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24 avril 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 21 avril 2023 Le nourrissage printanier Pour assurer la survie de certaines colonies à la suite de l’hivernage, et pour accélérer légèrement le développement des colonies au printemps, il est parfois judicieux de leur fournir un apport supplémentaire de ressources nutritives. Cette chronique traite
du nourrissage d’appoint avec du sirop. Les suppléments protéiques feront l’objet de la chronique de la semaine prochaine. Printemps 2023 Ce printemps, il semble que les colonies aient plus de couvain operculé qu’à l’habitude à la sortie de l’hivernage, particulièrement pour les colonies hivernées en caveau. Cela implique deux choses : Ces colonies vont consommer davantage de ressources (sirop et pollen) pour nourrir les larves en développement et conserver la chaleur du couvain. Les ruches qui sont légères au déballage ou à la sortie de l’hivernage doivent être nourries rapidement, soit immédiatement après le déballage ou le lendemain. Les réserves des ruches dont le poids est considéré « moyen » doivent être vérifiées périodiquement (aux 3-5 jours), car les réserves peuvent diminuer rapidement et elles peuvent mourir de faim. Une vérification régulière est nécessaire jusqu’à ce que le nectar provenant des fleurs soit disponible. Le varroa a déjà commencé à se reproduire dans le couvain et leur nombre pourrait augmenter rapidement. Il ne faut pas négliger le premier dépistage, qui doit être fait dès que possible, jusqu’à maximum 2 semaines avant la floraison des premiers pissenlits (environ au 15 mai pour la région de Québec, 1 à 2 semaines plus tôt pour les régions plus au sud – Montérégie, Montréal, Centre-du-Québec - et 1 à 2 semaines plus tard pour les régions plus au nord – Saguenay-La-St-Jean, Lanaudière, Gaspésie). Consultez la chronique du 6 avril 2023 pour connaître les seuils de traitements printaniers et choisir le traitement approprié si le seuil est atteint. Le nourrissage d’appoint avec du sirop Le nourrissage printanier avec
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21 juillet 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 21 juillet 2023 Le dépistage du varroa Nous en sommes à un moment clef de la saison pour le dépistage du varroa! La mi-juillet est habituellement caractérisée, dans la majorité des régions, par une disette florale qui dure en général une semaine. C’est aussi vers la mi-juillet que la population
en couvain de la colonie commence à diminuer progressivement. Cela fait en sorte que les varroas qui se trouvent dans la colonie sont présent dans une plus grande proportion que le nombre de cellules de couvain à parasiter, car la population de varroas a été en croissance pour tout l’été (voir figure 1). Le taux d’infestation par le varroa doit être bas dès le début du mois d’août, car c’est à ce moment que les abeilles d’hiver commencent à être produites. Il faut donc dépister dès maintenant et se référer au Calendrier de traitement pour le contrôle de la varroase publié par le MAPAQ afin de déterminer s’il est nécessaire de faire un traitement d’appoint immédiatement et prévoir les traitements de l’automne. Fiogure 1. Graphique de l'évolution de la population de la colonie et du varro pendant la saison apicole. La mi-juillet correspond à un moment charnière où il est crucial de dépister. Modifié de "Varroa destructor, mieux comprendre l'ennemi", MAPAQ Il est surtout important de dépister correctement les colonies! Si on utilise d’autres techniques que celle recommandée dans les documents du MAPAQ, ou que ces techniques sont mal effectuées, les seuils du tableau ne s’appliquent plus! Le plus gros risque est de sous-évaluer le niveau de varroa, c’est-à-dire penser qu’il y a moins de varroas que ce qu’il y en a en réalité et d’attendre trop longtemps avant de faire un traitement. Les dommages fait par le varroa risquent alors d’être irréversibles et la colonie mourra d’ici la fin de l’automne ou pendant l’hiver. Les deux techniques recommandées sont le lavage à l’alcool et la chute naturelle journalière. Si vous utilisez d’autres
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04 avril 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 6 avril 2023 Planifier le traitement printanier contre Varroa destructor Depuis quelques années, la pression exercée par le varroa est plus importante et un traitement au printemps est presque une nécessité afin de démarrer la saison apicole avec un très faible nombre de varroas dans les colonies.
Un dépistage devrait être fait dès que possible, soit entre la sortie de l’hivernage et jusqu’à 2 semaines avant l’apparition des premiers pissenlits, afin de connaître les niveaux de varroas et de planifier un traitement si nécessaire. Voici les seuils de dépistage auxquels vous devriez envisager un traitement : Chute naturelle avec cartons collants : Dès que vous voyez 1 varroa par jour Lavage à l’alcool : Dès que vous voyez 1 varroa dans votre échantillon de 300 abeilles. Plusieurs produits peuvent être utilisés au printemps. Le tableau suivant indique plusieurs options possibles. Cependant, il n’existe pas d’option parfaite! Prenez connaissance des différentes contraintes (température, durée totale du traitement et retrait avant la miellée, présence ou absence de couvain et de hausses à miel, effet sur les abeilles et le couvain, niveaux d’infestation en varroas) et faites votre choix en fonction de votre situation. Traitement Température d’utilisation Nombre d’applications Durée totale du traitement Peut être utilisé en présence de couvain Peut être appliqué avec des hausses à miel Note Acide oxalique par égouttement ou par sublimation N.A. 1 Instantané Efficace en absence de couvain, car n'agit pas sur les varroas dans le couvain Non À utiliser très tôt au printemps, lorsqu’il y a très peu de couvain Acide formique en traitement flash Entre 10 et 24°C 1 à 5 Instantané Oui, mais une réapplication est nécessaire pour atteindre tous les varroas dans le couvain Non À utiliser avec un plateau grillagé Thymovar (Thymol) Entre 12 et 30°C 1 3-4 semaines Oui Non Peut ralentir le développement du couvain Hopguard 3 sels de houblon) N.A. 2x
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27 avril 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 28 avril 2023 Le nourrissage printanier (suite) L’infolettre de la semaine dernière portait sur le nourrissage d’appoint avec du sirop de sucre. Cette semaine, voyons dans quelles situations l’apport de suppléments protéiques pourraient accélérer le développement des colonies au printemps.
Les suppléments protéiques Dans la plupart des cas, l’apport en suppléments protéiques est rarement une nécessité au printemps. À la suite de l’hivernage, la ruche contient une certaine quantité de réserves de pollen, entreposées dans les alvéoles sous forme de pain d’abeille (pollen fermenté pour être entreposé sous une forme stable), ce qui est suffisant pour nourrir les premières larves du printemps. Par la suite, le premier pollen provenant de l’environnement est disponible relativement rapidement. Il provient des arbres et arbustes, par exemple, le saule ou les érables, plutôt que de fleurs. Donc même si notre œil d’apiculteur ne voit que quelques tussilages, les abeilles sont capables de subvenir à leurs besoins en protéines à ce moment de l’année. L’élevage des larves sera aussi modulé en fonction des ressources disponibles. Une galette de pollen sur une hausse à couvain © Marilène Paillard Si on veut accélérer le développement du couvain et stimuler la ponte, on peut fournir aux colonies un supplément protéique, sous forme de galettes ou de poudre. Les abeilles vont cependant rapidement le délaisser lorsque le pollen naturel sera disponible. Le coût d’achat des suppléments protéiques peut donc être plus élevé que le bénéfice réel en couvain supplémentaire. Les abeilles ont aussi cette capacité étonnante à « rattraper » rapidement le retard lorsque les ressources florales externes deviennent disponibles, ce qui a été démontré à plusieurs reprises dans des études entre autres réalisées au CRSAD. On se souvient aussi du printemps froid et pluvieux de l’année dernière, où bon nombre d’apiculteurs s’inquiétaient du retard de développement
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03 avril 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 31 mars 2023 Déballer ou ne pas déballer, telle est la question! À chaque printemps, c’est inévitable, avec le début de la fonte des neiges vient l’envie irrépressible de démarrer la saison apicole. Après un repos apicole de plusieurs mois, l’apiculteur canadien (lire ici avec la voix de Charles
Tisseyre) ressent l’excitation de la première piqûre, l’impatience du premier envol, la chaleur de la première gorgée de miel, bref, il veut déballer ses ruches! Il faut cependant résister à cette envie pressante (du moins, quelques temps encore!) et attendre le bon moment pour déballer les ruches (ou les sortir du caveau), mais SURTOUT, attendre le bon moment pour les ouvrir! Les conditions de déballage ou de sortie du caveau Les printemps nord-américains sont comme le lapin de Pâques : pleins de rebondissements. Il peut annoncer plusieurs jours de beau temps, puis une vague de froid et une nouvelle bordée de neige. Il est donc judicieux d’attendre que la température soit plus stable avant de déballer les ruches ou de les sortir du caveau. Un refroidissement soudain après leur sortie pourrait entraîner un arrêt de ponte et un ralentissement du développement de la colonie, surtout dans des conditions où les ressources florales extérieures sont peu abondantes. On peut donc commencer à déballer les ruches lorsque la météo annonce plusieurs jours consécutifs de températures au-dessus de 5 à 10°C pendant le jour, avec des températures de nuit au-dessus de 0°C. On veut également que la neige soit majoritairement fondue autour des ruches. Il est aussi possible d’enlever une partie de la neige pour accélérer la fonte. Enfin, si on doit se rendre au rucher avec des véhicules, on veut que le sol soit complètement sec ou encore gelé, afin d’éviter de s’enliser. En général, le bon moment pour déballer ou pour sortir les ruches est environ vers la fin mars pour les régions le plus au sud du Québec (Montérégie et Montréal), vers la mi-avril pour la région
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15 mai 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 12 mai 2023 Ajout de la deuxième hausse Malgré un début de saison plutôt frais, on remarque un démarrage rapide des ruches ce printemps, dans plusieurs régions du Québec. Il ne faut donc pas trop tarder pour faire les premières inspections complètes des colonies. Si ce n’est pas déjà
fait, il est temps d’ajouter la deuxième hausse à couvain ou une première hausse à miel. Voici trois signes qui indiquent que c’est le moment d’ajouter une hausse supplémentaire : La première hausse contient 6 cadres de couvain ou plus; La reine commence à manquer de place pour pondre; Les abeilles commencent à construire de la cire sur le dessus des cadres et l’entrecouvercle commence à se coller à la hausse à cause de la cire. Si vous désirez récolter du miel de pissenlit ou du miel de printemps, c’est une bonne idée d’utiliser une hausse à miel de plus petite dimension, comme une demi-hausse ou une hausse 2/3. Cependant, la récolte de miel tôt au printemps n’est jamais garantie, étant donné que les abeilles consomment le nectar au fur et à mesure pour augmenter leur population. Dépistage et traitement du varroa Qui dit développement rapide des colonies dit développement du varroa! Cette année, on remarque une plus grande quantité de couvain qu’à l’habitude, au printemps. Cela signifie qu’il va falloir se méfier du varroa très tôt cette année, dès le mois de juin et le début de juillet. C’est encore le temps de faire votre premier dépistage de la saison, s’il n’est pas déjà fait. Si le niveau de varroa est trop élevé présentement, il reste encore quelques options de traitements possibles : Traitement flash avec l’acide formique. Au printemps, on compte 2 ml d’acide formique par cadre couvert d’abeilles adultes et une seule application. Mais attention! L’acide formique se place bel et bien dans le tiroir du plateau grillagé, et non pas sur les abeilles. Gardez aussi en tête que le traitement flash est moins efficace
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21 octobre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 21 octobre 2022 Différentes options pour l’hivernement extérieur des abeilles Pour l’hivernement extérieur des colonies, plusieurs housses sont offertes sur le marché, soit des options prêtes à installer ou des emballages fabriqués à l’aide de matériaux disponibles en quincaillerie.
La première question à se poser avant d’arrêter notre choix est le besoin d’emballer des ruches à une hausse ou à 2 hausses. Par la suite, d’autres critères peuvent être considérés, soit la facilité d’assemblage, le coût, la durabilité et l’espace nécessaire à l’entreposage durant la période estivale. Voici quelques options disponibles, dont quatre ont été comparées au CRSAD en 20201. Emballage maison avec thermofoil et styromousse Emballage individuel avec thermofoil © Georges Martin Un styromousse de 1½ ou de 2 pouces d’épaisseur est placé sur l’entrecouvercle de la ruche. Une bande d’isolant à bulles (thermofoil) est placée autour de la ruche et sur le dessus. Elle peut être fixée avec des agrafes ou seulement par du ruban adhésif de type tuck tape rouge. Un trou est percé dans le thermofoil au niveau du trou de ventilation de l’entrecouvercle d’hivernement. Le thermofoil est coupé en fonction de la taille des ruches. Ce type d’emballage peut facilement être préparé à l’avance si les ruches sont de taille standard. Sinon, la découpe doit se faire au champ. C’est une option très versatile, car les matériaux peuvent être coupés aux dimensions correspondant aux divers besoins de l’entreprise. Groupement des colonies : Individuel, par 2, 3 ou 4, pour des ruches à 1 ou 2 hausses. Coût à l’achat2 : environ 15$ par ruche. Durabilité : variable. Il peut durer plusieurs années si on en prend soin et que seulement le ruban adhésif est utilisé pour le fixer. Les rongeurs peuvent l’endommager. BeeCozy Le BeeCozy est une enveloppe de plastique matelassée qui se glisse autour de la ruche. Un matelas isolant doit aussi être installé sur le dessus
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10 novembre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 11 novembre 2022 Un automne chaud… Y a-t-il quelque chose à faire avec les ruches? Les températures anormalement élevées des dernières semaines peuvent amener plusieurs questionnements quant à la gestion des ruches. Faut-il les nourrir davantage? Faut-il enlever la protection hivernale
si elle est déjà mise? Faut-il inspecter les ruches et vérifier si un essaimage se prépare? La réponse à toutes ces questions est… NON. La clef pour un hivernage réussi, c’est d’abord et avant tout une bonne préparation automnale. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter si les 3 conditions suivantes sont respectées : Mise en hivernage de ruches viables, c’est-à-dire : avec une reine pondeuse fonctionnelle; avec une population suffisamment forte (plus de 6 cadres d’abeilles adultes en novembre, pour une ruche à 1 hausse); Nourrissage correctement fait: Quantité suffisante : 22-25 litres de sirop 2:1 pour une ruche à 1 hausse; Suffisamment tôt pour que les abeilles aient terminé de conditionner le sirop (fin du nourrissage à la fin septembre au maximum); Colonie saine et varroa sous contrôle, en ayant fait les traitements nécessaires à l’été et à l’automne, selon les résultats du dépistage. Un rucher préparé pour l’hiver © Martine Bernier Cependant, voici quelques petits bémols à apporter : Avec les températures chaudes, c'est possible que la colonie soit plus active et qu’elle ait consommé davantage de sirop (il n’y a pas vraiment de nectar disponible dans l’environnement pour combler la différence). Il est trop tard pour nourrir maintenant, car la température risque de diminuer rapidement dans les prochains jours et les abeilles n’auront pas le temps de bien conditionner le sirop. Il faudra alors vérifier les réserves de sirop un peu plus tôt ce printemps. Il est aussi possible d’ajouter du fondant sur le dessus des cadres dès cet automne si les ruches semblent légères. Il est aussi possible qu’il y ait une petite reprise de ponte dans
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11 avril 2023
Tout apiculteur qui projette de faire transiter par le territoire du Québec des colonies, nucléi ou paquets d’abeilles a l’obligation de détenir une autorisation de transit délivrée par la Direction de la santé animale (DSA) du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ). Une traduction de courtoisie
de ce protocole vers l'anglais est également disponible. Les apiculteurs qui désirent introduire des abeilles au Québec pour qu’elles y séjournent temporairement ou de façon permanente doivent se référer au protocole d’introduction.
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