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21 août 2024
Traitement postrécolte du quatre-temps. Blanc (Oïdium). Biosécurité à la ferme. TRAITEMENT POSTRÉCOLTE DU QUATRE-TEMPS Les applications automnales de l’herbicide SPARTAN débutent au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Il s’agit du seul produit homologué pour la suppression du quatre-temps (cornouiller du Canada) dans le
bleuet nain. L’application est réalisée entre une à quatre semaines après la récolte sur le feuillage encore vert du quatre-temps ; le feuillage du quatre-temps doit être vert à au moins 50 % pour que le traitement soit efficace. Il s’agit d’un herbicide de contact. Dans certains cas, le traitement est plus efficace si l'on attend la chute d’une partie des feuilles de bleuetier ou des mauvaises herbes pour bien dégager le quatre-temps. Également, les buses à induction d’air peuvent améliorer l’efficacité du produit. La chaleur et l’humidité intensifient l’action de l’herbicide en permettant une meilleure absorption et un contact foliaire optimal. Quatre-temps (cornouiller du Canada) Photo : Club Conseil Bleuet Pour plus d’information sur la suppression du quatre-temps, veuillez consulter ce document et l'étiquette du SPARTAN (en cliquant sur son numéro d'homologation). Un résumé de l’étiquette est aussi disponible. BLANC (OÏDIUM) Le blanc a été observé dans plusieurs bleuetières de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean au cours des dernières semaines. Cette maladie apparaît habituellement tard en saison, particulièrement lors de périodes plus sèches. Une déficience en phosphore peut accentuer les effets sur la culture. Sa présence tardive n’affecte généralement pas la production de bleuets et nécessite rarement un traitement fongicide. Blanc (oïdium) Photo : Club Conseil Bleuet Pour plus de détails sur le blanc dans la culture du bleuet nain, consulter ce document du Guide de production du bleuet nain, ainsi que cette fiche d’IRIIS phytoprotection. BIOSÉCURITÉ À LA FERME Pour limiter la propagation des ravageurs
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18 mars 2024
Afin de freiner la dissémination de la mouche du bleuet plus largement sur le territoire du Saguenay-Lac-St-Jean et d’empêcher son introduction sur la Côte-Nord et en Abitibi, il est nécessaire de mettre en place une stratégie. L’instauration de mesures de biosécurité dans les entreprises en fait partie. Deux modèles de
stations de biosécurité ont donc été développés et documentés afin de permettre aux producteurs et productrices d’appliquer les principes de prévention et de biosécurité. Le but est de sensibiliser les producteurs et productrices à l’utilisation de station de biosécurité et de leur fournir une solution clé en main afin qu’ils puissent tous en faire l’installation dans leur bleuetière. En complément d'information, une vidéo est également disponible. Pour plus d'informations, voir la Trousse de biosécurité bleuet nain sur Agri-Réseau.
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02 octobre 2023
Les entreprises produisant des porcelets (naisseurs ou naisseurs-finisseurs) au Québec devront se soumettre aux exigences des normes sur le bien-être animal (BEA) concernant le logement des truies d'ici 2029. Les producteurs devront transformer leurs installations pour mettre les truies gestantes en groupe.
En raison de ces rénovations majeures, l'idée d'incorporer au projet un local servant de quarantaine est l'occasion de faire partie des discussions. Cette mesure de biosécurité est l'une des plus importantes pour la protection des maternités.
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27 avril 2023
La carte de phytoravageur a été produite pour accroître la sensibilisation et la reconnaissance de l’Amaranthus palmeri par tous les intervenants intéressés. Les cartes sont disponibles ci-dessous en format de document portable (PDF). La carte est également disponible enn anglais. Pour de plus amples informations,
veuillez contacter le secrétariat du Conseil canadien de la santé des végétaux par courriel à l’adresse : CPHCsecretariat@gmail.com. Photo gracieuseté de R. Recker, University of Wisconsin-Madison, Bugwood.org
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27 avril 2023
La carte de phytoravageur a été produite pour accroître la sensibilisation et la reconnaissance de l’Amaranthus palmeri par tous les intervenants intéressés. Les cartes sont disponibles ci-dessous en format de document portable (PDF). La carte est également disponible en français. Pour de plus amples informations,
veuillez contacter le secrétariat du Conseil canadien de la santé des végétaux par courriel à l’adresse : CPHCsecretariat@gmail.com. Photo gracieuseté de R. Recker, University of Wisconsin-Madison, Bugwood.org
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06 mars 2023
La biosécurité est un allié incontournable afin de limiter la propagation des organismes nuisibles aux cultures. La rentabilité et la pérennité du secteur agricole sont liées au maintien du meilleur état sanitaire possible des végétaux. Il importe de rester vigilant face aux risques que représentent plusieurs
ravageurs de la pomme de terre, tel que la galle verruqueuse, les nématode à kyste de la pomme de terre, le flétrissement bactérien, le mildiou, etc. L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a développé plusieurs guides de biosécurité, notamment pour le secteur de la pomme de terre. Cependant, afin de faciliter l’adoption de mesures de biosécurité spécifiques à cette production, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) a développé un « modèle type » de plan de biosécurité. Celui-ci propose différentes mesures à mettre en place que vous pouvez adapter à la réalité de votre entreprise. C’est pourquoi vous trouverez une série de documents à télécharger en format Word et Excel que vous pourrez par la suite modifier selon les mesures que vous désirez mettre en place et imprimer. Pour toutes questions sur le plan de biosécurité ou la façon de vous en servir, vous pouvez communiquer avec Josée Tremblay, conseillère en biosécurité et inspectrice, au 418 662-6457, poste 2876.
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28 novembre 2024
Formation en BIOSÉCURITÉ pour les éleveurs et employés adaptée au secteur des palmipèdes La biosécurité est un ensemble de mesures conçues dans le but de réduire le risque d'introduction, d'établissement et propagation de maladies, infections ou infestations dans une population animale. La formation est divisée en trois
sections: L'importance de la biosécurité L'employé au coeur de la biosécurité Une série de questions quiz pour vérifier les apprentissages
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