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20 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
21 janvier 2022
QUESTION : Je sais que les valeurs de référence du CRAAQ pour les fumiers sous forme liquide inclut les eaux de laiterie et les précipitations, cela m’est confirmé dans la section Foire aux questions « Eaux de Laiterie de la Base de connaissance effluent d’élevage ». Dans le document Valeurs de références pour les volumes
et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage (2020), spécifie au bas du tableau (p.16) Production laitière: « L’eau des précipitations est incluse dans les volumes sous-gestion liquide.» Or je ne trouve nulle part l’indication textuelle dans ce document précisant cette information. Y a-t-il un document ou un ouvrage de référence officielle, citant textuellement que les eaux de laiterie sont incluses dans les valeurs de référence du CRAAQ. RÉPONSE : En ce qui concerne les volumes produits en production laitière, le seul document faisant référence spécifiquement aux eaux de laiterie est l’Agdex 538/400.27, 1999, intitulé Fumier de ferme - Production . Ce qu’il faut comprendre, c’est que les valeurs références, pour la production laitière ont été adaptées afin d’avoir la même charge fertilisante totale (masse X teneur) peu importe si les déjections animales sont entreposées sous forme solide ou liquide, ce qui n’était pas le cas avec les valeurs de l’Agdex 538/400.27. Comme les valeurs références en production laitière sont issues d’une revue littérature qui date de 2003, il est important de rappeler que ces valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation de la majorité des élevages actuels. Par conséquent, la caractérisation des effluents d’élevage selon les protocoles en vigueur publiés par le CRAAQ constitue l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives des effluents d’élevage du cheptel présent dans un lieu d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour
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31 juillet 2017
QUESTION : Dans Siga pour la vache Jersey, nous avons un volume de fumier annuel produit par place pour une vache sous gestion solide avec une charge phosphore par place et par an, mais nous n'avons pas le volume de fumier liquide annuel par place pour la Jersey. Quel est ce volume? Et quelle est la référence? Peut-on
additionner le purin et le volume solide et conclure que le volume liquide produit pour cette race est le total des 2 volumes en m.c.? RÉPONSE : À ce jour, le CRAAQ n’a publié aucune valeur référence strictement en lien avec la race laitière Jersey. Pour fin de production de bilan de phosphore, l’annexe VII du REA propose des valeurs pour cette race de bovin. La meilleure façon d'évaluer les volumes de lisier produit est de procéder à la caractérisation des effluents d’élevage selon les protocoles de caractérisation publiés par le CRAAQ. Le conseiller peut aussi utiliser le registre d’épandage de l’exploitant. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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27 mars 2017
QUESTION : Comment sont déterminées les valeurs on unités de phosphore des fumiers de bovins laitiers et comment peut-on les changer? RÉPONSE : En 2003, les valeurs références pour la production laitière ont été mises à jour à partir d’une revue littérature réalisée par le Centre de référence en agriculture et agroalimentaire
du Québec (CRAAQ). Selon la réglementation québécoise, pour établir la production annuelle de phosphore d’un lieu d’élevage, les producteurs agricoles sont obligés de caractériser (échantillonner) les effluents d’élevage selon des protocoles établis afin de connaître les volumes et teneurs en éléments fertilisants. Les protocoles de caractérisation sont disponibles sur la Base de connaissances effluents d’élevage. Comme la caractérisation doit se réaliser sur un minimum de deux années consécutives, les conseillers peuvent utiliser les valeurs du CRAAQ en attendant que la caractérisation soit complétée. Les producteurs agricoles peuvent se soustraire à cette exigence réglementaire en utilisant les valeurs de l’annexe VI du règlement sur les exploitations agricoles (REA). Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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20 septembre 2016
QUESTION : J'avais imprimé il y a quelques années le document suivant : Charges fertilisantes des effluents d'élevage - période transitoire Valeurs références. Mais seulement les tables de production pour bovins de boucherie et laitier. On y mentionne qu'on peut se référer au texte '' Modalités de reconnaissance des valeurs
références pour la période transitoire '' Est-ce qu'on peut trouver ce texte quelque part? En fait, ma question était est-ce que les eaux de laiterie et/ou les eaux de lavage de plancher sont comprises dans les valeurs (gestion liquide) pour les bovins laitiers? RÉPONSE : Le texte entourant la reconnaissance des résultats de caractérisation est présenté dans la Base de connaissances effluents d’élevage, vous pouvez le consulter sous l’onglet Mise en contexte au paragraphe portant sur l'importance du conseiller dans le processus de reconnaissance des résultats. Votre question concernant les eaux de laiterie a déjà obtenu une réponse. Voici le lien pour consulter la réponse qui avait été déposée sur la Base de connaissances effluents d’élevage : Q&R BCEE - Document de référence concernant les eaux de laiterie Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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26 août 2016
QUESTION : J'aimerais savoir si dans le calcul du volume laissé dans un pâturage, vous considérez le nombre d'heures réelles que le troupeau reste au champ. De nos jours, en production laitière biologique. Les troupeaux ne sont sorties que quelques heures par jour sur des périodes bien spécifiques. En théorie, si on considère
que les entreprises sortent les animaux sur une période de 150 jours, ce n'est pas sur 24h/jour, mais plutôt 8-12h. Devrait-on alors considéré 75 jours au pâturage dans notre calcul dans ces cas là? La superficie requise en pâturage pour disposer le fumier est très variable dans chacune des situations. RÉPONSE: La Base de connaissances effluents d’élevage présente deux exemples qui ont été déposés et qui sont en lien avec votre question. Vous pouvez consulter les textes aux liens suivants : Q&R BCEE - Fumier au pâturage Q&R BCEE - Charge fertilisante de phosphore laissée au pâturage Ce qu’il faut retenir, c’est que chaque conseiller doit tenir compte de la situation réelle de l’entreprise dans l’évaluation de la charge fertilisantes produites pendant la période de claustration et/ou la période de pâturage. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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31 juillet 2015
QUESTION : À propos des valeurs de référence des charges fertilisantes des effluents d'élevage pour la production bovine, existe-t-il des valeurs pour les animaux passés au pâturage ou ce sont les mêmes que celles inscrites dans les grilles de la période transitoire? RÉPONSE : Il n’existe pas de données spécifiques aux
fumiers de bovins en pâturage. Si vous avez caractérisé le fumier stocké en hiver, vous pouvez utiliser la charge calculée par la caractérisation et la répartir en proportion du poids des animaux pour évaluer au prorata des journées en pâturage les charges fertilisantes conséquentes. Si vous n’avez pas caractérisé le fumier stocké en hiver, Il est suggéré d’utiliser les valeurs de rejets par 1 000 kg de gain de poids ou par tête des valeurs transitoires du CRAAQ de la même façon. Comme in n’y a pas d’épandage ou de stockage à considérer au pâturage, les volumes ne sont pas pertinents. Comité de coordination effluents d'élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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31 juillet 2015
QUESTION : Bonjour, La conférence du 21 novembre de M.A. Gasser nous a convaincus, moi et mon équipe de 12 conseillers, d'utiliser les nouveaux coefficients d’efficacité pour les engrais organiques. Par contre, le tableau 10.1 manque d'informations pour certaines productions : ex. : porcs maternité, porcs pouponnière,
fumier solide bovins boucherie, purin bovin laitier (purot), etc. Bien que le meilleur choix soit de caractériser, on le sait!, si on n'a pas de caractérisation, on utilise les données de références, pour ces cas, quelles sont-elles? En ce qui concerne l’élaboration du plan de fertilisation, il est convenu que l’agronome est le mieux placé pour choisir les meilleures données mises à sa disposition. RÉPONSE : Nous convenons tous que le premier choix de l’agronome demeure l’utilisation des données issues d’une caractérisation conforme aux protocoles du CRAAQ. Toutefois, en attendant que le projet de caractérisation soit complété, le professionnel peut, selon son jugement professionnel, choisir parmi les options suivantes : - Utilisation des données issues d’une caractérisation conforme aux protocoles de caractérisation du CRAAQ, mais provenant d’un autre site d’exploitation, et dont la catégorie d’animaux et la conduite d’élevage sont comparables à celles de votre client; - Tout autre document provenant de la littérature scientifique. Différents documents provenant de la littérature québécoise fournissent déjà des données entourant les teneurs en azote total (N-total), azote ammoniacal (N-NH4) ainsi que le rapport C/N. À titre d’exemple : Document publié sur le site de l’OAQ : « Épandage postrécolte des engrais organiques et risques environnementaux reliés aux pertes d’azote », page 54. Le document peut être téléchargé au lien suivant : http://www.oaq.qc.ca/getmedia/e9943bc8-5621-4399-9612-b36ec2050554/2006_05_24_Revue_litterature.aspx Document publié sur le site de l’IRDA : « Caractérisation des volumes et des concentrations en éléments fertilisants des
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31 juillet 2015
QUESTION : Bonjour, je voudrais savoir si vous avez des valeurs de purin dans lesquelles les eaux de laiterie ne vont pas dans la fosse. Merci. RÉPONSE : La valeur la plus importante lorsque l’on utilise les valeurs références publiées par le CRAAQ, c’est la résultante des volumes et teneurs, soit la charge fertilisante.
Par exemple, si vous possédez un historique de données entourant les volumes d’effluents d’élevage, que vous jugez valable sur une entreprise, vous pouvez les utiliser à condition d’adapter les teneurs (concentration en éléments fertilisants) et ainsi obtenir une charge fertilisante équivalente à celle proposée par la valeur référence. Nous tenons aussi à préciser que ces valeurs références datent de plusieurs années et que les valeurs issues d’une caractérisation à la ferme demeurent la meilleure façon d’obtenir des résultats qui représentent le niveau de production et la conduite d’élevage spécifiques à chaque entreprise. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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31 juillet 2015
QUESTION : Le REA fait maintenant une distinction entre les vaches laitières Jersey, Canadiennes et autres races. Dans les cas des vaches Jersey ou Canadiennes, quelles valeurs de référence dois-je utiliser? Quels sont les volumes et analyses à utiliser puisque la charge de phosphore est coupée de plus de la moitié. Mon
producteur est sur fumier liquide, mais les volumes semblent tout de même comparables aux valeurs de référence. La caractérisation me le dira, mais qu'est-ce que j'utilise pour cette année? RÉPONSE : Lorsqu’une entreprise est en processus de caractérisation des effluents d’élevage, mais n’a pas complété un minimum de deux années, le bilan de phosphore doit être réalisé avec les valeurs références les plus récentes reconnues par le milieu professionnel. Dans le cas que vous nous présentez, les valeurs références du CRAAQ, publiées en 2003 pour la production laitière, sont les valeurs les plus récentes à ce jour. Pour ce qui est du plan de fertilisation, l’agronome reste le seul juge pour décider des meilleures données à utiliser, et ce, tant pour le phosphore que pour les autres éléments fertilisants. Comité de coordination effluents d’élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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31 juillet 2015
QUESTION : Lors de l'évaluation du volume de fumier produit pour du fumier en tas entreposé sur le sol, est-ce que je tiens compte uniquement de la partie solide ou je rajoute la partie liquide même si cette partie n'est pas récupérée dans un structure étanche? RÉPONSE : Dans le cas d’un fumier de bovins laitiers égoutté
(exemple : tas au sol), l’évaluation des volumes, à partir des valeurs références du CRAAQ-2003, doit considérer les parties solides et liquides du fumier, car lors de la production du bilan de phosphore à partir des volumes et des teneurs, le résultat doit représenter la quantité de phosphore annuelle totale produite par le cheptel.Donc, même si la charge fertilisante contenue dans la partie liquide de l’effluent d’élevage n’est pas épandue en raison des pertes dans l’environnement, cette charge est quand même produite par le cheptel. Toutefois, afin d’éviter des recommandations inutiles de fumier liquide dans le plan de fertilisation, il suffira de diviser la charge fertilisante totale, telle qu’estimée ci-dessus, par le volume correspondant à la partie solide du fumier. De cette façon, vous adaptez une nouvelle teneur pour le fumier solide, votre plan de fertilisation tient compte des fumiers disponibles (et non ceux perdus dans l’environnement) et la charge fertilisante totale correspond à celle produite par le cheptel. Nous vous rappelons que si la production annuelle de phosphore estimée selon l’annexe VII du REA est égale ou supérieure à 1 600 kg de phosphore en fonction du cheptel maximal présent dans les bâtiments d’élevage sous gestion solide, l’entreprise ne serait pas autorisée à entreposer le fumier près du bâtiment. Comité de coordination effluents d’élevage Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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