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28 juin 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 29 juin 2023 Les abeilles et les pesticides Vous observez des abeilles qui tremblent à l’avant des ruches ou dans les hausses ou des mortalités anormales et en grand nombre? Il peut s’agir d’un empoisonnement par des pesticides. Pour faire une déclaration, appelez sans tarder au 1-844-ANIMAUX
ou écrivez à la centrale à l’adresse suivante : abeille@mapaq.gouv.qc.ca Consultez aussi la page web du MAPAQ Documenter les cas d’empoisonnement des abeilles par les pesticides pour savoir comment bien prélever les échantillons, quoi inscrire sur vos contenants et quelles informations prendre en note pour bien documenter les événements. Important! Il est maintenant recommandé de prélever les échantillons dans des contenants en verre ou en aluminium, car les sacs en plastique pourraient absorber les pesticides et en limiter la détection au laboratoire. Actualité scientifique Voici un résumé de quelques éléments discutés lors du webinaire Pesticides and Honey bees, organisé par le Bee Informed Partnership (BIP). Les panélistes invités étaient Dr. Judy Wu-Smart (University of Nebraska-Lincoln), Dr. Reed Johnson (Ohio State University) et Dr. Scott McArt (Cornell University), trois experts en toxicologie apicole. Ce webinaire peut être écouté en rediffusion sur la page Youtube du BIP. Comment reconnaître un empoisonnement par des pesticides? Les signes cliniques d’un empoisonnement avec des pesticides peuvent se présenter sous plusieurs formes, tout dépendant s’il s’agit d’un empoisonnement aigu ou chronique. Empoisonnement aigu : Le pesticide a un effet létal (mortel) et cet effet est visible très rapidement dans les colonies. Les abeilles meurent en masse devant l’entrée de la ruche, souvent avec la langue sortie. Les insecticides qui causent ces mortalités aigues s’attaquent souvent au système nerveux des insectes, ce qui fait qu’on observe souvent des abeilles tremblantes et avec des mouvements désordonnés. Cependant, il arrive que
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03 avril 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 31 mars 2023 Déballer ou ne pas déballer, telle est la question! À chaque printemps, c’est inévitable, avec le début de la fonte des neiges vient l’envie irrépressible de démarrer la saison apicole. Après un repos apicole de plusieurs mois, l’apiculteur canadien (lire ici avec la voix de Charles
Tisseyre) ressent l’excitation de la première piqûre, l’impatience du premier envol, la chaleur de la première gorgée de miel, bref, il veut déballer ses ruches! Il faut cependant résister à cette envie pressante (du moins, quelques temps encore!) et attendre le bon moment pour déballer les ruches (ou les sortir du caveau), mais SURTOUT, attendre le bon moment pour les ouvrir! Les conditions de déballage ou de sortie du caveau Les printemps nord-américains sont comme le lapin de Pâques : pleins de rebondissements. Il peut annoncer plusieurs jours de beau temps, puis une vague de froid et une nouvelle bordée de neige. Il est donc judicieux d’attendre que la température soit plus stable avant de déballer les ruches ou de les sortir du caveau. Un refroidissement soudain après leur sortie pourrait entraîner un arrêt de ponte et un ralentissement du développement de la colonie, surtout dans des conditions où les ressources florales extérieures sont peu abondantes. On peut donc commencer à déballer les ruches lorsque la météo annonce plusieurs jours consécutifs de températures au-dessus de 5 à 10°C pendant le jour, avec des températures de nuit au-dessus de 0°C. On veut également que la neige soit majoritairement fondue autour des ruches. Il est aussi possible d’enlever une partie de la neige pour accélérer la fonte. Enfin, si on doit se rendre au rucher avec des véhicules, on veut que le sol soit complètement sec ou encore gelé, afin d’éviter de s’enliser. En général, le bon moment pour déballer ou pour sortir les ruches est environ vers la fin mars pour les régions le plus au sud du Québec (Montérégie et Montréal), vers la mi-avril pour la région
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