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11 avril 2025
La brûlure alternarienne, également appelée brûlure hâtive, causée par Alternaria solani et Alternaria alternata est une maladie commune et largement répandue dans le monde. Au Québec, elle est présente partout où la pomme de terre est cultivée, mais la gravité varie d'une année à l’autre en fonction des conditions météorologiques, de l'âge de la culture et de la maturité de celle-ci. L'incidence et la sévérité d'Alternaria sont influencées par une interaction entre les facteurs environnementaux, agronomiques, la sensibilité de la culture et le développement de la maladie. Le contrôle de la brûlure hâtive au Québec s'appuie sur des applications fongicides répétées aux 7-10 jours, tout au long de la saison, à partir du stade 15-20 cm de la culture chez certains producteurs et jusqu'au défanage, sans savoir si les conditions climatiques sont favorables à son développement ou encore si la culture est à un stade sensible. Il en résulte une application excessive et non raisonnée de fongicides, ce qui implique des coûts économiques, environnementaux et sur la santé non négligeables pour la société et pour les producteurs. Il est donc urgent d'optimiser les applications de fongicides employés pour lutter contre la brûlure hâtive dans la pomme de terre. Pour remédier à cette problématique et ainsi réduire le nombre d’applications fongicides, un projet de recherche de trois ans (2021-2022-2023) a été mené sur trois cultivars par saison (cultivar hâtif : Envol; mi-saison : Goldrush et tardive : Chieftain) implantés dans la région de Lanaudière. Ce projet était principalement basé sur l'utilisation de modèles de degrés-jours et d'âge physiologique pour optimiser la date de la première application. Lire la suite

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11 avril 2025
La brûlure alternarienne, également appelée brûlure hâtive, causée par Alternaria solani et Alternaria alternata est une maladie commune et largement répandue dans le monde. Au Québec, elle est présente partout où la pomme de terre est cultivée, mais la gravité varie d'une année à l’autre en fonction des conditions météorologiques, de l'âge de la culture et de la maturité de celle-ci. L'incidence et la sévérité d'Alternaria sont influencées par une interaction entre les facteurs environnementaux, agronomiques, la sensibilité de la culture et le développement de la maladie. Le contrôle de la brûlure hâtive au Québec s'appuie sur des applications fongicides répétées aux 7-10 jours, tout au long de la saison, à partir du stade 15-20 cm de la culture chez certains producteurs et jusqu'au défanage, sans savoir si les conditions climatiques sont favorables à son développement ou encore si la culture est à un stade sensible. Il en résulte une application excessive et non raisonnée de fongicides, ce qui implique des coûts économiques, environnementaux et sur la santé non négligeables pour la société et pour les producteurs. Il est donc urgent d'optimiser les applications de fongicides employés pour lutter contre la brûlure hâtive dans la pomme de terre. Pour remédier à cette problématique et ainsi réduire le nombre d’applications fongicides, un projet de recherche de trois ans (2021-2022-2023) a été mené sur trois cultivars par saison (cultivar hâtif : Envol; mi-saison : Goldrush et tardive : Chieftain) implantés dans la région de Lanaudière. Ce projet était principalement basé sur l'utilisation de modèles de degrés-jours et d'âge physiologique pour optimiser la date de la première application. Lire la suite
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09 avril 2025
Vous êtes producteurs.trice agricole de pommes de terre dans la province du Québec? L’Université Laval mène une étude sur les freins et incitatifs à la réduction de l’usage des pesticides de synthèse. Ce projet est subventionné par le FRQ et le MAPAQ. La chercheuse principale du projet est la professeure Marie-Ève Gaboury-Bonhomme. Pour plus de détails sur le projet,  cliquez ici. Les données de la présente invitation sont collectées par Denise Godonou dans le cadre de son doctorat en agroéconomie.  Votre apport à la collecte des données est essentiel pour comprendre votre réalité, vos défis et les pistes de solutions en lien avec la réduction de l’usage des pesticides de synthèse et ce peu importe le marché de destination de vos pommes de terre (semence, frais de table, prépelage, transformation). Les conditions : Participer à une entrevue individuelle en ligne ou présentiel, à une date et une heure que nous fixerons selon vos disponibilités (durée 60 à 90 minutes);  Les thèmes abordés : votre expérience de producteur, la gestion des ennemis de cutlures, les freins à la réduction des pesticides de synthèse. Une compensation de 99,99 $ vous sera accordée pour votre participation.  Votre participation à l’entrevue est enregistrée et confidentielle. Pour participer ou poser des questions, contactez Madame Denise Godonou au 438-518-8608 ou à denise.godonou.1@ulaval.ca.   Lire la suite

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04 avril 2025
Le projet visait à démontrer qu’il est possible de produire de la pomme de terre tout en réduisant l’impact des pesticides sur la santé et l’environnement, sans affecter les rendements, la qualité et le coût de production. Pour ce faire, une parcelle de plusieurs hectares où les principes de gestion intégrée des ennemis de culture (GIEC) étaient appliqués et où l’utilisation de pesticides à moindres risques était priorisée (vitrine) a été mise en place chez les participants. Celle-ci a été comparée à une parcelle témoin (régie conventionnelle du producteur). L’objectif principal du projet était d’amener les producteurs à intégrer la régie à moindres risques dans leur propre régie en leur permettant d’observer les impacts positifs de la vitrine sur la réduction des risques sur la santé et sur l’environnement, mais aussi éventuellement sur la réduction du nombre de traitements et donc sur la masse de travail.  Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable. Lire la suite
19 novembre 2021
Isabelle Marquis, agronome, coordonnatrice à la recherche et aux partenariats, Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec
Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
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