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12368 documents disponibles
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01 mai 2025
La compaction des sols agricoles est un frein majeur au rendement des cultures. La compaction en profondeur est celle qui est le plus difficile à résoudre. Cette problématique est grandissante dans les régions méridionales du Québec, dans la plaine de Montréal et le Centre-du-Québec où les cultures annuelles sont plus présentes
et intensives et où le parc de machinerie est grandissant. La compaction profonde est engendrée par le passage de machinerie dont le poids dépasse 3 500 kg par roue et est exacerbé lorsque l’humidité du sol augmente. Lorsque la profondeur de la compaction est supérieure à 60 cm (24 po), les équipements de sous-solage standard ne peuvent accomplir le travail et les exploitants se retrouvent sans solution. Il est essentiel de développer des techniques capables de résoudre cette problématique. Une entreprise agricole de la Mauricie aux prises avec cette problématique a voulu tester une méthode alternative de sous-solage profond avec une charrue-taupe sans pose de drain souterrain. Les résultats de cet essai démontrent qu’il est possible de résorber une problématique de nappe perchée lorsqu’elle est causée par de la compaction profonde. De plus, cette technique permet de restituer partiellement la productivité de la zone affectée. Cette technique est transposable dans d’autres entreprises aux prises avec la même problématique.
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01 mai 2025
Le débourrement est commencé. Gels printaniers : mesures à prendre. Insectes et acariens : planifiez votre traitement d'huile contre le phylloxéra. Maladies : dernière chance d'appliquer un traitement à la CHAUX SOUFRÉE. Opérations en vert à planifier. Mauvaises herbes : c'est déjà le temps d'intervenir.
Gestion Intégrée des Ennemis des Cultures (GIEC) L'affiche VIGNE - Production fruitière intégrée 2024 a été mise à jour en août dernier. Elle présente les produits homologués ainsi que leur cote d'efficacité, le risque de résistance ainsi que la toxicité sur la faune bénéfique. DÉVELOPPEMENT PHÉNOLOGIQUE Le débourrement des cépages hâtifs est débuté sur les sites les plus chauds de la province. Quelques « bourgeons dans le coton (EL3) » sont visibles à certains endroits. Pour la vigne, le 1er mars correspond au début du calcul pour l'accumulation des degrés-jours en base 10 (DJ10). Selon les cépages, le débourrement a lieu entre 52 DJ10 (cépages à débourrement hâtif) et 74 DJ10 (cépages à débourrement tardif). Stade « bourgeon dans le coton » La compilation 2025 des degrés-jours est commencée. Le comparatif 2015-2025 sera disponible vers le début juin. En attendant et selon vos besoins, les compilations 2024 sont toujours disponibles : Comparatif 2015-2024 Consultez Agrométéo Québec pour un visuel provincial de l'état d'avancement du développement des cépages à débourrement hâtif et semi-tardif ainsi que d'autres modèles bioclimatiques sur la vigne. L'information sera mise à jour régulièrement dès le début du débourrement. GELS PRINTANIERS, TEMPÉRATURES CRITIQUES ET MÉTHODES DE PROTECTION Le mercure a passé sous zéro dans certains secteurs du sud de la province durant la nuit de mercredi à jeudi (30 avril au 1er mai). Comme la croissance des vignes est peu
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01 mai 2025
Le présent portrait-diagnostic sectoriel a été élaboré dans le cadre de l’examen périodique des interventions des PLQ pour la mise en marché du lait au Québec. Cet examen est mené par la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec (ci-après nommée « Régie ») conformément à l’article 62 de la Loi sur la mise en
marché des produits agricoles, alimentaires et de la pêche (RLRQ, c. M - 35.1). À la demande de la Régie, ce document présente un portrait évolutif et comparatif du secteur laitier tout en tenant compte de son contexte dynamique et concurrentiel. L’analyse sectorielle, menée dans une perspective de développement durable, rend compte des facteurs ou des changements économiques, environnementaux et sociaux affectant la viabilité et le développement du secteur laitier. Ce portrait-diagnostic présente des informations portant sur l’évolution de la production, de la transformation, de la mise en marché et de la consommation dans le secteur laitier au Québec. Il couvre la période de 2019 à 2023.
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30 avril 2025
Date prévue de débourrement Du débourrement a commencé à être observé sur les sites les plus chauds de l’ile d’Orléans. Surveillez votre verger, car vos arbres devraient débourrer dans les prochains jours. TAVELURE Situation des ascospores Les feuilles envoyées pour éjections forcées à l’IRDA ont commencé à éjecter
des ascospores. Et c’est parti !
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Mise à jour
30 avril 2025
Information sur la quantité d'ascospores projetables à partir d'échantillons standardisés hivernés dans les vergers pilotes. Moyenne des ascopores forcées par cm2 pour les sites Date d'observation Compton Franklin Oka Rougemont Dunham St-Bruno St-Joseph Québec 2025-04-04
0,00 2025-04-09 13,63 71,64 148,06 0,00 19,78 0,00 0,00 0,00 2025-04-11 38,45 7,44 1,74 0,00 2025-04-16 82,60 319,51 17,13 0,87 372,56 36,12 9,38 2025-04-17 3,10 0,00 2025-04-18 1,33 11,26 0,00 2025-04-23 347,62 115,48 213,96 60,94 2025-04-25 102,27 992,92 501,71 1542,16 1246,84 604,60 149,52 0,46 2025-04-30 1898,76 74,18 139,42 150,34 76,91 0,00 Niveau faible 0 à 100 Niveau moyen 100 à 1000 Niveau fort 1000 et plus (max de l'ordre 9000 enregistré) Ces niveaux d'éjection (faible, moyen, fort) sont en lien avec notre historique avec cette technique. Le nombre de spores éjectées dans chaque verger est différent, mais la courbe d'évolution des éjections peut aider à déterminer le début et la fin des éjections pour un site. En absence d'échantillon reçu au laboratoire, la case reste vide. Cumul des captures par date pour chaque site Moyenne des ascopores forcées par cm2 pour les sites Date d'observation Compton Franklin Oka Rougemont Dunham St-Bruno St-Joseph Québec 2025-04-04 0,00 2025-04-09 13,63 71,64 148,06 0,00 19,78 0,00 0,00 0,00 2025-04-11 13,63 110,09 148,06 7,44 19,78 1,74 0,00 0,00 2025-04-16 96,24 429,60 165,19 8,31 392,33 37,86 9,38 0,00 2025-04-17 96,24 429,60 165,19 8,31 392,33 40,96 9,38 0,00 2025-04-18 97,57 440,86 165,19 8,31 392,33 40,96 9,38 0,00 2025-04-23
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30 avril 2025
Conditions météo. Gels printaniers. Stades de développement. Poursuite du dépaillage et plantations. Traitement moisissure grise dans les champs en floraison. Taches sur vieux feuillage. Tétranyques. Tarsonèmes. Larves de pucerons du fraisier. Anthonomes. Contrôle du chiendent. CONDITIONS MÉTÉO Dans les diverses
régions, les températures se sont réchauffées peu à peu pour dépasser les 20 °C le 28 et 29 avril. Les précipitations ont également été à la hausse cette semaine, avec une moyenne d'environ 45 mm. En plus de la pluie, certaines régions plus au sud ont reçu de la neige le 27 avril et des orages ont eu lieu dans plusieurs régions le 29. Le détail de la météo de la dernière semaine se trouve dans le sommaire agrométéorologique du 22 au 29 avril 2025. Des prévisions de gel sont actuellement annoncés pour la nuit de mercredi à jeudi sur certains secteurs. GELS PRINTANIERS Il est bon à savoir qu'après le dépaillage, les jeunes feuilles prennent en moyenne 12 à 24 heures pour s’acclimater aux températures ambiantes. Après l’acclimatation, les feuilles peuvent résister selon le cultivar, à des gels de -5,45 °C (Seascape) ou -5,07 °C (Jewel). Par la suite, les divers stades de développement auront une tolérance différente aux températures. Températures critiques pour les fraisiers en fonction du stade de développement Perry et Polling, 1985 À noter que les températures de l’air qu’indiquent les rapports et les prévisions météorologiques sont mesurées à 1,2-1,5 m au-dessus du sol. L'air froid étant plus lourd que l'air chaud, les températures peuvent parfois être plus froides au niveau des plants de fraisiers et encore plus basses dans les parties creuses du champ. Il peut être à propos d'installer un thermomètre au niveau du feuillage des plants dans les zones de vos champs les plus froides. Si vous devez intervenir pour protéger vos fleurs ou fruits, de nombreux éléments sont à prendre à considération, afin de bien intervenir. Pour en savoir
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30 avril 2025
Les premiers semis et les premières plantations de crucifères sont en cours dans plusieurs régions. Informations utiles pour bien démarrer la saison. Précisions sur les homologations d’urgence contre la mouche du chou (rutabaga, navet et crucifères-feuilles/fleurs du groupe 5), pour la saison 2025. SEMIS ET PLANTATIONS
Les semis et les plantations de crucifères ont débuté dans plusieurs régions. Pour assurer un bon suivi phytosanitaire, commencez le dépistage dès l’implantation des cultures. En adoptant de bonnes pratiques agricoles préventives, plusieurs problématiques phytosanitaires peuvent être limitées, par exemple : Respecter un espacement suffisant entre les plants favorise l'aération et l'assèchement du feuillage (diminution du risque de maladie); Cultiver sur des sols bien drainés, non compactés, dont la température et le pH sont adaptés permet un bon développement racinaire (une plante en santé sera plus résistante aux ennemis). Surveillez les désordres physiologiques sur les transplants en serre et ceux nouvellement implantés. Ces altérations peuvent découler d’une phytotoxicité, d’une carence nutritive ou de stress climatiques (froid, excès d’eau, sécheresse, etc.). Attention : l'ajout de fertilisants n’est pas toujours LA solution et peut même aggraver les problèmes en augmentant la salinité du sol. Consultez la fiche technique Être bien préparé pour le début de la saison pour plus d’informations pratiques sur la qualité des transplants, la prévention du gel, les maladies précoces et l’efficacité des herbicides. Si vous avez des doutes sur les symptômes que vous observez, votre conseiller ou les experts du Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ pourront vous aider. D'ailleurs, afin d'encourager le secteur de l'agriculture biologique et la relève agricole à faire appel à ses services, le LEDP offre gratuitement des analyses à ces clientèles. BIOSÉCURITÉ Lors
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30 avril 2025
Le calculateur du seuil de rentabilité est un outil d’aide à la prise de décision. Il permet d’évaluer le seuil de rentabilité nécessaire pour une entreprise agricole selon le volume de production et/ou la valeur monétaire. Pour faciliter l’interprétation, un seuil négatif apparaîtra en rouge et un positif en vert.
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