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Crucifères, Avertissement No 7, 27 juin 2019
26 juin 2019
La ponte de la mouche du chou est faible. Les altises sont bien contrôlées. Les chenilles défoliatrices sont plus actives. Les captures de la cécidomyie du chou-fleur continuent. La hernie des crucifères s'est exprimée davantage dans des sols asséchés.  Il y a eu généralement peu de précipitations dans la dernière semaine, excepté le 25 juin. Durant cette période, les sols se sont asséchés. L'irrigation a été nécessaire par endroits lorsque les crucifères venaient d'être implantées ou étaient sur le point d'être récoltées. Le manque d'humidité dans les sols a permis de voir plus facilement les plants flétris qui sont affectés par la hernie des crucifères.     INSECTES RAVAGEURS La mouche du chou continue de pondre, mais avec moins d'intensité. Quelques larves sont observées, toutefois, leurs dégâts sont tolérables et l'efficacité des traitements est satisfaisante. Il y a de nouvelles observations d'altises par endroits. Ces ravageurs sont bien contrôlés par les moyens de lutte appliqués, soit les insecticides et les filets anti-insecte. Les chenilles défoliatrices sont plus actives. En plus des papillons, certains collaborateurs observent maintenant des larves de piéride du chou. Davantage de larves de fausse-teigne des crucifères sont observées et des interventions sont en cours pour les réprimer. Dans la majorité des sites du réseau de piégeage de la cécidomyie du chou-fleur, on continue de capturer des mâles adultes. Le tableau qui suit vous permet de prendre connaissance des niveaux de captures de la dernière semaine dans ces sites. Vous remarquerez qu'ils peuvent être fort variables. La meilleure façon de faire le suivi de cet ennemi est donc d'installer des pièges à phéromone dans vos champs dès l'implantation de vos crucifères et d'en faire le relever à une fréquence d'au moins deux fois par semaine si vous voulez intervenir au bon moment pour réprimer les larves qui s'attaquent aux points de croissance. N'oubliez pas que le seuil d'intervention Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 8, 2 juillet 2020
02 juillet 2020
Les niveaux de captures de la cécidomyie du chou-fleur sont variables selon les régions. Les vers gris continuent de causer des dégâts importants en régie biologique. Les symptômes de carences minérales sont fréquents et quelques maladies induisent des dommages aux cultures. Le temps plus frais des derniers jours aura permis une bonne reprise des plants. Par contre, avec le retour du temps chaud et sec, plusieurs symptômes de carences minérales sont observés, notamment en bore, en molybdène et en calcium. Les conditions sèches limitent la disponibilité et/ou l'absorption de ces éléments minéraux. L'irrigation des cultures demeure donc essentielle.    INSECTES RAVAGEURS En régie biologique, les vers gris continuent de causer des dommages importants un peu partout au Québec. D'ailleurs, plusieurs producteurs font actuellement l'essai du SCORPIO, un appât-insecticide dont la matière active est le spinosad, nouvellement homologué dans les crucifères. En régie conventionnelle, ces ravageurs sont sous contrôle.  L'activité des altises et des chenilles défoliatrices (piéride du chou et fausse-teigne des crucifères) est variable selon les régions, mais les stratégies d'intervention sont efficaces. Par ailleurs, les pucerons sont observés par endroits, tandis que les thrips ont fait leur apparition dans les Laurentides dans le chou pommé, une culture sensible à ce ravageur.    RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Le tableau qui suit vous permet de prendre connaissance des niveaux de captures de la dernière semaine dans les différentes régions. Vous remarquerez qu'ils peuvent être fort variables. La meilleure façon de faire le suivi de cet ennemi est donc d'installer des pièges à phéromone dans vos champs, dès l'implantation de vos crucifères. À noter que le contrôle semble efficace, même dans les zones plus infestées, Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 7, 13 juin 2024
13 juin 2024
Plusieurs ravageurs sont actifs dont la mouche du chou, les altises, la piéride du chou, la fausse-teigne des crucifères et la cécidomyie du chou-fleur. Les précipitations des derniers jours ont favorisé le développement de la fonte des semis dans les sols moins bien drainés. Rappel : les bulletins pesticides 2024 sont maintenant disponibles!   ÉTAT GÉNÉRAL DES CULTURES   Les précipitations des derniers jours ne semblent pas avoir causé de dommages significatifs aux crucifères. Cependant, elles ont favorisé le développement des maladies racinaires telles que la fonte des semis et la hernie des crucifères. Les symptômes de hernie risquent toutefois d'être davantage visibles au retour du temps sec. Les conditions humides et ensoleillées sont également favorables à la croissance des mauvaises herbes. Nous tenons à rappeler l'importance de bien contrôler les mauvaises herbes crucifères dans et autour des champs, car elles s'avèrent des foyers potentiels pour les maladies et les insectes nuisibles.  Mauvaises herbes crucifères en bordure de champ Photo : MAPAQ INSECTES RAVAGEURS   Les asticots de la mouche du chou sont de plus en plus observés là où les interventions faites à la transplantation ont perdu de leur efficacité. Concernant les applications post-transplantation qui ont récemment été homologuées d'urgence (les étiquettes sont maintenant à jour sur le site Web de l'ARLA), il importe d'utiliser un volume d'eau suffisant (minimum 1 600 L eau/ha en application en bande) pour atteindre le sol lors de l'application. À noter que les plants de crucifères-feuilles et fleurs, qui comptent plus de 10 feuilles, sont généralement en mesure de supporter les galeries creusées par cet ennemi au niveau des racines.    Les altises (des navets et des crucifères) sont davantage problématiques dans les choux chinois. Du côté des chenilles défoliatrices, la piéride du chou et Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 6, 20 juin 2019
20 juin 2019
La ponte de la mouche du chou est plus faible, sauf au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Des interventions sont en cours pour protéger les crucifères d'insectes ravageurs telles les chenilles défoliatrices, les altises et la cécidomyie du chou-fleur. Des maladies (fonte des semis/tige noire, tache bactérienne, hernie des crucifères) sont rapportées par endroits.   INSECTES RAVAGEURS Nos collaborateurs de la majorité des régions retrouvent de moins en moins d'oeufs de la mouche du chou dans le sol au pied des plants de crucifères. Toutefois, quelques larves sont observées et on rapporte par endroits une légère ponte dans le feuillage de crucifères asiatiques. Au Saguenay–Lac-Saint-Jean, la ponte de la mouche du chou est en augmentation et des traitements sont en cours pour bien protéger les cultures qui sont encore à un stade vulnérable. Les interventions qui ont été faites pour réprimer les altises ont été généralement efficaces. Dans certains champs des régions les plus au sud du Québec, des insecticides sont appliqués contre les premières larves de piéride du chou. La fausse-teigne des crucifères est active dans plusieurs secteurs et des traitements sont nécessaires pour contrôler les larves alors qu'elles sont encore jeunes. Les captures de cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les sites de notre réseau de piégeage. Comme vous pouvez le constater dans le tableau qui suit, les niveaux de captures sont variables et légèrement supérieurs à ceux de la semaine dernière. Dans les champs où il y a présence de ce ravageur, des interventions sont recommandées. Si plusieurs ennemis des crucifères sont présents dans vos champs, vous pouvez choisir un insecticide qui pourra en contrôler plus d'un en consultant la colonne « Autres ennemis visés » du bulletin d'information Insecticides homologués dans les cultures de crucifères en 2019. Dès l'implantation de vos cultures, installez vos pièges à phéromone pour capturer la cécidomyie du chou-fleur.   RÉSEAU DE Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 20, 7 septembre 2023
07 septembre 2023
Les maladies occasionnent des pertes à la récolte. Les ravageurs sont généralement sous contrôle.    MALADIES   Les conditions humides, la rosée persistante et l'épisode caniculaire favorisent le développement de la nervation noire, de la pourriture molle bactérienne et des taches alternariennes. Attention toutefois de ne pas confondre les taches alternariennes avec des taches d'origine abiotique comme la nécrose autogène, notamment dans le chou pommé. Également, la guttation observée dans certains champs pourrait favoriser l'entrée de la nervation noire dans les feuilles.   Taches sur une feuille de chou pommé causées par la nécrose autogène (abiotique) CIEL Guttation observée à la marge des feuilles d'un chou pommé CIEL     Par ailleurs, les symptômes causés par la hernie des crucifères sont davantage visibles en raison de l'assèchement des sols en l'absence de pluie. De manière générale, les autres maladies (tache bactérienne, pourriture sclérotique, rhizoctonie, mildiou) demeurent apparemment stables cette semaine.      INSECTES RAVAGEURS   Les principaux ravageurs s'attaquant aux crucifères demeurent présents, avec une intensité variable selon la culture et sa régie. L'activité des pucerons semble s'être stabilisée, mais le suivi des cultures à risque doit être maintenu. Quant aux thrips, qui sont de plus en plus nombreux dans les choux pommés, les interventions se poursuivent afin de les contrôler avant qu'ils ne se cachent trop loin dans les pommes destinées à l'entreposage.   Thrips sur les feuilles enveloppantes du chou pommé CIEL   Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 19, 30 août 2023
30 août 2023
Les maladies occasionnent de nombreuses pertes à la récolte. Ravageurs présents, mais généralement sous contrôle, excepté les pucerons qui sont en hausse.    MALADIES   Les conditions humides et la rosée persistante continuent de contribuer au développement des maladies. En effet, l'accumulation d'eau à l'aisselle des feuilles et sur les inflorescences des crucifères favorise les infections par la pourriture molle bactérienne. Les dommages laissés par d'autres maladies (ex. : taches alternariennes) et certains insectes (ex. : cécidomyie du chou-fleur) constituent également des portes d'entrée privilégiées pour cette bactérie qui liquéfie les tissus et provoque une odeur nauséabonde. À l'heure actuelle, il n'existe aucune stratégie de lutte chimique permettant de contrôler cette maladie bactérienne ou de limiter ses dommages. De plus, les pertes liées aux taches alternariennes demeurent importantes, tant en régie biologique que conventionnelle. Le temps plus frais pourrait toutefois aider à freiner les infections de la tache noire alternarienne (Alternaria brassicicola) dont les infections primaires surviennent entre 28 et 31 °C. Quant à la nervation noire, qui se développe entre 25 et 30 °C, les symptômes semblent s'être stabilisés dans les champs où les mesures préventives sont respectées. Les pertes de rendement demeurent toutefois importantes dans le sud de la province. Le CUEVA (octanoate de cuivre) est l'un des seuls produits homologués contre cette maladie en régie biologique et conventionnelle. Il faut toutefois faire attention aux risques de phytotoxicité pouvant survenir lors d'une application de cuivre en conditions pluvieuses. Ce type de dommages (ex. : fines taches noires sur les feuilles externes des choux) a été recensé par endroits au cours des dernières semaines. De manière générale, les autres maladies (tache bactérienne, pourriture sclérotique, rhizoctonie, mildiou et hernie des crucifères) semblent se stabiliser, Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 9, 9 juillet 2020
09 juillet 2020
Les niveaux de captures de la cécidomyie du chou-fleur sont variables selon les régions. Les altises et les chenilles défoliatrices sont très actives. Les maladies font leur apparition. Le temps chaud et sec qui a sévi sur l'ensemble du Québec durant la dernière semaine aura encore donné du fil à retordre aux producteurs. Les précipitations reçues au cours des dernières heures apporteront un peu de répit et aideront à la croissance des crucifères.    INSECTES RAVAGEURS La ponte de la mouche du chou recommence doucement dans les secteurs plus au sud de la province. Les altises et les chenilles défoliatrices (piéride du chou, fausse-teigne des crucifères et maintenant la fausse-arpenteuse du chou qui est présente dans quelques champs) sont très actives, ce qui nécessite des traitements. On nous rapporte que les stratégies d'intervention sont généralement efficaces. Quant aux vers gris, les dégâts causés par ces ravageurs semblent se stabiliser. Du côté des thrips, on note une faible activité dans les régions à proximité de Montréal.    RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Des interventions sont en cours et on commence à voir des dommages dans quelques champs. Le tableau qui suit vous permet de prendre connaissance des niveaux de captures de la dernière semaine dans les différentes régions. Vous remarquerez qu'ils peuvent être fort variables. La meilleure façon de faire le suivi de cet ennemi est donc d'installer des pièges à phéromone dans vos champs, dès l'implantation de vos crucifères.    Région Nombre de sites de piégeage Niveau de captures Bas-Saint-Laurent 3 Faible à élevé Capitale-Nationale 4 Nul à très faible Centre-du-Québec 1 Très faible Chaudière-Appalaches 3 Très faible à faible Estrie 1 Très faible Gaspésie 4 Nul à très faible Îles-de-la-Madeleine 2 Nul Laval-Lanaudière 10 Nul à élevé Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 17, 4 septembre 2019
04 septembre 2019
L'activité des insectes ravageurs est ralentie par le temps frais et humide. En revanche, les maladies fongiques telles que le mildiou, la hernie des crucifères et la pourriture sclérotique sont favorisées par ces conditions météorologiques.   MALADIES ET DÉSORDRES   Le temps frais et humide des derniers jours est favorable au développement de certaines maladies fongiques. En effet, on observe une progression du mildiou dans les crucifères-feuilles et fleurs en Montérégie ainsi que dans Lanaudière. Il semble que les symptômes de hernie des crucifères et les cas de pourriture sclérotique, qui profitent de températures avoisinant les 10 à 25 °C, aient aussi augmenté. Quant aux taches alternariennes, elles sont surtout observées sur les plus vieilles feuilles des crucifères-feuilles et fleurs, mais on observe également quelques taches sur les inflorescences de brocoli. Bien que les pathogènes Alternaria brassicae, Alternaria brassicicola et Alternaria alternata soient favorisés par des températures relativement chaudes (entre 25 et 30 °C), des infections secondaires peuvent avoir lieu à des températures plus fraîches, surtout lorsque l'humidité relative est élevée. Du côté des maladies bactériennes, une légère progression de la nervation noire et de la pourriture molle bactérienne est rapportée dans plusieurs régions, bien que les températures actuelles ne leur soient pas optimales. INSECTES RAVAGEURS En général, l'activité des insectes ravageurs semble ralentie par le temps frais et humide des derniers jours. On rapporte toutefois une présence variable d'oeufs de mouches du genre Delia dans les cultures sensibles telles que les choux chinois et les crucifères à racine tubéreuse. Aussi, les populations de pucerons demeurent élevées dans le sud-ouest du Québec. Le contrôle de ces ravageurs secondaires semble d'ailleurs difficile là où les infestations sont importantes. En ce qui concerne la cécidomyie du chou-fleur, la pression demeure très variable Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 11, 14 juillet 2021
14 juillet 2021
L'activité récurrente des insectes ravageurs est à surveiller. Les conditions humides du sol et de l'air sont favorables au développement de certains désordres physiologiques et de maladies. INSECTES RAVAGEURS La ponte de la mouche du chou se poursuit timidement, et comme les conditions de sol assez humides présentement favorisent la survie des oeufs et des larves, quelques dégâts sont observés par endroits. L'activité récurrente des altises (altise des crucifères et altise des navets), des chenilles défoliatrices (piéride du chou et fausse-teigne des crucifères, ainsi que fausse-arpenteuse du chou dans le sud-ouest de la province) et des pucerons est à surveiller. Portez également attention à l'altise à tête rouge qui cause des dommages dans certains champs de crucifères. Quant aux thrips, leur activité demeure relativement faible dans le chou pommé, quoiqu'une faible augmentation est observée jusqu'à la hauteur de la Capitale-Nationale.     CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   On observe des dommages occasionnés par la cécidomyie du chou-fleur dans quelques champs. Le tableau qui suit présente les niveaux de captures de la cécidomyie du chou-fleur dans les pièges du réseau de piégeage. Bien que les captures soient importantes pour certains sites, les niveaux d'infestation par le ravageur sont très variables d'une région à l'autre, mais aussi en fonction de la culture, de la régie de culture, des rotations, de la gestion des engrais verts et des mauvaises herbes de la famille des crucifères, etc.  Pour les crucifères sensibles aux attaques de ce ravageur (ex. : brocoli, chou, chou-fleur), les interventions phytosanitaires effectuées dès l'apparition de l'insecte ou avant, lors de la mise en terre de la culture, contribuent à la régulation des populations et des dégâts, car le contrôle est beaucoup plus difficile à assurer lorsque la Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 8, 23 juin 2022
23 juin 2022
Encore cette semaine, les pluies abondantes et les températures fraîches ralentissent les opérations au champ. Les sols humides sont propices au développement de maladies du sol et de certains désordres physiologiques. Les larves de fausse-teigne des crucifères sont actives, tandis que l'activité de la plupart des insectes est ralentie par les conditions météo.   MALADIES et DÉSORDRES PHYSIOLOGIQUES Les dernières semaines ont été marquées par des pluies abondantes et des températures fraîches dans plusieurs secteurs. Ces conditions compliquent et/ou retardent les opérations au champ. Le sol frais et humide est favorable au développement des maladies du sol telles que la fonte des semis/tige noire et la hernie des crucifères. À noter que les symptômes de la hernie des crucifères sont davantage visibles une fois le sol asséché et que les conditions sont plus chaudes et sèches. Également, de légers symptômes de mildiou (crucifères-racines) et de tache bactérienne (jeunes transplants de crucifères-feuilles/fleurs) ont été observés. Ces maladies sont, elles aussi, favorisées par les conditions météorologiques actuelles. Enfin, on rapporte quelques symptômes de taches alternariennes (Alternaria sp.) sur les vieilles feuilles de crucifères-feuilles/fleurs. À noter que bien que l'humidité soit au rendez-vous, les conditions de température sont, pour le moment, défavorables à la germination des conidies pour Alternaria brassicicola et Alternaria brassicae. Le temps à venir pourrait toutefois la favoriser. Surveillez vos champs, particulièrement ceux qui seront récoltés prochainement, afin de détecter la présence de ces maladies et intervenir pour protéger les cultures si nécessaire. Enfin, plusieurs plants borgnes sont observés dans les plantations de crucifères-feuilles/fleurs. Différents facteurs peuvent induire ce type de dommages, tant d'origine abiotique que parasitaire. Par exemple, une carence minérale (ex. : Lire la suite
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