérifier la taille des larves. Si elles mesurent plus de 3 cm, elles vont bientôt cesser de s’alimenter pour s’enfouir dans le sol. De plus, il faut déterminer si les larves Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 16 août 2019
16 août 2019
VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : captures de papillons en augmentation, mais peu de masses d’œufs. CRYSOMÈLES DES RACINES DU MAÏS : quelques cas rapportés. PUCERON DU SOYA : une année avec des populations exceptionnellement faibles. DÉFOLIATEURS toujours dans le soya. MALHERBOLOGIE: le désherbage de fin de saison.   VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : CAPTURES DE PAPILLONS EN AUGMENTATION, MAIS PEU DE MASSES D’ŒUFS Les captures de papillons du ver-gris occidental des haricots (VGOH) ont continué à augmenter à travers la province (à l’exception de l’Abitibi-Témiscamingue et de la Gaspésie). Parmi les 122 pièges à phéromones relevés cette semaine, 40 d’entre eux contenaient plus de 100 papillons. Le RAP Grandes cultures tient d’ailleurs à remercier tous les collaborateurs du MAPAQ, des clubs-conseils et de l’industrie qui participent à ce réseau et fournissent des données chaque semaine. Cliquez ici pour voir les résultats détaillés. Encore une fois cette semaine, les captures les plus abondantes ont été réalisées dans un piège à Shawville (Outaouais), avec 867 papillons capturés. Les autres pièges avec des captures supérieures ou égales à 500 papillons sont situés à Ste-Geneviève-de-Berthier (Lanaudière), St-Nazaire-d’Acton (Montérégie-Est) et Saint-Anicet (Montérégie-Ouest). Les captures de papillons (mâles) dans les pièges peuvent servir d’indicateurs des populations présentes dans une région, mais cela ne signifie pas que les femelles vont pondre dans le champ où le piège est situé. Par ailleurs, uniquement quelques masses d’œufs et quelques jeunes larves ont été rapportées dans des champs situés en Chaudière-Appalaches, en Estrie et en Outaouais. Quelques cas ont été rapportés aussi dans le Réseau Maïs sucré (Capitale-Nationale, Mauricie et Montérégie). Notez également que les œufs et larves de VGOH peuvent être la proie de plusieurs ennemis naturels (coccinelles, punaises prédatrices) et que les œufs de VGOH pourraient être confondus avec des œufs Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 26, 12 juillet 2017
12 juillet 2017
La présence de chenilles de la Belle-Dame a été rapportée au RAP récemment dans plusieurs champs de soya. Le taux de défoliation du champ et la taille des larves permettent d’en évaluer l’impact sur la culture. Ces chenilles causent rarement des pertes économiques et aucun insecticide n’est homologué pour les traiter.   Présence de chenilles DE LA BELLE-DAME DANS le SOYA   Plusieurs cas de champs affectés par des chenilles de la Belle-Dame (Vanessa cardui), aussi appelée Venesse de l’artichaut, ont été rapportés au RAP Grandes cultures dans la dernière semaine, dans les régions de la Chaudière-Appalaches (Sainte-Marie, Scott et Montmagny), du Bas-Saint-Laurent (Saint-Roch-des-Aulnaies, Rivière-Ouelle et La Pocatière), de la Montérégie-Est (Calixa-Lavallée), de Lanaudière (L'Assomption, Le Gardeur et Saint-Thomas), du Centre-du-Québec (Princeville et Saint-Germain-de-Grantham) et du Saguenay–Lac-Saint-Jean (Saint-Gédéon). Ces chenilles, mesurant jusqu’à 3,2 cm à leur dernier stade larvaire, ont le corps vert souligné de blanc jaunâtre et de petites taches noires. Leur corps est recouvert d’épines jaunes aux extrémités noires (photo 1 A). Les larves entrent en métamorphose en formant ensuite une chrysalide (photo 1 B). Après 7 à 10 jours, il en émerge un papillon (photo 1 C). En Amérique du Nord, on observe généralement deux générations par année, mais comme cette espèce peut se nourrir de plus de 100 plantes hôtes, la deuxième génération ne s’établira pas nécessairement dans le même champ.   Photos 1 (A, B et C) : Stades de développement de la Belle-Dame. A) Larve, B) Chrysalide, C) Adulte (vue dorsale). Crédit : B. Duval (MAPAQ) (A) et Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (MAPAQ)(B,C).   Ce sont les chenilles qui peuvent occasionner des dommages aux cultures, en causant de la défoliation dans le soya et d’autres cultures. Elles s’installent sur le feuillage situé à l’apex des plants où elles peuvent tisser une toile Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 10, 17 juin 2022
17 juin 2022
Tipule des prairies : nouveaux dommages rapportés. Cécidomyie du chou-fleur : suivi recommandé en Abitibi-Témiscamingue. Altises du canola : début de saison tranquille. Herbicides du groupe 4 : précautions à prendre. Limaces : dommages dans du canola et du soya au Bas-Saint-Laurent et en Chaudière-Appalaches. Punaise brune : quelques dommages observés sur du maïs.     TIPULE DES PRAIRIES : NOUVEAUX DOMMAGES RAPPORTÉS M. Neau 1 et S. Boquel 2 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)   Cette semaine, le RAP Grandes cultures a reçu de nouveaux avis de dommages causés par la tipule des prairies au Bas-Saint-Laurent et en Chaudière-Appalaches. Depuis la fin de mai, près d’une trentaine de cas confirmés ont été répertoriés dans des prairies, des céréales de printemps et du maïs. Les larves se reconnaissent par leur corps gris-brun dépourvu de pattes. Toutefois, elles peuvent être confondues avec des larves de ver gris (cette fiche technique explique comment les distinguer). Les prairies et les céréales infestées par la tipule des prairies présentent de larges zones jaunies ou dénudées. Dans les grandes cultures, des plants plus petits et grignotés pourraient également être observés. D’autres dommages pourraient être observés, mais les larves de tipule cessent généralement de s’alimenter à partir de la mi-juin. Lorsqu’elles atteignent entre 4 et 5 cm de longueur, elles se préparent à se transformer en pupes. Si les dommages sont importants et qu’un resemis est envisagé, la taille des larves doit être évaluée afin de semer lorsque l’activité des larves est terminée. Cette évaluation aidera à limiter le plus possible des dommages aux nouvelles pousses. Rappelons qu'aucun insecticide n’est homologué contre la tipule des prairies. Pour l'adhésion à l'assurance récolte, les dates prorogées de fins de semis peuvent être consultées ici. Afin de répertorier la présence de la tipule des prairies et des dommages aux grandes Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 13, 9 juillet 2020
09 juillet 2020
Cicadelle de la pomme de terre dans la luzerne : les seuils d’intervention atteints dans plusieurs champs. Présence de criquets et autres insectes défoliateurs. Comment faire face à la pourriture à sclérotes dans le soya. Fusariose de l’épi : des cartes prévisionnelles sont disponibles. Puceron du soya : le suivi du RAP commence la semaine prochaine.   DÉPISTAGE DE LA CICADELLE DE LA POMME DE TERRE DANS LA LUZERNE RECOMMANDÉ Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM), Stéphanie Mathieu, agr. (MAPAQ) et Huguette Martel, agr. (MAPAQ) Depuis une dizaine de jours, plusieurs champs de luzerne font l’objet d’une surveillance et certains d’entre eux, en Mauricie, en Estrie et en Montérégie, ont largement dépassé les seuils d’intervention. Considérant l’impact que cet insecte peut avoir sur le rendement et la qualité du fourrage, les producteurs sont invités à dépister leurs prairies, en particulier dans leurs luzernières en implantation, et ce, avant de voir des symptômes apparaître. Le dépistage des insectes devrait se faire tous les 5 à 7 jours. Le suivi pourrait être nécessaire jusqu’à la mi-août, moment où les cicadelles cessent de se reproduire.  Dépendamment du niveau des populations de l’insecte, qui doit être évalué par un dépistage avec un filet fauchoir, du stade et de la hauteur de la luzerne, la meilleure stratégie pourrait être de devancer la coupe et de surveiller les populations par la suite. Pour en savoir plus sur la biologie de l’insecte, comment le dépister et les stratégies d’intervention, référez-vous à la fiche technique La cicadelle de la pomme de terre dans la luzerne.  Certaines variétés de luzerne offrent une tolérance intéressante face à l’insecte grâce à la présence de poils sur les feuilles. Ces poils sont moins développés lors de l’année de l’implantation. De plus, en cas de fortes infestations, ces variétés peuvent tout de même subir des pertes de rendement. Malgré tout, les producteurs sont invités à vérifier si Lire la suite
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