Ajouté à Mes favoris.

Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire
Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

S'informer

Le savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

Chargement en cours

Filtrer la recherche 
  • Sujet(s) :
  • Production(s) :
Format
Type de contenu
Date de début
Date de fin
Régions
394 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
174 archives correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
08 juin 2020
Avis de vigilance concernant le petit coléoptère de la ruche (PCR) pour l’ ensemble du territoire québécois (juin 2020).  Des informations détaillées sur le PCR et les mesures de biosécurité recommandées sont disponibles  à www.mapaq.gouv.qc.ca/abeille (sous la rubrique « petit coléoptère de la ruche »).  L’infestation par le petit coléoptère de la ruche est à déclaration obligatoire au Québec. Toute suspicion relative à sa présence dans un rucher québécois doit obligatoirement être déclarée au MAPAQ : 1 844 ANIMAUX ou animaux@mapaq.gouv.qc.ca À consulter en complément : Fiche d’identification du petit coléoptère de la ruche Prévention et contrôle du petit coléoptère de la ruche par l'adoption de bonnes pratiques apicoles  Lire la suite
25 mars 2020
*NOUVEAUTÉ 2020 : Le protocole d’introduction inclut maintenant les REINES. Tout apiculteur qui projette d'introduire, de façon permanente (vente) ou temporaire (pollinisation commerciale), des colonies, nucléi, paquets d’abeilles ou reines sur le territoire du Québec1 a l'obligation de détenir une autorisation d’introduction d’abeilles délivrée par la Direction de la santé animale (DSA) du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ). 1 La délivrance par le MAPAQ d’une autorisation d’introduction en territoire québécois n’est pas requise pour les paquets d’abeilles et les reines importés au Canada, conformément aux exigences de l’Agence canadienne d’inspection des aliments. Pour 2020, les régions suivantes sont considérées à risque : la Vallée du Fraser (en Colombie-Britannique), l’Ontario et le Nouveau-Brunswick. Les individus désirant importer des abeilles de ces régions doivent plutôt se référer au Protocole pour l'introduction en territoire québécois d'abeilles en provenance d'une région jugée à risque d'infestation par le petit coléoptère de la ruche en 2020 Visitez www.mapaq.gouv.qc.ca/abeille pour plus de détails. Consultez le protocole en anglais.   Lire la suite
25 mars 2020
*NOUVEAUTÉ 2020 : Le protocole d’introduction inclut maintenant les REINES. Tout apiculteur qui projette d’introduire, de façon permanente (vente) ou temporaire (pollinisation commerciale), des colonies, nucléi, paquets d’abeilles ou reines sur le territoire du Québec 1 a l’obligation de détenir une autorisation d’introduction d’abeilles en territoire québécois délivrée par la Direction de la santé animale (DSA) du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ). 1. La délivrance par le MAPAQ d’une autorisation d’introduction n’est pas requise pour les paquets d’abeilles et les reines importés au Canada, conformément aux exigences de l’Agence canadienne d’inspection des aliments. Pour 2020, les régions concernées par le présent protocole sont la Vallée du Fraser (en Colombie-Britannique), l’Ontario et le Nouveau-Brunswick.  Consultez  aussi le Protocole pour l'introduction en territoire québécois d'abeilles en provenance d'une région qui n'est pas jugée à risque d'infestation par le petit coléoptère de la ruche en 2020   Visitez www.mapaq.gouv.qc.ca/abeille pour plus de détails. Consultez le protocole en anglais.   Lire la suite
05 novembre 2019
Le petit coléoptère de la ruche (PCR), Aethina tumida, constitue une nouvelle menace pour le secteur de l'apiculture dans le monde. La détection rapide de ce ravageur, particulièrement pour des niveaux d'infestation faibles, est la clé de l'éradication et du contrôle précoce. La détection par analyse PCR des débris récoltés sur le plateau des ruches est une méthode prometteuse, plus rapide que l'inspection visuelle ou la mise en place de pièges. Nous avons effectué une analyse PCR classique sur des débris de ruche collectés dans 60 colonies infestées et non infestées et comparé l'extrait d'ADN à deux ensembles d'amorces de CR. Les résultats ont montré une efficacité de détection de 72,4% (IC 58,5-83,0%) pour les amorces longues et de 2,9% (IC 0,4-18,1%) pour les amorces courtes. L'efficacité de détection des deux amorces n'était pas corrélée au niveau d'infestation de la colonie. Les échantillons peuvent être mis en commun par rucher ou par apiculteur pour évaluer l'état global de l'infestation. Il s'agit d'une amélioration importante de l'efficacité par rapport aux méthodes d'inspection classiques qui nécessitent du temps et des inspecteurs formés. Lire la suite
20 mars 2018
Le petit coléoptère de la ruche (CR) est un ravageur des colonies d'abeilles qui peut être difficile à observer, surtout dans les colonies faiblement infestées. L'analyse moléculaire des débris recueillis sur le plateau de la ruche est un moyen prometteur de détecter rapidement et efficacement cet insecte. Les débris de ruche ont été récoltés dans 21 colonies provenant du Québec et dans 97 colonies ontariennes. Le taux d'infestation fut déterminé par une inspection visuelle des colonies. Les colonies du Québec ne comptaient aucun CR, tandis que le taux d'infestation des colonies ontariennes était de 48,5 %. L'ADN contenu dans les débris récoltés a été extrait, puis analysé par la technique conventionnelle d'amplification en chaîne par polymérase (PCR). L'ADN a été comparé à deux amorces courtes (109 paires de bases) et deux amorces longues (1080 paires de bases). L'efficacité de détection des longues amorces est de 72,4 % et celle des amorces courtes est de 2,9 %. Le taux de détection n'est pas corrélé avec le niveau d'infestation des colonies. La faible quantité d'ADN contenue dans les débris ainsi que l'état de dégradation de ces fragments pourraient expliquer la détection de faux positifs et de faux négatifs obtenus avec les deux méthodes. Cette technique est néanmoins prometteuse en ce qui a trait à la détection efficace et rapide du CR dans les ruchers faiblement infestés. Lire la suite
05 juin 2020
Le petit coléoptère de la ruche (PCR), Aethina tumida, est un insecte parasite émergent de l’abeille domestique en Amérique du Nord. Originaire d’Afrique subsaharienne, il a été accidentellement introduit aux États-Unis à la fin des années 1990 où il s’est rapidement propagé et établi. Au Québec, il a été détecté sporadiquement depuis 2008 et des programmes de surveillance et de contrôle ont rapidement été mis en place de façon à limiter le risque de dissémination dans la province. Pour l’instant, le Québec est encore considéré comme exempt de PCR malgré ces quelques incursions sporadiques. Le PCR a été détecté pour la première fois en 2010 en Ontario, mais depuis 2015, le parasite a été retrouvé à de nombreuses reprises, et ce, dans plusieurs régions. Les autorités gouvernementales ontariennes ont décidé de ne plus viser son éradication. En 2017, le PCR a été introduit pour la première fois au Nouveau-Brunswick lors de la pollinisation des bleuets. Au cours de cette même année, il a également été détecté en Alberta ainsi qu’en Colombie-Britannique. La situation est toujours suivie de près par les autorités de la province. Cette situation est préoccupante pour les apiculteurs du Québec qui se retrouvent de plus en plus à risque d’infestation, la province étant maintenant entourée de zones où le PCR est présent.     C’est dans ce contexte que la Fédération des apiculteurs du Québec (FAQ) a réalisé une série d’activités de sensibilisation et d’information depuis l’année 2016 pour préparer les apiculteurs québécois à l’arrivée probable du PCR. Notamment, un guide de bonnes pratiques apicoles pour réduire les impacts du PCR et des vidéos démontrant la recherche de PCR dans les ruches ont été réalisés et sont disponibles sur le site de la FAQ et d’Agri-Réseau. De plus, une fiche d’identification plastifiée, jointe à cet envoi, a été réalisée afin d’aider les apiculteurs à identifier plus facilement le PCR et à le différencier d’espèces indigènes inoffensives pour Lire la suite
05 juin 2020
Un document d'information a été développé par la Fédération des apiculteurs du Québec en collaboration avec le CRSAD et le MAPAQ sur la prévention et le contrôle du petit coléoptère de la ruche (PCR) par l'adoption de bonnes pratiques apicoles.   À consulter en complément : Fiche d'identification du petit coléoptère de la ruche Vidéos Recherche de PCR par la technique "Top Bar" Lire la suite
16 mars 2016
Avis aux apiculteurs relatif aux nouvelles règles sanitaires concernant le risque de dissémination du Petit coléoptère de la ruche au Québec en 2016
27 juin 2014
Article en anglais sur le contrôle du Petit Coléoptère de la ruche:   L’efficacité de trois modèles de pièges fut testée au printemps, en Montérégie-Ouest, au sud du Québec (Canada) et à la fin de l’été, dans le Comté d’Essex, au sud de l’Ontario (Canada): le AJ’s Beetle Eater™ (AJ’s Beetle Eater), le Beetle Barn™ (Rossmann Apiaries) et le piège Hood™ (Rocky Mountain Bee Farm). En Montérégie-Ouest, les pièges furent placés dans la chambre à couvain inférieure de 12 colonies tandis que dans le comté d’Essex, les pièges furent installés dans la hausse à miel supérieure de 48 colonies d’abeilles domestiques. Les pièges utilisés ont significativement réduit la population de CR par rapport aux colonies témoins. Ils n’ont pas eu d’effet sur la population d’abeilles immatures, ni sur la récolte en miel. En Montérégie-Ouest, le Beetle Barn™ a été le plus efficace à la première date de récolte, lorsque la densité de population de CR était élevée. Lire la suite
05 juillet 2012
Le document s'adresse particulièrement aux apiculteurs et apicultrices de la Montérégie où des cas d'infestation par le petit coléoptère de la ruche, Aethina tumida, ont été décelés depuis 2008. On annonce la poursuite des activités de dépistage de ce ravageur dans une zone à risque près de la frontière américaine. Des mesures de prévention de cette infestation sont décrites et on rappelle également l'obligation de déclarer toute observation du ravageur dans les ruches. Lire la suite
21 à 30 sur 394
Infolettre Apiculture

M'abonner à l'infolettre

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.