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08 avril 2019
Monsieur Bewley présente les défis et les opportunités associées à l'utilisation et à l'adoption de différents systèmes basés sur des technologies de pointe en production laitière. Cette conférence est également displonible en vidéo. Texte et présentation PowerPoint de la conférence présentée lors du Symposium sur les bovins
laitiers du 24 octobre 2017. Notez que le texte est uniquement en anglais. Une initiative du Comité bovins laitiers du CRAAQ.
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29 mai 2015
QUESTION : Lorsque les analystes du Ministère de l'environnement vous demandent de fournir un protocole de caractérisation ACCEPTABLE pour lisiers de bovins laitiers; comment vous y prenez-vous? Est-ce qu'il existe un protocole ou vous utilisez celui pour lisier de porc? (Date d'origine de la question : 29-05-2015) RÉPONSE
: Tel que précisé lors des formations sur les protocoles de caractérisation, le protocole de caractérisation des lisiers de porc est jugé valable pour tous les fumiers liquides, même si la validation scientifique a uniquement été réalisée pour les lisiers de porc. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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07 novembre 2010
QUESTION: Bonjour, est-ce que le protocole de caractérisation pour les poules pondeuses et poulettes, peut être utilisé pour les bovins laitiers en gestion solide (amas de solide entouré de purin ou encore amas de solide + purot). Si oui, comment doit-on l'adapter? Sinon, avez-vous le mandat d'élaborer un protocole pour
ce type d'élevage? RÉPONSE; À ce jour, le seul protocole validé pour la caractérisation du fumier solide est celui publié par le CRAAQ. Ce protocole a été validé par le biais d’une étude réalisée par l’IRDA dans la production d’œufs de consommation. Par conséquent, et tel que précisé lors des formations dispensées par le CRAAQ, ce protocole doit être utilisé pour tous types de fumiers solides. Cependant, tel que précisé à la page 6 du protocole de caractérisation pour les fumiers solides, il se peut que les agronomes doivent adapter le protocole à une situation spécifique. Par exemple, une adaptation du protocole pour les productions de poulets à griller et dindons a été déposée dans la base de connaissances, afin de répondre à la situation spécifique de ces productions où il y a plusieurs cycles d’élevage par année et plusieurs bâtiments dans le même lieu d’élevage. Par contre, les éléments importants du protocole ont été préservés, notamment, le nombre de 15 prélèvements par échantillon, la pesée des équipements de transport, et l’importance de respecter une fréquence de prélèvement de façon à échantillonner uniformément tout le volume de fumier sorti. Dans la production de bovins laitiers sur gestion solide (avec purin), les conseillers devront donc utiliser les deux protocoles publiés par le CRAAQ en 2008, soit celui pour les fumiers solides et celui pour les fumiers liquides. Par exemple, la fraction solide du fumier devra être échantillonnée à chaque chantier de vidange, à raison de 15 prélèvements par échantillon, et la fraction liquide devra être échantillonnée selon le tableau de la page 5 du protocole de caractérisation validée dans la production
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01 octobre 2019
Vous avez manqué l'édition 2018 du Symposium sur les bovins laitiers? Voici l'ensemble des informations présentées lors de cette journée ainsi que les différents contenus qui ont été rendus disponibles. Pour en savoir plus sur le prochain Symposium, visitez le site du CRAAQ dans la section Évènements. Améliorer
l'efficacité alimentaire et la précision des rations dans les fermes du Québec Victor E. Cabrera Ph.D., professeur agrégé et spécialiste local pour le transfert de connaissances en gestion des élevages laitiers, University of Wisconsin-Madison Dr. Victor E. Cabrera est professeur adjoint et spécialiste local en gestion des élevages laitiers au Département des sciences du lait à l’University of Wisconsin-Madison. Dr Cabrera associe la recherche appliquée, les approches interdisciplinaires et les méthodes participatives pour fournir des outils d’aide à la décision en gestion de la production laitière qui soient à la fois pratiques, simples d’utilisation et basés sur la science. Ces outils scientifiques visent à améliorer la rentabilité des fermes laitières, la gestion de l’environnement et la durabilité à long terme de l’industrie laitière. Les nombreuses réalisations en recherche et les initiatives en production et diffusion d’outils menées par le Dr Cabrera au cours de huit dernières années lui ont valu plusieurs distinctions de la part du milieu universitaire, des conseillers en agriculture et de l’industrie laitière. Résumé de la présentation À partir des connaissances acquises sur le groupage et les stratégies nutritionnelles, M. Cabrera présente et utilise les données de fermes du Québec afin d’identifier des améliorations nutritionnelles possibles et ainsi fournir une diète mieux adaptée aux vaches en lactation. Contenus de la conférence Présentation Power Point Améliorer l'efficacité alimentaire et la précision des rations dans les fermes du Québec Cette conférence est disponible sur Agri-Réseau. Ddurée : 43 minutes Visionner Quelles
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31 juillet 2015
QUESTION: La méthode de la chaudière est acceptée pour les fumiers de volailles mais que fait-on pour les fumiers de bovins laitiers et de boucherie ? Est-ce que la méthode de la chaudière est acceptée ? RÉPONSE: Actuellement, la méthode de la chaudière est reconnue par le Comité de Coordination effluents d’élevage pour
mesurer la masse volumique apparente des fumiers de poulets de chair (poulets et dindons), des fumiers et fientes de poules pondeuses d’œufs de consommation et des fumiers de poules pondeuses d’œufs d’incubation. Pour tous autres types de fumier, la méthode de la chaudière n’est pas encore reconnue pour mesurer la densité volumique apparente. Des projets devront être réalisés afin de valider scientifiquement la précision et la variabilité des résultats lorsque cette méthode est utilisée. Pour l’instant, nous ne pouvons dire si d’autres projets seront réalisés prochainement, par conséquent, veuillez être attentif aux documents déposés sur la base de connaissances effluents d’élevage. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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30 mai 2017
QUESTION : J'ai repris des données de caractérisation pour une demande de certificat d'autorisation et l'analyste me demande si la caractérisation respecte les règles de l'art. Il s'agit d'un fumier solide de bovins laitiers avec purot. Concernant la fraction liquide, le nombre de voyages annuels a été noté et un échantillon
composite par chantier d'épandage prélevé (15 prélèvements annuels sur 2 ans bien répartis sur tout le volume épandu). Pour la fraction solide, il y a eu 2 chantiers la première année. Il y a eu un total de 11 pesées réparties sur la totalité du volume épandu lors de la première année. Par contre, aucune pesée n'a été effectuée la deuxième année. Nous avons toutefois, sur les deux ans, un échantillon composite de 15 prélèvements bien répartis sur la totalité du volume épandu pour chaque chantier d'épandage et les voyages ont tous été notés sur 2 ans également. La charge de la seconde année a donc été extrapolée (analyse an 2 x nombre de voyages an 2 x moyenne des pesées de l'an 1). Il n'y a pas eu de changements notables dans la régie du troupeau, ni dans le cheptel présent. Est-ce que cette caractérisation peut-être jugée acceptable? RÉPONSE : Le Comité effluent d’élevage du CRAAQ n’a pas à valider les activités de caractérisation en lieu et place de l’agronome. Dans leur rapport de caractérisation, les agronomes doivent valider si les activités de caractérisation respectent les protocoles publiés par le CRAAQ. Vous trouverez des exemples de validation dans les exemples de rapport de caractérisation au lien suivant : Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes L’étape de validation consiste à préciser si le nombre d’échantillons et de prélèvements par échantillon sont conforme aux protocoles publiés par le CRAAQ. En résumé, dans les fumiers liquides (purin, lisier) il faut au moins un échantillon annuel avec un minimum de 15 prélèvements. Le minimum de 15 prélèvements annuels peut être réparti sur plus
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26 février 2015
Document complet avec beaucoup de photos provenant de France, adapté pour la production laitière, mais de référence chez les bovins. Une méthode d’intervention dans les élevages confrontés à des problèmes de boiteries a été développée par la mise en commun de l’expertise de différents conseillers en élevage.
Cette méthode est décrite dans ce document. Les problèmes locomoteurs des vaches laitières sont en augmentation ces dernières années. Cela tient à l’évolution des systèmes de logement, des systèmes d’alimentation, à la charge de travail des exploitants et enfin aux regroupements de troupeaux qui favorisent la dissémination de la maladie de Mortellaro. Une méthode d’intervention dans les élevages confrontés à des problèmes de boiteries a été développée par la mise en commun de l’expertise de différents conseillers en élevage. Cette méthode est décrite dans le document : "Méthode d’intervention pour la maîtrise des boiteries en troupeaux de vaches laitières". Il précise les différentes parties de l’intervention dans 3 cahiers : cahier de présentation générale de la méthode et des étapes de l’intervention cahier de présentation des méthodes d’investigation des facteurs de risque liés à l’habitat, à l’alimentation et à la conduite sanitaire recueil de modèles de documents supports pour l’intervention en exploitation. La principale originalité de ce document d’intervention dans un élevage de vaches laitières confronté à des boiteries est qu’il regroupe toute la méthodologie d’intervention de la préparation au suivi de la situation.
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31 juillet 2015
QUESTION : Question sur la différence entre la charge calculée pour 64 vaches en gestion liquide et 64 vaches en gestion solide. Bonjour, J’ai analysé la différence entre la charge totale calculée avec des effluents d’élevage de bovins laitiers sous gestion solide et sous gestion liquide. La charge totale sous gestion
solide = 3314,24 kg de P2O5, (64 vaches) La charge totale sous gestion liquide = 3302,4 kg de P2O5, (64 vaches) La différence entre les deux provient d’une erreur de décimale dans le calcul des charges par tête. Gestion solide La référence utilisée indique (13,6 t de fumier/tête * 3.6 kg P2O5/t ) + (5,65 t de purin/tête * 0,5 kg P2O5/t ) = 51,785 kg P2O5/tête Gestion liquide La référence utilisée indique (13,9 t de lisier/tête * 1,5 kg P2O5/t ) = 51,6 kg P2O5/tête Comme dans les moyennes, on multiplie les erreurs de précision avec chaque calcul impliquant des décimales, il est normal que ce genre de différence apparaisse quand on fait des conversions avec des valeurs références. Dans ce cas-ci, la valeur au dixième d’unité (première décimale) n’est pas fiable, à preuve le calcul ci-dessus. Il faut donc travailler avec l’unité entière de 52 kg P2O5/tête pour des animaux de 600 kg, tel que le tableau des références l’indique si vous ne voulez pas que l’on mette en doute votre calcul. Bien entendu, cela augmente la charge totale et désavantage l’entreprise en termes de gestion du phosphore. Mais c’est aussi la seule façon d’avoir un calcul inattaquable dans son raisonnement. Enfin, ce calcul ne devrait servir que pour une seule année si on se réfère à la réglementation. De plus, une récente note du MDDEP a rappelé qu’il était inacceptable qu’une entreprise ne possède pas de valeurs fertilisantes issues de la caractérisation de ses effluents d’élevage. Je termine en précisant que les valeurs références diffusées par le CRAAQ ne peuvent, en aucun cas, se substituer à la loi ou la réglementation. J’espère que mon explication est suffisamment claire, sinon n’hésitez
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21 janvier 2022
QUESTION : Je sais que les valeurs de référence du CRAAQ pour les fumiers sous forme liquide inclut les eaux de laiterie et les précipitations, cela m’est confirmé dans la section Foire aux questions « Eaux de Laiterie de la Base de connaissance effluent d’élevage ». Dans le document Valeurs de références pour les volumes
et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage (2020), spécifie au bas du tableau (p.16) Production laitière: « L’eau des précipitations est incluse dans les volumes sous-gestion liquide.» Or je ne trouve nulle part l’indication textuelle dans ce document précisant cette information. Y a-t-il un document ou un ouvrage de référence officielle, citant textuellement que les eaux de laiterie sont incluses dans les valeurs de référence du CRAAQ. RÉPONSE : En ce qui concerne les volumes produits en production laitière, le seul document faisant référence spécifiquement aux eaux de laiterie est l’Agdex 538/400.27, 1999, intitulé Fumier de ferme - Production . Ce qu’il faut comprendre, c’est que les valeurs références, pour la production laitière ont été adaptées afin d’avoir la même charge fertilisante totale (masse X teneur) peu importe si les déjections animales sont entreposées sous forme solide ou liquide, ce qui n’était pas le cas avec les valeurs de l’Agdex 538/400.27. Comme les valeurs références en production laitière sont issues d’une revue littérature qui date de 2003, il est important de rappeler que ces valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation de la majorité des élevages actuels. Par conséquent, la caractérisation des effluents d’élevage selon les protocoles en vigueur publiés par le CRAAQ constitue l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives des effluents d’élevage du cheptel présent dans un lieu d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour
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