Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
10 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
09 mars 2020
QUESTION : Y’a-t-il eu de nouvelles valeurs de référence pour le bovin de boucherie en parquet depuis 2003? Les valeurs proposées par SigaChamp sont de 2010 et se rapproche plus de la caractérisation faite chez un nouveau client. En 2003, le phosphore était au-dessus de 4 alors qu’en 2010 il est mentionné 1,6. Grosse différente
mais qui serait plus réaliste par rapport aux valeurs recueillies à la ferme. RÉPONSE : Pour la production bovine. Il n’y a pas eu de nouvelles valeurs proposées au comité de coordination effluents d’élevage depuis 2003. Nous vous rappelons que le REA permet deux options possibles pour réaliser un bilan de phosphore, soient l'utilisation des valeurs réelles à la ferme issues d’une caractérisation conforme des effluents d’élevage sur deux années, ou bien, les valeurs de l’annexe VI du REA. Les valeurs références ne peuvent être utilisées que temporairement, en attendant les résultats d’une caractérisation conforme des effluents d’élevage. Dans le cas que vous nous présentez, il faut savoir que SigaChamp n’est pas une organisation de recherche, mais bien un fournisseur de logiciels. Donc, il faudrait valider la référence que vous nous présentez, à savoir, la source, le protocole expérimental, les catégories d’élevage, la conduite d’élevage, est-ce que la caractérisation des effluents d’élevage est conforme à ce qui est proposé par le CRAAQ, sur combien d’années l'étude a été réalisée, l’analyse statistique. Aussi, cette valeur référence pourrait être présentée au comité de coordination effluent d’élevage du CRAAQ pour fin d’analyse. Sans cette démarche, cette valeur ne pourrait être reconnue et utilisée pour la réalisation d’un bilan de phosphore. Le comité de coordination effluents d’élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
22 août 2016
QUESTION : Je viens de consulter votre document Charges fertilisantes des effluents d'élevage – Production Bovine. Le document a été publié en 2003. Est-ce que vous avez des références plus récentes? RÉPONSE : Depuis 2003, aucune autre publication du CRAAQ n’ai fait l’objet de valeurs références pour la production bovine.
Les exploitations bovines peuvent faire reconnaître les valeurs fertilisantes réelles de leur entreprise par une caractérisation des fumiers. Pour ce faire, le CRAAQ a publié, en 2008, le protocole de caractérisation des fumiers qui a fait l’objet d’une validation scientifique dans la production d’œufs de consommation. Pour la réalisation de leur bilan de phosphore, les entreprises qui souhaitent se soustraire à la caractérisation des effluents d’élevage doivent utiliser les valeurs de l’annexe VI du règlement sur les exploitations agricoles (REA). Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
21 janvier 2016
QUESTION : Dans le cas de la production bovine (fumier solide), je me demande les valeurs de N-NH4 à utiliser ainsi que le rapport C/N? (dans le cas ou la caractérisation est absente). Dans le tableau10.1 de la page 290 du guide de référence en fertilisation du CRAAQ aucune information ne s'y trouve. RÉPONSE : Votre question
est probablement en lien avec les valeurs requises pour calculer les nouveaux coefficients d’efficacité de l’azote des fumiers et lisiers selon la méthodologie proposée par le CRAAQ. Donc, il s’agit de calculs de fertilisation reliés à la gestion optimale de l’azote, et non pas de calculs reliés à la production du bilan de phosphore du lieu d'élevage. En l’absence de valeurs réelles issues de la caractérisation des fumiers d’un lieu d’élevage, le conseiller peut initier un projet de caractérisation. En attendant les valeurs réelles issue de la caractérisation, le conseiller doit s’inspirer de la littérature. Pour certaines catégories d’élevage, le Guide de référence en fertilisation du CRAAQ 2010 présente quelques valeurs. D’autres valeurs sont présentées dans la revue littérature "Épandage postrécolte des engrais organiques et risques environnementaux reliés aux pertes d’azote" (page 54) disponible sur le site Web de l’Ordre des agronomes du Québec (via l’intranet). Le conseiller peut effectuer d'autres recherches provenant de différentes sources. Toutefois, il se peut que pour certaines catégories d’élevage, les valeurs N-NH4 et rapport C/N soient difficiles à trouver. Le conseiller pourrait alors s’inspirer d’entreprises agricoles dont la conduite d’élevage (alimentation, niveaux de production) est comparable et qui possèdent des valeurs issues d’une caractérisation des effluents d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
31 juillet 2015
QUESTION : À propos des valeurs de référence des charges fertilisantes des effluents d'élevage pour la production bovine, existe-t-il des valeurs pour les animaux passés au pâturage ou ce sont les mêmes que celles inscrites dans les grilles de la période transitoire? RÉPONSE : Il n’existe pas de données spécifiques aux
fumiers de bovins en pâturage. Si vous avez caractérisé le fumier stocké en hiver, vous pouvez utiliser la charge calculée par la caractérisation et la répartir en proportion du poids des animaux pour évaluer au prorata des journées en pâturage les charges fertilisantes conséquentes. Si vous n’avez pas caractérisé le fumier stocké en hiver, Il est suggéré d’utiliser les valeurs de rejets par 1 000 kg de gain de poids ou par tête des valeurs transitoires du CRAAQ de la même façon. Comme in n’y a pas d’épandage ou de stockage à considérer au pâturage, les volumes ne sont pas pertinents. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
31 juillet 2015
QUESTION : Je ne suis pas sûre de bien interpréter les valeurs références du vache-veau et de bien calculer le volume de déjection; pourriez-vous m'aider? Exemple : Au pâturage 16 vaches de boucherie 16 têtes x 150 jours = ? 10 bouvillons jusqu'à l'abattage x 150 jours = ? vs Dans l'étable 16 vaches de boucherie x 210
jours = ? 10 veau de boucherie (0 à 2 mois) = ? RÉPONSE : Il s’agit de vous référer aux valeurs références publiées par le CRAAQ en 2020 (Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d'éléments fertilisants dans les effluents d'élevage) pour la production de vache-veau. Le tableau présente les volumes et les masses produits annuellement, ainsi que les teneurs en azote, phosphore et potassium du fumier. Donc, pour évaluer les charges fertilisantes annuelles produites par le cheptel, il suffit de multiplier les masses par les teneurs en éléments fertilisants, et ce, pour chaque catégorie d’élevage, soit la vache et son veau, les taures et les génisses. Les charges fertilisantes laissées au pâturage sont proportionnelles au nombre de jours passés au pâturage. Par exemple, pour la catégorie d’élevage « Vache et son veau » : - Charge fertilisante annuelle de phosphore entreposée : claustration de 150 jours; (16 vaches x 11,4 tonnes/an/vache x 2,4 kg P2O5/tonne) x (150/365) = 180 kg P2O5 - Charge fertilisante annuelle de phosphore laissée au pâturage : (365 – 150) = 215 jours; (16 vaches x 11,4 tonnes/an/vache x 2,4 kg P2O5/tonne) x (215/365) = 258 kg P2O5 - Charge totale annuelle de phosphore produite pour cette catégorie d’élevage : 180 + 258 = 438 kg P2O5 Notez que, même si l’on reconnait que le fumier laissé au pâturage ne contient pas de litière, nous supposons que les charges fertilisantes du fumier sont les mêmes que le fumier qui est produit pendant l’hiver et qui contient de la litière. Dans l’exemple que vous présentez, les 10 veaux seront inclus dans les 16 vaches jusqu’à l’âge de 8 mois. Donc vous n’avez qu’à considérer les 16
Lire la suite
31 juillet 2015
QUESTION : J'aimerais connaître la provenance de l'analyse de référence CRAAQ 2003 pour le lisier de veaux de grain finition. Est-il possible de connaître la provenance des valeurs obtenues en 2003? L'étude était basée sur un regroupement de combien de fermes? Le cheptel par ferme était de combien de veaux? Ma question
vient surtout du fait que les valeurs de référence pour cette production semblent être surestimées (5,45 kg N/t, 2,98 kg P2O5/t et 4,00 kg K2O/t). Les analyses réelles des fermes se retrouvent souvent dans la fourchette inférieure de ces valeurs et ce, pour un volume semblable aux valeurs du CRAAQ 2003. Ceci demeure embêtant lorsqu'on veut valider la fertilisation avec ce type de déjection animale. Je vous remercie de bien vouloir m'informer sur les variables de cette étude. RÉPONSE : Comme l’indique les notes 2 et 3 des valeurs références CRAAQ 2003, pour ce type d’élevage, les valeurs ont été adaptées du CREA-99 pour les volumes, et des analyses effectuées chez Agridirect pour les teneurs. De plus, des études concernant l’estimation des rejets d’azote et de phosphore au moyen de bilans alimentaires ont été considérées afin d’harmoniser les rejets d’élevage sous gestion liquide et solide. Par conséquent, les valeurs références CRAAQ-2003 n’ont pas été dérivées d’une étude spécifique avec un nombre de fermes prédéterminé. Ce qui est important de retenir, c’est que les valeurs du CRAAQ 2003 ne sont que des références de base pour les entreprises qui n’ont pas effectué la caractérisation de leurs effluents d’élevage. Ces valeurs représentent des moyennes qui ne reflètent pas nécessairement les dernières avancées en termes de génétique et de techniques d’élevage modernes. Les entreprises qui réaliseront la caractérisation des effluents d’élevage conformément aux protocoles validés par l’IRDA, et publiés par le CRAAQ en 2008, verront leurs résultats reconnus, lorsque validés et interprétés par un agronome, peu importe où ces résultats se situent par rapport
Lire la suite
31 juillet 2015
QUESTION: Quelle valeur de référence doit-on utiliser dans le cas d'une production de vache-veau en gestion sur fumier liquide ? RÉPONSE: Nous vous rappelons tout d’abord que l’entreprise agricole est tenue de procéder à la caractérisation des déjections animales selon un protocole reconnu, soit le protocole de caractérisation
des lisiers de porc, publié par le CRAAQ en 2008. Donc, votre PAEF devra faire l’objet d’une recommandation à cet égard pour la saison de culture 2010. En l’absence de données issues d’une caractérisation, il a été convenu que le conseiller doit se rabatte sur les valeurs références pour la période transitoire publiées par le CRAAQ en 2003. Dans le cas de la production vache-veau, la référence CRAAQ-2003 propose des données pour les fumiers solides seulement, alors que votre question concerne les effluents d’élevage entreposés sous forme liquide. Les valeurs associées aux rejets par tête produite, tirées des valeurs références pour la période transitoire, CRAAQ-2003, demeurent votre référence de base. Donc, la charge fertilisante totale annuelle produite par le cheptel (ou rejets totaux) devra être calculée à partir de ces données. Les rejets totaux en phosphore (rejets par tête multiplié par le nombre de têtes) seront repris au bilan de phosphore de l’entreprise. Cependant, pour élaborer le plan de fertilisation, vous pourriez procéder comme suit: d’abord calculer la charge fertilisante laissée au pâturage à partir de la charge totale annuelle (rejets par tête multiplié par le nombre de têtes) au prorata du nombre de jours au pâturage pour chaque catégorie d’animaux (vaches et veaux-taures-génisses). En soustrayant cette charge fertilisante laissée au pâturage de la charge fertilisante totale produite par le cheptel, vous obtenez la charge fertilisante entreposée sous forme de lisier. Par la suite, à partir de l’historique des registres d’épandage de l’entreprise, vous obtenez les volumes annuels à épandre. Enfin, en divisant la charge totale
Lire la suite
31 juillet 2015
QUESTION : Bonjour J'aimerais savoir comment faire pour évaluer la quantité de fumier laissé au pâturage par les vaches laitières et bovines lors de leur séjour dans celui-ci. Merci. RÉPONSE : Pour évaluer la quantité de fumier laissé au pâturage, nous devons nous rabattre sur la littérature scientifique. Il existe deux
façons de procéder selon que l’on utilise les valeurs références CRAAQ-2003 ou des valeurs réelles issues d’un protocole de caractérisation reconnu. Façon de procéder avec les valeurs CRAAQ-2003 : il suffit de faire un prorata à partir du nombre de jours passés au pâturage. Par exemple des génisses laitières (11 jours à 15 mois) qui passeraient 100 jours au pâturage. 3.6 tonnes/tête X (100/365) = 0.98 tonne par tête 0.98 tonne par tête X valeur de l’analyse CRAAQ-2003 = Charge fertilisante totale laissée au pâturage Nous convenons que même si nous savons que la déjection laissée au pâturage ne contient pas de litière, la charge fertilisante totale est la même, car la paille n’apporte que très peu de phosphore. Façon de faire avec les données réelles issues d’une caractérisation : Dans un contexte de caractérisation des valeurs réelles, les valeurs obtenues nous donnent la charge fertilisante annuelle entreposée et vidangée lors de la valorisation sur le terrain. Pour calculer la charge totale annuelle produite par le troupeau, il faudra ajouter, à la charge entreposée, celle laissée au pâturage pour chaque catégorie d’animaux (génisse, vache adulte). La seule façon est encore de se rabattre sur la littérature scientifique, notamment sur la référence CRAAQ-2003 Comité de coordination effluents d’élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
31 juillet 2015
QUESTION : Avez-vous une idée de la façon d'évaluer le rejet en P2O5 d'un élevage de vache-veau de race Highland (vache plus petite, environ 500 kg)? RÉPONSE : À défaut de valeurs références spécifiques à cette race, on doit faire l’hypothèse que le métabolisme de cette race est semblable à celle (ou celles) qui a servi
à établir les valeurs disponibles. À partir de cette hypothèse, il suffit de travailler avec une proportion de rejet relative au poids de l’animal, comme le laissent voir les valeurs références disponibles. Bien entendu, cette façon de calculer est conditionnelle à l’absence TEMPORAIRE de valeurs aux fermes issues d’une caractérisation en bonne et due forme. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
15 février 2015
QUESTION : J'ai un producteur de boeuf d'engraissement donc la caractérisation est en cours. Pour évaluer la production de phosphore (bilan phosphore), j'utilise les données du CRAAQ soit l'inventaire moyen X 1,2 de rotation X la charge/boeuf (21,2 kg). La rotation des animaux dans le bâtiment est différente de celle du
CRAAQ mais cette rotation est connue seulement à la fin de l'année. De plus, puisque le producteur à des performances d'élevage améliorées par rapport aux données du CRAAQ, la charge phosphore/tête devrait être plus basse que celle du CRAAQ (les animaux sont présents dans le bâtiment moins longtemps et devraient avoir moins de rejet/tête). De plus, dans un contexte de dépôt de bilan phosphore dans l'hiver, il est très difficile de savoir qu'elle sera la rotation réelle du producteur dans l'année (il faut aussi tenir compte des inventaires début et fin de l'année, ce qui complique encore davantage le calcul). Donc, suis-je correct si j'utilise les données de bases du CRAAQ (inventaire moyen X 1,2 X 21,2) en utilisant l'inventaire moyen réel du producteur pour évaluer la production de phosphore dece site? RÉPONSE : En attendant les valeurs réelles issues de la caractérisation des effluents d’élevage, l’agronome peut utiliser les valeurs références du CRAAQ pour évaluer la production annuelle de phosphore du lieu d’élevage. Les valeurs références pour la production bovine permettent de raffiner les calculs à partir des inventaires d’animaux (voir exemple dans le Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d'éléments fertilisants dans les effluents d'élevage). Donc, dans le cas que vous nous présentez, il serait effectivement pertinent d’utiliser la donnée d’inventaire moyen réel du lieu d’élevage. De plus, la production d’un bilan alimentaire permettrait d’enrichir votre argumentaire lors de l’étape de l’interprétation des données (voir exemple base de connaissances effluents d’élevage – documents spécifiques à la production bovine-
Lire la suite
1 à 10 sur 10