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29 juin 2016
Ce document présente l'état des connaissances sur l’utilisation des fongicides foliaires en grandes cultures (céréales, maïs, soya). Plus spécifiquement, cette revue de littérature propose les éléments pertinents à considérer liés à l’utilisation des fongicides foliaires tels que les impacts agronomiques (rendement,
qualité), économiques (rentabilité) et agroenvironnementaux (effets sur l'environnement et la santé humaine). De plus, les solutions alternatives à leur utilisation ainsi les principales maladies fongiques retrouvées au Québec et ce, pour chacune des grandes cultures (céréales, maïs et soya) y sont incluses.
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28 juillet 2023
Risques pour la sclérotiniose du soya. Faible augmentation du puceron du soya. VGOH : augmentation des captures et masses d'oeufs observées. Amarante tuberculée : dépistage et arrachage. Maladies, mycotoxines et fongicides dans le maïs. Dépistage des chrysomèles des racines du maïs. Préserver la qualité des grains des
céréales. SCLÉROTINIOSE DU SOYA : QUEL RISQUE? Y. Dion1, T. Copley2, Y. Faucher1, S. Mathieu1 et J. Breault1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Dans l’ensemble des régions, le soya est en floraison (R1 à R3) et il s’agit de la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Les conditions sont généralement favorables au développement de spores infectieuses, mais la situation n’est pas simple. Le risque d’infection varie selon les conditions spécifiques du champ en culture. Alors, quel est le risque et comment prendre en compte la situation? Les précipitations et les conditions humides observées depuis les dernières semaines induisent un risque pour la pourriture à sclérotes. Aussi, les températures plus fraîches prévues dès le samedi 29 juillet et la semaine suivante peuvent favoriser le développement des spores infectieuses et l’infection du soya s’il est aux stades critiques d’infection (R1 à R3). Les observations les plus récentes, de 30 sites de dépistage (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) montrent le développement d’apothécies à 9 sites. Voir l'état des observations sur les sites. Dans le tableau des observations, les lignes grisées montrent les données de la semaine du 23 juillet. Le développement des apothécies n’est pas aussi important que les conditions (précipitations, humidité, fermeture des rangs) laissaient présager. Les températures élevées ainsi que la saturation en eau des sols ont pu nuire au champignon et pourraient expliquer le
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09 juillet 2020
Cicadelle de la pomme de terre dans la luzerne : les seuils d’intervention atteints dans plusieurs champs. Présence de criquets et autres insectes défoliateurs. Comment faire face à la pourriture à sclérotes dans le soya. Fusariose de l’épi : des cartes prévisionnelles sont disponibles. Puceron du soya :
le suivi du RAP commence la semaine prochaine. DÉPISTAGE DE LA CICADELLE DE LA POMME DE TERRE DANS LA LUZERNE RECOMMANDÉ Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM), Stéphanie Mathieu, agr. (MAPAQ) et Huguette Martel, agr. (MAPAQ) Depuis une dizaine de jours, plusieurs champs de luzerne font l’objet d’une surveillance et certains d’entre eux, en Mauricie, en Estrie et en Montérégie, ont largement dépassé les seuils d’intervention. Considérant l’impact que cet insecte peut avoir sur le rendement et la qualité du fourrage, les producteurs sont invités à dépister leurs prairies, en particulier dans leurs luzernières en implantation, et ce, avant de voir des symptômes apparaître. Le dépistage des insectes devrait se faire tous les 5 à 7 jours. Le suivi pourrait être nécessaire jusqu’à la mi-août, moment où les cicadelles cessent de se reproduire. Dépendamment du niveau des populations de l’insecte, qui doit être évalué par un dépistage avec un filet fauchoir, du stade et de la hauteur de la luzerne, la meilleure stratégie pourrait être de devancer la coupe et de surveiller les populations par la suite. Pour en savoir plus sur la biologie de l’insecte, comment le dépister et les stratégies d’intervention, référez-vous à la fiche technique La cicadelle de la pomme de terre dans la luzerne. Certaines variétés de luzerne offrent une tolérance intéressante face à l’insecte grâce à la présence de poils sur les feuilles. Ces poils sont moins développés lors de l’année de l’implantation. De plus, en cas de fortes infestations, ces variétés peuvent tout de même subir des pertes de rendement. Malgré tout, les producteurs sont invités à vérifier si
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29 juillet 2016
Puceron du soya - Les populations moyennes du puceron du soya sont encore faibles cette semaine - Dépistage toujours recommandé dans la région de Lanaudière - Début du dépistage recommandé dans la région des Laurentides - Attention à l’application de fongicides foliaires qui nuiraient aux ennemis naturels du puceron du
soya.
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22 juillet 2016
Puceron du soya - Les populations de pucerons sont encore faibles cette semaine, à l’exception d’un champ de la région de Lanaudière. Il est recommandé de commencer le dépistage dans cette région. - Attention à l’application de fongicides foliaires et autres insecticides qui nuiraient aux ennemis naturels du puceron du
soya.
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07 juillet 2023
Sclérotiniose (soya) : risques, efficacité des fongicides. Charançon de la silique : abondance en Chaudière-Appalaches et en Abitibi-Témiscamingue. Cols d'oie (maïs) : dépister les chrysomèles des racines et évaluer les dommages. Effets de la grêle (maïs et soya). Tache brune dans le soya. Herbicides : attention au stade
du soya. SOYA : RISQUES DE SCLÉROTINIOSE ET EFFICACITÉ DES TRAITEMENTS FONGICIDES Y. Faucher1, T. Copley2 et Y. Dion1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) État de la situation du risque de la maladie Dans certaines régions, le soya entre en floraison. La floraison (R1 à R3) est la période critique pour l’infection par Sclerotinia sclerotiorum, causant la sclérotiniose (pourriture à sclérotes). Toutefois, le risque réel dépend des conditions spécifiques du champ, de l’état de la culture et des conditions agroenvironnementales. Les suivis et dépistages les plus récents de sclérotes, au cours de la dernière semaine, dans 28 champs de soya repartis à travers la province (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) indiquent jusqu’à maintenant de rares développements d’apothécies. Des observations sur le développement d’apothécies ont été notées seulement à deux sites, soit un en Montérégie-Ouest et un autre dans la Capitale-Nationale. Les apothécies sont les structures du champignon qui produisent les spores causant la pourriture à sclérotes. Les modèles prévisionnels québécois développés au CÉROM indiquent des risques moyens ou élevés de développement d’apothécies dans plusieurs régions. Cependant, le risque de développement de la maladie dépend aussi de la capacité des spores du champignon à infecter la plante. Plusieurs conditions doivent être réunies pour le développement de la maladie. L'avertissement N° 10 du 4 juillet dernier présente les facteurs de risque à prendre en compte pour évaluer le risque
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