Rapport final - Évaluation économique et environnementale de certaines techniques alternative en pomiculture
Les Producteurs de pommes du Québec (PPQ), en collaboration avec l’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA), ont lancé les projets Vitrines 1.01 et Vitrines 2.02 pour promouvoir et favoriser l’adoption de régies à moindres risques. Le Centre d’études sur les coûts de production en agriculture (CECPA), suivant les recommandations des acteurs du milieu, a démarré le projet actuel intitulé Évaluation économique et environnementale de certaines techniques alternatives en pomiculture.
Ce projet s’est déroulé dans les années de culture 2023 et 2024 auprès de producteurs volontaires qui ont adopté certaines pratiques alternatives ciblées par le comité de suivi et partagé les données de leur entreprise avec le CECPA. Ceci complète donc les projets Vitrines et poursuit les mêmes grands objectifs, justifiés par les mêmes problématiques et soucis de développement durable.
Le présent projet permet de dégager plusieurs éléments clés. Tout d'abord, il offre un portrait sociodémographique des entreprises participantes, avec une analyse de leurs principales caractéristiques. Ensuite, il présente des valeurs médianes et les étendues pour des paramètres techniques, économiques et environnementaux concernant les sept techniques retenues : la lutte contre la mouche de la pomme, l'utilisation de fongicides à faible IRPeQ, la confusion sexuelle contre le carpocapse, le désherbage mécanique, la prévention de la tavelure par le broyage de feuilles, les pulvérisateurs certifiés AirCheck et l'éclaircissage sans carbaryl. Enfin, une comparaison des résultats de la méthode alternative par rapport à la méthode traditionnelle est exposée sous forme de figures, permettant de juger de la variation des résultats. Ce rapport met en lumière les principaux aspects du projet et facilite la compréhension des différentes techniques et de leurs impacts.
L'objectif de produire des analyses économiques des données observées ou modélisées durant le projet est également de promouvoir la diffusion et l'adoption de pratiques réduisant ou remplaçant les pesticides de synthèse les plus nocifs pour la santé et l'environnement. Certaines analyses et résultats doivent être interprétés avec prudence et ne peuvent pas être directement appliqués à l'échelle commerciale. À terme, le projet vise à encourager une adoption plus large de nouvelles approches permettant de réduire l'empreinte environnementale de la pomiculture québécoise tout en préservant la santé et la sécurité des producteurs et productrices.
Ce projet s’est déroulé dans les années de culture 2023 et 2024 auprès de producteurs volontaires qui ont adopté certaines pratiques alternatives ciblées par le comité de suivi et partagé les données de leur entreprise avec le CECPA. Ceci complète donc les projets Vitrines et poursuit les mêmes grands objectifs, justifiés par les mêmes problématiques et soucis de développement durable.
Le présent projet permet de dégager plusieurs éléments clés. Tout d'abord, il offre un portrait sociodémographique des entreprises participantes, avec une analyse de leurs principales caractéristiques. Ensuite, il présente des valeurs médianes et les étendues pour des paramètres techniques, économiques et environnementaux concernant les sept techniques retenues : la lutte contre la mouche de la pomme, l'utilisation de fongicides à faible IRPeQ, la confusion sexuelle contre le carpocapse, le désherbage mécanique, la prévention de la tavelure par le broyage de feuilles, les pulvérisateurs certifiés AirCheck et l'éclaircissage sans carbaryl. Enfin, une comparaison des résultats de la méthode alternative par rapport à la méthode traditionnelle est exposée sous forme de figures, permettant de juger de la variation des résultats. Ce rapport met en lumière les principaux aspects du projet et facilite la compréhension des différentes techniques et de leurs impacts.
L'objectif de produire des analyses économiques des données observées ou modélisées durant le projet est également de promouvoir la diffusion et l'adoption de pratiques réduisant ou remplaçant les pesticides de synthèse les plus nocifs pour la santé et l'environnement. Certaines analyses et résultats doivent être interprétés avec prudence et ne peuvent pas être directement appliqués à l'échelle commerciale. À terme, le projet vise à encourager une adoption plus large de nouvelles approches permettant de réduire l'empreinte environnementale de la pomiculture québécoise tout en préservant la santé et la sécurité des producteurs et productrices.