Fiche synthèse du projet sur l'évaluation des diverses stratégies de lutte contre l'amarante tuberculée
Ceci est la fiche synthèse du projet : " Développement, dans les systèmes de culture conventionnelle en grandes cultures, de diverses stratégies de lutte contre l’amarante tuberculée en vue de réduire l’usage des herbicides ".
L’objectif général du projet était d’évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte contre l’AMATU. Les objectifs spécifiques du projet étaient de : 1.1) Évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte intégrée contre l’AMATU. 1.2) Réaliser une analyse économique des coûts des méthodes de lutte intégrée, incluant l’arrachage manuel, contre l’AMATU. 2.0) Évaluer différentes méthodes sécuritaires et efficaces de disposition des plantes d’AMATU suite à un arrachage manuel. 3.0) Évaluer l’efficacité de deux moyens de lutte thermique (pyrodésherbage et vapeur d’eau) pour le contrôle de l’AMATU. Le projet a été une collaboration entre le CÉROM, le MAPAQ, l'IRDA, la CSC, en partenariat avec GMABE (volet désherbage à la vapeur d’eau) et il a été financé par le ministère de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation dans le cadre du volet 3 du programme prime vert et est lié à la stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021.
L’objectif général du projet était d’évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte contre l’AMATU. Les objectifs spécifiques du projet étaient de : 1.1) Évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte intégrée contre l’AMATU. 1.2) Réaliser une analyse économique des coûts des méthodes de lutte intégrée, incluant l’arrachage manuel, contre l’AMATU. 2.0) Évaluer différentes méthodes sécuritaires et efficaces de disposition des plantes d’AMATU suite à un arrachage manuel. 3.0) Évaluer l’efficacité de deux moyens de lutte thermique (pyrodésherbage et vapeur d’eau) pour le contrôle de l’AMATU. Le projet a été une collaboration entre le CÉROM, le MAPAQ, l'IRDA, la CSC, en partenariat avec GMABE (volet désherbage à la vapeur d’eau) et il a été financé par le ministère de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation dans le cadre du volet 3 du programme prime vert et est lié à la stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021.