Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
682 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
23 septembre 2019
AMARANTE TUBERCULÉE : DEUX NOUVEAUX FOYERS (CENTRE-DU-QUÉBEC ET MONTÉRÉGIE) Un foyer d’amarante tuberculée, une mauvaise herbe hautement problématique (voir la figure 1), a été découvert dans un champ de soya du Centre-du-Québec. Il s’agit de la première mention de cette mauvaise herbe à l’extérieur de la Montérégie.
De plus, un autre site a été découvert en Montérégie. Le bilan est donc à deux sites découverts depuis [1]. Des tests de détection moléculaire de la résistance sont en cours au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)[2] afin de déterminer à quels groupes d’herbicides ces populations pourraient être résistantes. Il s’agit présentement du meilleur moment de l’année pour dépister l’amarante tuberculée. Certains plants peuvent faire plus de deux mètres de hauteur, ils sont donc facilement repérables. L’absence de poils sur la tige renforce l’hypothèse d’être en présence de l’amarante tuberculée ou de l’amarante de Palmer, une autre amarante problématique. Des feuilles de forme lancéolée sont plus spécifiques à l’amarante tuberculée. Si vous croyez être en présence de plants d’amarante tuberculée ou de Palmer, veuillez envoyer un échantillon de la mauvaise herbe au LEDP pour une identification moléculaire gratuite. Ce test est rapide, le résultat est obtenu dans un délai de quelques jours et la confidentialité est assurée. Le lien pour le formulaire de demande d’analyse est disponible ici. Si le test est positif, contacter votre conseiller en phytoprotection afin de prendre les mesures nécessaires pour éradiquer ces plants. Soyez sans crainte : l’amarante tuberculée n’étant régie par aucune législation, aucune mesure restrictive ne sera imposée. Depuis le début de la saison 2019, un projet financé par le MAPAQ a été mis sur pied en support aux producteurs touchés par l’amarante tuberculée en Montérégie. L’objectif du projet est d’offrir un encadrement
Lire la suite
03 septembre 2019
AMARANTE TUBERCULÉE : UN SECOND SITE AU QUÉBEC Un deuxième foyer d’amarante tuberculée a été trouvé dans un champ de soya de la Montérégie-Est*. Cette mauvaise herbe est considérée comme l’une des plus menaçantes, car elle est très difficile à contrôler et tend à acquérir facilement des gènes de résistance aux herbicides.
Aux États-Unis, des populations résistantes à sept groupes d’herbicides différents, incluant les groupes 2, 4, 5, 9, 14, 15 et 27, ont été trouvées. Or, au Québec, la propagation de cette mauvaise herbe entraînerait une hausse du coût de production associé au désherbage ainsi qu’une hausse des risques pour la santé humaine et pour l’environnement, du fait de l’utilisation de traitements herbicides additionnels. La collaboration de tous est alors nécessaire pour faire face à un tel danger. Le premier foyer d’amarante tuberculée avait été découvert à l’automne 2017, dans un champ de soya également, en Montérégie-Ouest. Cette population est résistante aux herbicides des groupes 2, 5 et 9, tandis que des tests de détection moléculaires sont en cours, au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ, afin de vérifier la résistance aux herbicides de la population découverte récemment. Figure 1 : Amarante tuberculée À gauche : un plant d’amarante tuberculée. À droite : un foyer d’amarante tuberculée dans lequel certains plants mesurent plus de deux mètres. LEDP (MAPAQ) Tout comme pour le premier foyer, la source d'infestation du deuxième foyer semble être liée à l’utilisation d’une batteuse usagée en provenance des États-Unis. Afin de limiter la dispersion de cette mauvaise herbe et aussi pour éviter toute situation similaire, il est fortement conseillé d’effectuer un dépistage de vos champs, en particulier si vous avez acheté de l’équipement agricole usagé. Soyez d’autant plus vigilant si cet équipement provient de l’extérieur du Québec. La présence de ce nouveau foyer renforce l’importance
Lire la suite
10 juillet 2020
AMARANTE TUBERCULÉE : UN PREMIER CAS DANS LES LAURENTIDES Un foyer d’amarante tuberculée (AT) a été découvert dans la MRC Deux-Montagnes de la région des Laurentides. Il s’agit de la première mention de l’amarante tuberculée dans cette région, les autres cas ayant été répertoriés en Montérégie et un au Centre-du-Québec.
Cette fois, l’amarante tuberculée a été retrouvée dans un champ de maïs grain sur une entreprise qui produit principalement des cultures maraîchères. Il s’agit de la première mention au Québec de la présence de cette mauvaise herbe sur une ferme maraîchère. L’an dernier, l’Ontario avait répertorié ses deux premiers cas en productions maraîchères, soit dans le poivron et dans le haricot. Cette situation démontre que la mauvaise herbe a une grande capacité d’adaptation aux cultures et qu’elle n’est pas confinée seulement aux grandes cultures. Il importe donc à tous de garder l’œil ouvert. Le bilan s’élève maintenant à 12 populations dans la province (2 en Montérégie-Est, 8 en Montérégie-Ouest, 1 au Centre-du-Québec et 1 dans les Laurentides). Jusqu’à maintenant, les populations d’amarante tuberculée ont montré de la résistance aux herbicides des groupes 2, 5, 9 et 14, chaque population ayant au moins 2 résistances simultanément. Pour plus de détails, vous pouvez consulter le Bilan de l’amarante tuberculée au Québec. Si vous suspectez la présence d’amarante tuberculée dans un champ, vous pouvez vous inscrire au Plan d’intervention pour lutter contre l’amarante tuberculée au amarantetuberculee.ca et envoyer un échantillon au LEDP afin de confirmer son identification et de procéder gratuitement à la détection de la résistance. Le plan offre un encadrement agronomique aux producteurs qui sont aux prises avec l’amarante tuberculée. Il offre aussi une compensation financière pour les différentes dépenses qu’engendre son contrôle lors de l’année de sa découverte. Toute intervention de contrôle d’un ennemi des cultures doit être précédée
Lire la suite
07 août 2020
AMARANTE TUBERCULÉE : UN PREMIER CAS EN CHAUDIÈRE-APPALACHES Un foyer d’amarante tuberculée (AT) a été découvert dans la MRC de Lotbinière de la région de Chaudière-Appalaches. Il s’agit de la première mention de l’AT dans cette région, les autres cas ayant été répertoriés dans les Laurentides, le Centre-du-Québec et en
Montérégie. L’AT a été retrouvée dans un champ de soya, dans une entreprise laitière produisant principalement des grandes cultures. Cette fois, elle aurait été introduite dans la ferme par une batteuse usagée importée récemment des États-Unis. Le champ infesté est le premier à avoir été récolté avec cette machinerie. La population d’AT est beaucoup plus dense à l’endroit où la récolte a débuté, puis elle s’estompe dans le champ, par la suite. Si vous, ou votre forfaitaire, avez fait l’acquisition d’une batteuse usagée provenant des États-Unis au cours des dernières années, il est fortement recommandé de dépister vos champs dès maintenant. De même, si vous avez fait l’acquisition d’une batteuse usagée cette année, il est très important de la nettoyer avant sa première utilisation. Toutefois, les graines d’AT mesurent moins de 1 mm, il est donc très difficile de toutes les éliminer lors du nettoyage d’une batteuse. C’est pourquoi, il est aussi fortement recommandé d’effectuer un dépistage, l’an prochain, dans le premier champ récolté. Si vous suspectez la présence de l'amarante tuberculée dans un champ, vous pouvez vous inscrire au Plan d’intervention pour lutter contre l’amarante tuberculée au amarantetuberculee.ca et envoyer un échantillon au LEDP afin de confirmer son identification et procéder gratuitement à la détection de la résistance. Le plan offre un encadrement agronomique aux producteurs qui sont aux prises avec l’amarante tuberculée. Il offre aussi une compensation financière pour les différentes dépenses qu’engendre son contrôle lors de l’année de sa découverte. Le tableau 1 présente le bilan, en date du 6 août 2020, des populations
Lire la suite
08 octobre 2021
Croissance de l'amarante tuberculée après la récolte d'une céréale. REPRISE DE LA CROISSANCE DE L'AMARANTE TUBERCULÉE APRÈS LA RÉCOLTE D'UNE CÉRÉALE DANS CHAUDIÈRE-APPALACHES Des plants adultes d’amarante tuberculée (AT) ont été observés dans un champ à la suite de la récolte de l’avoine dans la région de
la Chaudière-Appalaches, alors qu’aucun plant d'AT n’avait été observé durant la croissance de la céréale. En fait, le 1er octobre, soit six semaines après la récolte de la céréale, des plants d’amarante tuberculée ont été observés au stade de la floraison. Ces plants risquent, encore à ce moment, de produire des graines viables avant la fin de la saison de croissance1 et ainsi contribuer à regarnir la banque de semences dans le sol. Cela démontre l’importance d’être vigilant tout au long de la saison de croissance pour l’amarante tuberculée, même après les récoltes. 1 La saison de croissance se définit par la période durant laquelle les conditions météorologiques sont propices à la croissance des végétaux. Plants d'amarante tuberculée (1er octobre 2021) Véronique Samson (MAPAQ) Historique À l’été 2020, une population d’amarante tuberculée a été découverte dans un champ de soya de la MCR de Lotbinière de la région de la Chaudière-Appalaches. Cette population présente de la résistance aux herbicides des groupes 2, 9 et 14. Des tests classiques devront être faits pour déterminer la résistance aux herbicides des groupes 5 et 27. En 2020, avec l’aide du Plan d’intervention sanitaire pour lutter contre l’amarante tuberculée, le principal moyen de lutte utilisé a été l’arrachage des plants trouvés. Pour plus d’information : Amarante tuberculée : un premier cas en Chaudière-Appalaches. Au printemps 2021, toujours dans le même champ, quelques plants d’AT ont été observés et ces derniers ont été arrachés. Par la suite, de l‘avoine a été semée dans ce champ et un traitement comprenant des herbicides des groupes 4 et 6 a été utilisé
Lire la suite
1 à 10 sur 682