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22 janvier 2025
Venez participer à notre journée technique annuelle qui se tiendra le mercredi 12 février 2025 au Chalet du Ruisseau à Mirabel. Au plaisir de vous y voir nombreux !

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22 janvier 2025
Fiche synthèse sur l'impact des changements climatiques dans la région du Bas-Saint-Laurent et comment s'y adapter. 

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21 janvier 2025
Despite the use of various integrated pest management strategies to control the honey bee mite, Varroa destructor, varroosis remains the most important threat to honey bee colony health in many countries. In Canada, ineffective varroa control is linked to high winter colony losses and new treatment options, such as a summer treatment, are greatly needed. In this study, a total of 135 colonies located in 6 apiaries were submitted to one of these 3 varroa treatment strategies: (i) an Apivar® fall treatment followed by an oxalic acid (OA) treatment by dripping method; (ii) same as in (i) with a summer treatment consisting of formic acid (Formic Pro™); and (iii) same as in (i) with a summer treatment consisting of slow-release OA/glycerin pads (total of 27 g of OA/ colony). Treatment effcacy and their effects on colony performance, mortality, varroa population, and the abundance of 6 viruses (acute bee paralysis virus [ABPV], black queen cell virus [BQCV], deformed wing virus variant A [DWV-A], deformed wing virus variant B [DWV-B], Israeli acute paralysis virus [IAPV], and Kashmir bee virus [KBV]) were assessed. We show that a strategy with a Formic Pro summer treatment tended to reduce the varroa infestation rate to below the economic fall threshold of 15 daily varroa drop, which reduced colony mortality signifcantly but did not reduce the prevalence or viral load of the 6 tested viruses at the colony level. A strategy with glycerin/OA pads reduced hive weight gain and the varroa infestation rate, but not below the fall threshold. A high prevalence of DWV-B was measured in all groups, which could be related to colony mortality Lire la suite

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21 janvier 2025
Le parasite Varroa destructor est l’agent qui affecte le plus négativement la santé de la ruche et ce, aux échelles nationale et mondiale. Beaucoup d’efforts sont mis en place afin de limiter les pertes qui y sont associées. Les mortalités observées ne sont pas uniquement attribuables à son effet direct sur l’abeille en développement mais il est grandement associé à son rôle de vecteur et d’agent multiplicateur de virus pathogènes pour son hôte. Jusqu’en 2003, le seul traitement homologué au Canada contre ce parasite était l’Apistan® (fluvalinate) pour lequel, une résistance est apparue. Depuis, différents produits dont l’acide formique, l’acide oxalique, l’amitraze, le coumaphos et le thymol ont été autorisés au Canada afin de contrôler les niveaux d’infestation du parasite. L’amitraze, le fluvalinate et le coumaphos sont des insecticides de synthèse et la présence de résidus cumulatifs dans la cire et le miel ainsi que le développement de résistance sont bien connues. Depuis plus de 10 ans, l’approche de contrôle des niveaux d’infestation au moyen d’une lutte intégrée est en place. L’usage d’agents plus « écologiques » tels les acides oxalique et formique et le thymol est préconisé. Chacun de ces produits possède ses directives d’utilisation. L’usage d’acide oxalique, agent retrouvé naturellement dans le miel et nombreux légumes, est hautement efficace en automne en absence de couvain (95-99%) mais peu (35-40%) en présence de couvain en application unique. De plus, des pertes d’abeilles en période d’hivernage sont observées lorsqu’il est utilisé en automne. L’usage de ce produit en relargage lent en début de saison pourrait s’avérer des plus intéressants afin de retarder l’accroissement estival des populations de varroas et d’éviter une sur infestation létale ou sublétale en fin d’été. Lire la suite

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21 janvier 2025
Le parasite Varroa destructor est l’agent qui affecte le plus négativement la santé de la ruche et ce, aux échelles nationale et mondiale. Beaucoup d’efforts sont mis en place afin de limiter les pertes qui y sont associées. Les mortalités observées ne sont pas uniquement attribuables à son effet direct sur l’abeille en développement, mais il est grandement associé à son rôle de vecteur et d’agent multiplicateur de virus pathogènes pour son hôte. Jusqu’en 2003, le seul traitement homologué au Canada contre ce parasite était l’Apistan® (fluvalinate) pour lequel, une résistance est apparue. Depuis, différents produits dont l’acide formique, l’acide oxalique, l’amitraze, le coumaphos et autres insecticides de synthèse ainsi que des produits à base de houblon et le thymol ont été autorisés au Canada afin de contrôler les niveaux d’infestation du parasite. L’amitraze, le fluvalinate et le coumaphos sont des insecticides de synthèse et la présence de résidus cumulatifs dans la cire et le miel ainsi que le développement de résistance sont bien connues. Depuis plus de 15 ans, le contrôle des niveaux d’infestation au moyen d’une lutte intégrée est en place. L’usage d’agents plus « écologiques » tels les acides oxalique et formique et le thymol est préconisé. Chacun de ces produits possède ses directives d’utilisation. L’usage d’acide oxalique, agent retrouvé naturellement dans le miel et nombreux légumes, est hautement efficace à l’automne en absence de couvain (95-99%), mais peu (35-50%) en présence de couvain lors d’une application unique. De plus, des pertes d’abeilles en période d’hivernage sont observées lorsqu’il est utilisé en automne par égouttement. L’usage de ce produit en relargage lent en saison estivale pourrait s’avérer des plus intéressants afin de retarder l’accroissement des populations de varroas et d’éviter une sur infestation létale ou sublétale en fin d’été. Lire la suite

Mise à jour

21 janvier 2025
Mélange en cuve : changements réglementaires en vigueur
INFOLETTRE : Eaux de lavage de fruits et légumes

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20 janvier 2025
Des informations variées, diverses et évoluant dans le temps circulent sur la gestion des eaux de lavage de fruits et de légumes. Voici donc un lien vers des infolettres visant à vous présenter les informations les plus à jour en lien avec les démarches à entreprendre et les aides financières disponibles. Le contenu est validé par un comité technique regroupant les représentants de l'Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ), des Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ), du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) et du ministère de l'Environnement, de la Lutte contre des changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP).  Joignez-vous à la liste d'envoi ! Lire la suite

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20 janvier 2025
Dans cette étude, différentes doses de Frass ont été utilisées en combinaison avec différentes doses d’Acti-Sol, le fertilisant généralement utilisé par les producteurs de bleuets nains biologiques. Les résultats ont été comparés à ceux obtenus avec de l’Acti-Sol utilisé seul ainsi qu’un fertilisant chimique utilisé en régie conventionnelle et un contrôle sans fertilisant. L’objectif de la présente étude est de documenter l’effet du Frass, combiné à l’Acti-Sol, à titre de fertilisant dans la culture du bleuet nain au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Lire la suite

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20 janvier 2025
           
Thrips contre thrips

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19 janvier 2025
Au courant de l’été, le bulletin d’information horticole international HortiDaily publiait un article au sujet d’un auxiliaire de lutte biologique peu connu et des développements récents pour sa commercialisation en Europe. Le thrips prédateur Franklinothrips vespiformis est présenté comme un nouvel outil prometteur pour la lutte contre les thrips ravageurs exotiques. Par thrips exotiques, on fait référence aux espèces autres que le thrips des petits fruits ou le thrips de l’oignon, les espèces généralement observées sur les plantes ornementales produites en serre au Québec et ailleurs dans le monde. Cet article explore le sujet et met en perspective cette nouveauté. Article paru dans le journal Gestion et technologie agricoles (GTA) : jeudi 19 septembre 2024 et sur le Blogue de l'IQDHO Lire la suite
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