Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
53 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
1 archive correspondant à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Nouveau
15 novembre 2024
QUESTION : J’ai un client qui a caractérisé son lisier de porc à l’engrais en 2011. Il aurait dû amorcer une nouvelle campagne d’échantillonnage en 2016, mais le manque de main-d’œuvre a fait que la prise d’échantillons n’était pas suffisante pour compléter l’analyse de caractérisation. La situation de la main-d’œuvre
ne s’est pas améliorée. Puisque maintenant le MELCCFP reconnait la valeur des bilans alimentaire pour déterminer la charge du lisier. Pouvons-nous utiliser le bilan alimentaire dans la fertilisation et le bilan du phosphore même si ça fait plus de 10 ans que le lisier a été caractérisé? Car, disons-le, la caractérisation que demande le règlement au 10 ans ne me convint pas de sa valeur scientifique, alors que le bilan alimentaire fait selon les règles de l’art m’apparait beaucoup plus fiable que 150 ml de lisier prélevé pour évaluer une fosse de 3500 m3. RÉPONSE : Le bilan alimentaire est effectivement utilisable à des fins de détermination de la charge phosphore d'un lieu d'élevage en production porcine. Cette information servira à la production du bilan de phosphore de l'entreprise. Néanmoins, l'agronome peut utiliser la méthode qui lui semble la plus juste pour établir la charge fertilisante associée aux déjections produites sur le lieu d'élevage dans le cadre de l'élaboration du PAEF. Toutefois, l'éligibilité de l'entreprise à pouvoir utiliser ou non le bilan alimentaire à des fins de détermination de la charge phosphore d'un lieu d'élevage relève de l'interprétation du Règlement sur les exploitations agricoles. Pour cet aspect de votre demande, nous vous invitons à vous adresser directement au Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
07 décembre 2023
QUESTION : Dans le cas où un producteur possède un bâtiment porcin et 2 fosses reliées à ce même bâtiment pour recevoir le lisier. Est-ce que l'on doit appliquer le protocole pour chacune des fosses ou on peut les considérer comme un tout? RÉPONSE : Lorsqu'un lieu d’élevage est desservi par plusieurs ouvrages de stockage,
nous devons appliquer le protocole de caractérisation pour chacun des ouvrages de stockage. Quelques éléments motivent cette façon de faire : - Les mesures de hauteur de fosse, à l’automne et avant le début des épandages, permettent d’évaluer le volume de lisier produit et entreposé pour une période connue. La connaissance de cette valeur, et ce pour chacune des structures d’entreposage, permettra d’évaluer le volume total annuel produit. L’agronome pourra ensuite comparer cette valeur avec celle obtenue à partir des registres d’épandage; - La caractérisation de chacune des fosses nous permet de connaître la teneur en éléments fertilisants en fonction des accumulations d'eau et de la répartition des chantiers d'épandage. Dans un lieu d’élevage desservi par plusieurs structures d’entreposage, dépendamment du rythme de vidange et de la capacité de chaque structure d’entreposage, ces valeurs pourraient être très différentes pour chacune des fosses caractérisées; - La connaissance de la teneur en éléments fertilisants pour chacune des fosses permettra à l’agronome de réaliser un plan de fertilisation qui colle mieux à la réalité de l’entreprise. Par exemple, si une entreprise procédait à l’épandage post-récolte à partir d’une des fosses du lieu d’élevage, la connaissance de la teneur en éléments fertilisants spécifique à cette fosse permettrait à l’agronome d’élaborer un argumentaire entourant la gestion des risques. En somme, dans cette situation, il faudrait établir 1 protocole de caractérisation distinct pour chacune des 2 fosses en tenant compte du nombre de prélèvements et d'échantillons à respecter selon le protocole suivant : FUMIERS LIQUIDES
Lire la suite
31 mars 2023
QUESTION : En production porcine, nous avons parfois accès au bilan alimentaire. Je me demandais lors de la validation d'une caractérisation, devons-nous utiliser le cheptel déclaré par le producteur ou le cheptel moyen inscrit sur le bilan alimentaire (inférieur à la déclaration du producteur) ? RÉPONSE : Lorsque le bilan
alimentaire sert d'outil de validation afin d'appuyer les données de la caractérisation des déjections produites sur un lieu d'élevage, il est important de considérer des cheptels équivalents. La caractérisation devra tenir compte du cheptel réel sur l'entreprise. Afin de comparer les valeurs de caractérisation avec celles du bilan alimentaire, un ajustement des valeurs obtenues au bilan alimentaire au prorata du cheptel réel considéré dans la caractérisation permettra un comparatif plus réaliste. Ex : Cheptel réel durant la période de caractérisation : 600 porcs à l'engraissement. Cheptel moyen au bilan alimentaire : 500 porcs à l'engraissement. Afin d'utiliser le bilan alimentaire pour valider les valeurs issues de la caractérisation, une majoration 20% des valeurs issues du bilan alimentaire permettra d'obtenir un comparable basé sur des cheptels équivalents. Cette démarche est valide s'il n'y a pas eu de modifications majeures à la régie d'élevage. Il est a rappeler que le REA (art. 28.4.) permet maintenant l'utilisation du bilan alimentaire afin de déterminer la charge phosphore d'un lieu d'élevage en production porcine sous certaines conditions. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
13 avril 2022
QUESTION: Certaines années, la fosse n’est pas vidée entièrement. Aussi, la fin des épandages n’est pas toujours vers la même date d’une année à l’autre. Ainsi, le volume produit annuellement ne correspond pas toujours au volume épandu pour une année. Le protocole ne prévoit pas d’ajuster le « VAV réel » (volume total
épandu pour une année) au volume réellement produit durant cette même année. Par exemple, si la fosse a été vidée entièrement en août pour la dernière fois de la saison caractérisée, alors qu’elle a été vidée entièrement en octobre l’année précédente. Ou, par exemple, si pour une année de caractérisation la fosse est entièrement vidée après la première coupe, ce qui permet d’échantillonner le fond de fosse, mais qu’au dernier chantier de la saison en septembre l’agriculteur y laisse environ 120 cm de lisier, alors que l’année précédente à la même période il y avait laissé seulement 60 cm. Encore une fois, aux PAEF que j’analyse, il n’y a jamais d’ajustement en fonction du volume produit. L’agronome considère presque toujours le volume vidangé moyen des deux années multiplié par la densité moyenne et par la valeur fertilisante moyenne pondérée, même lorsqu’il y a de grands écarts entre les volumes épandus d’une année à l’autre selon les registres. RÉPONSE: Le protocole de caractérisation précise considérer le volume annuel à vidanger (VAV) dans le calcul de la charge fertilisante annuelle produite. A preuve, le protocole peut accepter que l’on caractérise seulement 60% du volume annuel, mais on doit faire des mesures de volume à la fosse pour connaître le volume annuel produit. Donc, la charge annuelle fertilisante se calcule toujours sur le volume annuel produit. D'ailleurs, cela doit être précisé dans le rapport de caractérisation. Voir Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes : On précise le volume caractérisé et le volume annuel. On peut voir que la charge fertilisante est calculée sur le volume annuel produit
Lire la suite
13 avril 2022
QUESTION : Il y a parfois des écarts importants (à la hausse ou à la baisse) entre le cheptel présent les années de la caractérisation et le cheptel prévu au PAEF et au bilan de phosphore. Dans les PAEF que j’analyse, il est rare que le cheptel présent à chaque année de caractérisation soit indiqué au rapport de caractérisation.
Il y a donc rarement ajustement des résultats en fonction du cheptel prévu pour l’année (sauf évidemment pour les lieux d’élevage en demande d’autorisation pour l’augmentation de la production annuelle de phosphore). RÉPONSE: Dans les rapports de caractérisation, on précise toujours le cheptel. Donc, comme l’on connaît le cheptel pendant la caractérisation, il y a possibilité d’ajuster la charge fertilisante produite annuellement au cheptel réel pour les années subséquentes. Voir Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
13 avril 2022
QUESTION: Aux calculs de la valeur fertilisante moyenne du lisier caractérisé, le protocole prévoit que les valeurs sont pondérées en fonction du volume (m3) de lisier correspondant à chaque échantillon, alors que les analyses sont en kg/t. Lorsqu’on considère que le lisier a une densité de 1 t/m3, ce calcul est bon, mais
pour toute autre densité, le calcul est faussé et les valeurs devraient plutôt être pondérées en fonction de la masse (t) de lisier correspondant à chaque échantillon. Dans la pratique, les agronomes font souvent déterminer par le laboratoire la densité du lisier analysé et utilisent cette donnée pour leurs calculs. Lorsque ceux-ci utilisent la méthode de calcul indiquée au Protocole de caractérisation des lisiers de porc, cela induit une erreur. RÉPONSE: Pour le protocole de caractérisation des lisiers de porc, le comité effluents d’élevage a toujours convenu que la densité des fumiers liquide est de 1 tonne/mètre cube. Pour ce qui est du calcul de densité en laboratoire, nous avons toujours soutenu que cette valeur n’est pas valable en raison de la trop faible quantité d’effluent sur laquelle la mesure est effectuée. Cela explique d’ailleurs que, pour le protocole de caractérisation des fumiers solides, nous exigeons des pesées de fumier et des mesure de volume d’équipement de chargement en lieu et place de la valeur de densité du labo. Donc, en conclusion, nous avons toujours convenu d’utiliser une densité de fumier liquide de 1 tonne/mètre cube, car elle représente le meilleur estimé de la vraie densité pour estimer les charges de lisiers de porc. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
18 octobre 2021
QUESTION: Sur la base de connaissances effluents d’élevage, dans la section « rapport de caractérisation : 4 études de cas », on indiquent à la page 5 que pour plus d'informations concernant les étapes de validation et d'interprétation des résultats, nous pouvons trouver de l'information sur la plateforme. Or, je ne vois
nulle part, un document faisant office de ligne directrice pour la validation des résultats et l'interprétation des données. Est-ce qu'un tel document existe ? si oui, ou puis-je le trouver ? RÉPONSE: Sur la base de connaissances effluents d’élevage, à l’onglet « Mise en contexte », au sous-titre : « L’importance du conseiller dans le processus de reconnaissance des résultats », nous définissons ce que sont les étapes de validation et d’interprétation des résultats de caractérisation. Vous trouverez le tout au lien suivant : Base de connaissances effluents élevage, dans la section "À propos". Toujours sur la base de connaissances effluents d’élevage, dans les quatre études de cas, vous pourrez constater qu’il y a des exemples de traitement des étapes de validation et d’interprétation des résultats, et ce, pour chacun des cas. D’ailleurs, dans l’étude de cas numéro 4, vous pourrez constater que la caractérisation a été jugée non conforme. Vous trouverez le tout au lien suivant : Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes Aussi, la section « Foire aux questions » présente un certain nombre de questions qui ont été répondues en ce qui a trait aux étapes de validation et d’interprétation des résultats. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
22 juillet 2021
QUESTION: Sur la base de connaissances effluents d’élevage, dans la section « rapport de caractérisation : 4 études de cas », on indiquent à la page 5 que pour plus d'informations concernant les étapes de validation et d'interprétation des résultats, nous pouvons trouver de l'information sur la plateforme. Or, je ne vois
nulle part, un document faisant office de ligne directrice pour la validation des résultats et l'interprétation des données. Est-ce qu'un tel document existe ? si oui, ou puis-je le trouver ? RÉPONSE: Sur la Base de connaissances effluents d’élevage, à l’onglet « À propos », au sous-titre : « L’importance du conseiller dans le processus de reconnaissance des résultats », nous définissons ce que sont les étapes de validation et d’interprétation des résultats de caractérisation. Toujours sur la base de connaissances effluents d’élevage, dans les quatre études de cas, vous pourrez constater qu’il y a des exemples de traitement des étapes de validation et d’interprétation des résultats, et ce, pour chacun des cas. D’ailleurs, dans l’étude de cas numéro 4, vous pourrez constater que la caractérisation a été jugée non conforme. Vous trouverez le tout au lien suivant : Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes Aussi, la section « Foire aux questions » présente un certain nombre de questions qui ont été répondues en ce qui a trait aux étapes de validation et d’interprétation des résultats. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
Lire la suite
14 avril 2021
QUESTION : Lorsque la structure d'entreposage est de bonne dimension, il n'est pas rare de constater que le volume résiduel après le dernier épandage de la saison soit plus ou moins important entre les années. Une variation est constatée entre les différentes années. Également, la période d'épandage est variable entre
les années. Parfois plus de 365 jours et parfois moins. Lors de la compilation des valeurs de caractérisation, est-il juste de faire une correction du volume annuel estimé en fonction de la période (report sur 365 jours) ET du volume résiduel dans la fosse ? Exemple : An 1 il restait 4 pi de lisier dans la fosse et An 2 restait 2 pi. Donc, un 2 pi de fond ''tampon'' a été utilisé. Faut-il le soustraire ce 2 pi du volume annuel estimé, car nous ignorons exactement quelle année ce volume a été généré ? RÉPONS E: Afin d’évaluer la charge annuelle de phosphore d’un lieu d’élevage, l’agronome doit évaluer le volume d’effluents d’élevage produit annuellement. Dans bien des cas, le volume de lisier caractérisé ou épandu, peut être différent du volume produit annuellement. Par conséquent, l’agronome doit être en mesure d’évaluer le volume produit annuellement sur 365 jours. Pour ce faire, il peut consulter l’historique des registres d’épandage ou des mesures de hauteur de fosses. Lorsque l’historique contient plusieurs années, on peut penser que la moyenne constitue une représentation fidèle du volume produit annuellement. Le protocole de caractérisation des lisiers de porcs suggère de procéder à des mesures de hauteur de fosse sur au moins deux années. Consultez le protocole de caractérisation des lisiers de porcs à la page 3, où l’on ramène la valeur de volume sur 365 jours. La façon retenue par l’agronome devra être précisé au rapport de caractérisation. Un bon exemple est présenté sur la base de connaissances effluents d’élevage au lien suivant : Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes, Dans l’étude de cas numéro 1
Lire la suite
19 février 2019
QUESTION : il y a 5 ans, j'ai validé les données de caractérisation de lisier de bovin laitier. Au renouvellement de la caractérisation, j'obtiens une charge phosphore beaucoup plus faible. Mes moyennes pondérées pour mes 2 années de caractérisation consécutives sont tout à fait cohérentes, mais plus basse que la caractérisation
précédente. Est-ce que je peux accepter la caractérisation malgré un grand écart? Est-ce qu'il y aurait des facteurs qui pourraient expliquer la différence? RÉPONSE :Tel que précisé lors des formations sur les protocoles de caractérisation, lorsque l’agronome peut valider que la caractérisation a été réalisée conformément aux protocoles publiés par le CRAAQ, les valeurs obtenues peuvent être utilisées même si elles sont à l’extérieur des fourchettes des valeurs références pour la production laitière publiées par le CRAAQ en 2003. L’agronome doit présenter un argumentaire dans son rapport de caractérisation à la section « Interprétation des résultats ». Cette section est l’endroit tout indiqué pour expliquer les variations de résultats, soit entre deux années de caractérisation, ou encore, entre 2 cycles de caractérisation. Dans le cas que vous présentez, différents facteurs pourraient être examinés pour les deux cycles de caractérisation, soient : la conformité de l’échantillonnage, le cheptel (quantité d’animaux), le niveau de production des vaches laitières, le type d’alimentation, la santé animale (événements de maladie), et le bien-être animal. La consultation de l’expert en suivi d’élevage de l’entreprise pourrait probablement vous aider à préciser votre argumentaire. Dans le doute, l’agronome responsable de la caractérisation peut se réserver le droit de poursuivre la caractérisation des effluents d’élevage pour une année supplémentaire. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances
Lire la suite
1 à 10 sur 53