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09 mai 2025
Vers fil-de-fer : le dépistage débute bientôt et formation sur l'identification. Vers blancs : rarement problématique, mais à surveiller au printemps. Mouche des semis : prévision des dates du pic d’émergence. Oïdium (blanc) dans les céréales d’automne : légers symptômes dans quelques régions. Papillons ravageurs : faible
début de captures pour le ver-gris noir. VERS FIL-DE-FER : PRÉPAREZ-VOUS À DÉPISTER J. Saguez1, V. Samson2, J-P. Légaré3, B. Duval2 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ) 3. Biologiste (MAPAQ) Les semis ont débuté dans certaines régions ou débuteront dans les prochains jours. C’est donc le temps de vous préparer à dépister les ravageurs des semis, notamment les vers fil-de-fer (VFF), principaux ravageurs des semis dans les grandes cultures. Le dépistage des VFF doit débuter lorsque le sol est suffisamment réchauffé, c’est-à-dire lorsque la température atteint 12 °C. Ne le faites pas trop tôt, au risque de sous-estimer les populations de VFF présentes dans les champs. Le RAP Grandes cultures a développé une trousse sur les vers fil-de-fer. Elle contient différents documents sur ces ravageurs, dont les méthodes de dépistage qui peuvent être utilisées. Cette année encore, l’identification des VFF sera effectuée gratuitement par le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ. Avec les modifications réglementaires sur les traitements de semences qui deviendront effectives à partir du 1er août 2025, le dépistage vous permettra de bâtir un historique d’infestation, de savoir si votre champ est à risque d’avoir des dommages et de prendre une décision éclairée sur la nécessité d’intervenir ou non. Une formation pratique sur l'identification des vers fil-de-fer, offerte par le LEDP et le Centre de recherche sur les grains (CÉROM) aura lieu à Québec le 22 mai 2025. L'inscription pour cette dernière est possible jusqu'au 14 mai prochain. La même formation, dans la région de la Montérégie, aura lieu
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02 mai 2025
Suivi des plantes de blé d'automne pour déterminer l'impact du gel sur ceux-ci. Vergette du Canada résistante au glyphosate : quoi faire en début de saison. Bonne pratique aux semis : consigner l'information des semences utilisées. EST-CE QUE LE GEL NOCTURNE RÉCENT A EU UN IMPACT SUR LE BLÉ D'AUTOMNE? S. Mathieu1,
B. Duval1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ) Les températures sont descendues sous le point de congélation dans plusieurs secteurs dans la nuit du 30 avril au 1er mai. Compte tenu du stade physiologique du blé d’automne qui varie entre le stade « tallage » et la montaison, la majorité des secteurs ne semblent pas avoir atteint la durée et les températures critiques pour endommager le blé. Un suivi peut toutefois être requis pour certains champs. Le gel des tissus qui forment l’épis (apex) est critique pour le blé d'automne : si ces tissus gèlent, les dommages seront majeurs et le rendement en sera affecté. À la montaison, une température de -4 °C pendant plus de deux heures peut causer des dommages aux points de croissance. Au stade « tallage », une température de -11 °C serait nécessaire pour réduire le nombre de talles et causer des dommages (voir tableau 1). Tableau 1 : Températures pouvant causer des dommages en fonction du stade physiologique du blé d'automne, symptômes et impact potentiel sur le rendement Stade du blé Température (d'une durée de 2 heures) pouvant causer des dommages Symptômes liés au gel Impact probable sur le rendement Tallage -11 °C Chlorose des feuilles, brunissement du bout des feuilles, odeur d'ensilage Faible à modéré Montaison -4 °C Mort du point de croissance, jaunissement ou brunissement des feuilles Modéré à sévère Gonflement -2 °C Stérilité des florets, épis coincés dans la gaine, dommages au bas des tiges, décoloration du feuillage. Modéré à sévère Source : Université du Nebraska Les conséquences de l'effet du gel dépendent des éléments suivants : La température atteinte, la durée du gel et le stade
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25 avril 2025
SURVIE À L'HIVER DES CÉRÉALES D'AUTOMNE : L’ÉTAT ACTUEL M. McElroy1, S. Mathieu2, et V. Samson et H. Brassard1 1. Agronomes (MAPAQ) 2. Chercheur (CÉROM) Les conditions agroclimatiques et environnementales observées dès l’automne passé, celles de l’hiver dernier et celles qui prévalent actuellement
dans la grande région montréalaise, le sud-ouest du Québec et les régions périphériques laissent présager une survie à l’hiver de bonne à très bonne, voire exceptionnelle. Les couches de neige ont permis de protéger les céréales d'automne dans plusieurs régions du Québec. En Montérégie, le blé est au stade tallage; si ce n’est pas déjà fait, il est temps d'appliquer l’azote dans les champs. Au Centre-du-Québec, les champs ayant un bon égouttement semblent avoir une bonne survie. En Chaudière-Appalaches, la survie semble bonne pour les premiers suivis de céréales d'automne réalisés cette semaine. Dans les parcelles suivies par le Centre de recherche sur les grains (CÉROM) à Saint-Mathieu-de-Beloeil, le redoux rapide en mars a causé quelques soucis; les céréales étaient passées du vert au brun, avant de revenir heureusement au vert, selon le chercheur en amélioration génétique au CÉROM, Michel McElroy. Les céréales d’automne entament un processus d’endurcissement au froid à partir de l’exposition à de basses températures en automne. La tolérance des plants atteint son maximum à la suite d’une longue séquence de basses températures (figure 1). Au cours de l’hiver et du printemps, le niveau de cette tolérance au froid s’affaiblit selon les températures auxquelles sont soumises les céréales. Plus le réchauffement est important et prolongé, plus le niveau de tolérance au froid est réduit. Figure 1 : Endurcissement au froid (température minimale de survie) du blé d’automne de septembre à mai Source : Struthers et Greer, 2001, dans le Guide de production : céréales d’automne, CRAAQ, 2018 Les données agrométéorologiques de plusieurs
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27 septembre 2024
Nouveaux cas confirmés de tache goudronneuse au Centre-du-Québec et en Montérégie-Est. TACHE GOUDRONNEUSE DU MAÏS : DE NOUVEAUX CAS CONFIRMÉS AU CENTRE-DU-QUÉBEC ET EN MONTÉRÉGIE-EST B. Duval1, A. Dionne2, M.-É. Cuerrier1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (MAPAQ, LEDP) La semaine dernière, de premiers cas
de tâche goudronneuse du maïs (« tar spot of corn ») étaient confirmés au Québec, dans la région du Centre-du-Québec, par le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ. Dans les derniers jours, grâce à la vigilance de producteurs et de conseillers agricoles, d’autres cas ont été confirmés par le LEDP. Jusqu’à présent, 5 cas de tache goudronneuse du maïs ont été confirmés, soit 4 cas dans la MRC de Drummond dans la région du Centre-du-Québec et 1 cas dans la MRC des Maskoutains dans la région de la Montérégie-Est. La tache goudronneuse du maïs est une maladie fongique causant des taches noires à l’aspect goudronneux sur les feuilles de maïs et nuisant à la photosynthèse (voir photos ci-dessous). Cependant, l’apparition tardive des symptômes n’entraîne généralement pas d’impact sur les rendements de maïs-grain. Pour de plus amples informations sur l’identification de la maladie et les moyens préventifs à mettre en place, consultez l’avertissement N° 25 du 20 septembre 2024. Photo prise le 16 septembre 2024 Source : B. Duval, agronome (MAPAQ) Photo prise le 16 septembre 2024 Source : B. Duval, agronome (MAPAQ) Photo prise le 16 septembre 2024 Source : B. Duval, agronome (MAPAQ) Photo prise le 16 septembre 2024 Source : B. Duval, agronome (MAPAQ) Source : LEDP (MAPAQ) Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures
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