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Q&R BCEE - Bâtiment d'élevage ayant 2 fosses
07 décembre 2023
QUESTION : Dans le cas où un producteur possède un bâtiment porcin et 2 fosses reliées à ce même bâtiment pour recevoir le lisier. Est-ce que l'on doit appliquer le protocole pour chacune des fosses ou on peut les considérer comme un tout? RÉPONSE : Lorsqu'un lieu d’élevage est desservi par plusieurs ouvrages de stockage, nous devons appliquer le protocole de caractérisation pour chacun des ouvrages de stockage. Quelques éléments motivent cette façon de faire : - Les mesures de hauteur de fosse, à l’automne et avant le début des épandages, permettent d’évaluer le volume de lisier produit et entreposé pour une période connue. La connaissance de cette valeur, et ce pour chacune des structures d’entreposage, permettra d’évaluer le volume total annuel produit. L’agronome pourra ensuite comparer cette valeur avec celle obtenue à partir des registres d’épandage; - La caractérisation de chacune des fosses nous permet de connaître la teneur en éléments fertilisants en fonction des accumulations d'eau et de la répartition des chantiers d'épandage. Dans un lieu d’élevage desservi par plusieurs structures d’entreposage, dépendamment du rythme de vidange et de la capacité de chaque structure d’entreposage, ces valeurs pourraient être très différentes pour chacune des fosses caractérisées; - La connaissance de la teneur en éléments fertilisants pour chacune des fosses permettra à l’agronome de réaliser un plan de fertilisation qui colle mieux à la réalité de l’entreprise. Par exemple, si une entreprise procédait à l’épandage post-récolte à partir d’une des fosses du lieu d’élevage, la connaissance de la teneur en éléments fertilisants spécifique à cette fosse permettrait à l’agronome d’élaborer un argumentaire entourant la gestion des risques. En somme, dans cette situation, il faudrait établir 1 protocole de caractérisation distinct pour chacune des 2 fosses en tenant compte du nombre de prélèvements et d'échantillons à respecter selon le protocole suivant : FUMIERS LIQUIDES Lire la suite
Q&R BCEE - Bilan alimentaire et valeurs fertilisantes
20 octobre 2023
Dans la mise à jour du REA de Septembre 2022, il sera permis, sous certaines conditions, d'utiliser la méthode de bilan alimentaire pour ''remplacer'' la caractérisation des effluents d'élevage en production porcine et avicole. En faisant mes recherches, il est plutôt rare d'avoir un bilan du N et du K avec la méthode de bilan alimentaire. Souvent, ce sont les bilans en P qui sont concernés. Comment allons nous allier le bilan alimentaire en P et les autres éléments N et K. Est-ce que le P du bilan alimentaire sera utilisé et le N et le K seront issu de la caractérisation passé des effluents? Ou le N et le K seront issus des références du CRAAQ? Le bilan alimentaire peut effectivement être utilisé afin d'établir la production de phosphore d'un lieu d'élevage sous certaines conditions dans les productions porcines et d'oeufs de consommation. La charge en phosphore issue du bilan alimentaire peut donc être utilisée afin de produire le bilan de phosphore de ce lieu d'élevage. Par ailleurs, dans le cadre de l'élaboration d'un PAEF, l'agronome peut utiliser plusieurs méthodes afin d'établir les valeurs fertilisantes associées à un effluent d'élevage. Les données issues d'une précédente caractérisation peuvent être utilisées si elles sont toujours jugées pertinentes par l'agronome. Ce dernier devra utiliser la méthode qui lui semble la plus appropriée afin d'établir les teneurs en éléments fertilisants d'un fumier ou d'un lisier. Toutefois, si l'agronome établit la charge phosphore d'un lieu d'élevage à partir du bilan alimentaire dans le cadre de l'élaboration d'un bilan de phosphore, il est attendu que les données inscrites au PAEF pour les déjections issues de ce lieu d'élevage soient cohérentes avec celles du bilan alimentaire ainsi que celles du bilan de phosphore.   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Pâturage exclusif
13 octobre 2023
QUESTION : Un producteur a des vaches de race Galloway Écossaise qui sont au pâturage à l’année longue. Puisque les valeurs du CRAAQ ne sont pas représentatives du fumier produit par ses vaches, il souhaite caractériser le fumier de ses vaches au pâturage. Est-ce réalisable ? Si oui, quel est la procédure à suivre ? Comment mesurer les volumes produits puisqu'il n'y a pas de hauteurs de fosse ou de nombre de voyage qui peuvent être comptabilisés ? Il possède toutes les données de poids de ses vaches, est-ce qu’il est possible d’utiliser ces données pour mesurer la quantité de fumier produit par vache ? RÉPONSE : Voici une réponse donnée à une question similaire posée antérieurement : «Pour évaluer la quantité de fumier laissé au pâturage, nous devons nous rabattre sur la littérature scientifique. Il existe deux façons de procéder selon que l’on utilise les valeurs références CRAAQ-2003 ou des valeurs réelles issues d’un protocole de caractérisation reconnu. Façon de procéder avec les valeurs CRAAQ-2003 : il suffit de faire un prorata à partir du nombre de jours passés au pâturage. Par exemple des génisses laitières (11 jours à 15 mois) qui passeraient 100 jours au pâturage. 3.6 tonnes/tête X (100/365) = 0.98 tonne par tête 0.98 tonne par tête X valeur de l’analyse CRAAQ-2003 = Charge fertilisante totale laissée au pâturage Nous convenons que même si nous savons que la déjection laissée au pâturage ne contient pas de litière, la charge fertilisante totale est la même, car la paille n’apporte que très peu de phosphore. Façon de faire avec les données réelles issues d’une caractérisation : Dans un contexte de caractérisation des valeurs réelles, les valeurs obtenues nous donnent la charge fertilisante annuelle entreposée et vidangée lors de la valorisation sur le terrain. Pour calculer la charge totale annuelle produite par le troupeau, il faudra ajouter, à la charge entreposée, celle laissée au pâturage pour chaque catégorie d’animaux (génisse, vache adulte). La seule Lire la suite
Q&R BCEE - Densité oeufs de consommation
13 avril 2023
QUESTION : Normalement, pour connaître la densité des fumiers selon les valeurs de références du CRAAQ, nous divisons la valeur de masse par la valeur de volume. Cependant, dans le cas des poulette et poules pondeuse en production d'oeufs de consommation, il y a aussi la valeur de masse volumique, dont le résultat c'est pas tout à fait le même que lorsqu'on calcul masse/volume. Laquelle de ces deux valeurs devrait être utilisée comme densité pour convertir la masse du fumier en volume? RÉPONSE : L'utilisation de la masse volumique et du volume par tête est la méthode retenue pour l'évaluation de la masse de déjections produites par un cheptel de poulettes ou de poules pondeuses et pour en évaluer la charge phosphore. Des explications supplémentaires sont données aux pages 12 et 13 du «Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d'éléments fertilisants dans les effluents d'élevage» quant aux disparités des valeurs moyennes pour ces types d'élevage. Des exemples de calcul y sont aussi présentés. https://www.agrireseau.net/documents/113500/guide-valeurs-references-pour-les-volumes-et-les-concentrations-d_elements-fertilisants-dans-les-effluents-d_elevage?a=1   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Validation de la caractérisation avec bilan alimentaire
31 mars 2023
QUESTION : En production porcine, nous avons parfois accès au bilan alimentaire. Je me demandais lors de la validation d'une caractérisation, devons-nous utiliser le cheptel déclaré par le producteur ou le cheptel moyen inscrit sur le bilan alimentaire (inférieur à la déclaration du producteur) ? RÉPONSE : Lorsque le bilan alimentaire sert d'outil de validation afin d'appuyer les données de la caractérisation des déjections produites sur un lieu d'élevage, il est important de considérer des cheptels équivalents. La caractérisation devra tenir compte du cheptel réel sur l'entreprise. Afin de comparer les valeurs de caractérisation avec celles du bilan alimentaire, un ajustement des valeurs obtenues au bilan alimentaire au prorata du cheptel réel considéré dans la caractérisation permettra un comparatif plus réaliste. Ex : Cheptel réel durant la période de caractérisation : 600 porcs à l'engraissement. Cheptel moyen au bilan alimentaire : 500 porcs à l'engraissement. Afin d'utiliser le bilan alimentaire pour valider les valeurs issues de la caractérisation, une majoration 20% des valeurs issues du bilan alimentaire permettra d'obtenir un comparable basé sur des cheptels équivalents. Cette démarche est valide s'il n'y a pas eu de modifications majeures à la régie d'élevage. Il est a rappeler que le REA (art. 28.4.) permet maintenant l'utilisation du bilan alimentaire afin de déterminer la charge phosphore d'un lieu d'élevage en production porcine sous certaines conditions.   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Variation de cheptel
13 avril 2022
QUESTION : Il y a parfois des écarts importants (à la hausse ou à la baisse) entre le cheptel présent les années de la caractérisation et le cheptel prévu au PAEF et au bilan de phosphore. Dans les PAEF que j’analyse, il est rare que le cheptel présent à chaque année de caractérisation soit indiqué au rapport de caractérisation. Il y a donc rarement ajustement des résultats en fonction du cheptel prévu pour l’année (sauf évidemment pour les lieux d’élevage en demande d’autorisation pour l’augmentation de la production annuelle de phosphore). RÉPONSE: Dans les rapports de caractérisation, on précise toujours le cheptel. Donc, comme l’on connaît le cheptel pendant la caractérisation, il y a possibilité d’ajuster la charge fertilisante produite annuellement au cheptel réel pour les années subséquentes. Voir Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Volume total annuel VS Charge fertilisante produite
13 avril 2022
QUESTION: Certaines années, la fosse n’est pas vidée entièrement. Aussi, la fin des épandages n’est pas toujours vers la même date d’une année à l’autre. Ainsi, le volume produit annuellement ne correspond pas toujours au volume épandu pour une année. Le protocole ne prévoit pas d’ajuster le « VAV réel » (volume total épandu pour une année) au volume réellement produit durant cette même année. Par exemple, si la fosse a été vidée entièrement en août pour la dernière fois de la saison caractérisée, alors qu’elle a été vidée entièrement en octobre l’année précédente. Ou, par exemple, si pour une année de caractérisation la fosse est entièrement vidée après la première coupe, ce qui permet d’échantillonner le fond de fosse, mais qu’au dernier chantier de la saison en septembre l’agriculteur y laisse environ 120 cm de lisier, alors que l’année précédente à la même période il y avait laissé seulement 60 cm. Encore une fois, aux PAEF que j’analyse, il n’y a jamais d’ajustement en fonction du volume produit. L’agronome considère presque toujours le volume vidangé moyen des deux années multiplié par la densité moyenne et par la valeur fertilisante moyenne pondérée, même lorsqu’il y a de grands écarts entre les volumes épandus d’une année à l’autre selon les registres. RÉPONSE: Le protocole de caractérisation précise considérer le volume annuel à vidanger (VAV) dans le calcul de la charge fertilisante annuelle produite. A preuve, le protocole peut accepter que l’on caractérise seulement 60% du volume annuel, mais on doit faire des mesures de volume à la fosse pour connaître le volume annuel produit. Donc, la charge annuelle fertilisante se calcule toujours sur le volume annuel produit. D'ailleurs, cela doit être précisé dans le rapport de caractérisation. Voir Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes : On précise le volume caractérisé et le volume annuel. On peut voir que la charge fertilisante est calculée sur le volume annuel produit Lire la suite
Q&R BCEE - Densité des fumiers liquides
13 avril 2022
QUESTION: Aux calculs de la valeur fertilisante moyenne du lisier caractérisé, le protocole prévoit que les valeurs sont pondérées en fonction du volume (m3) de lisier correspondant à chaque échantillon, alors que les analyses sont en kg/t. Lorsqu’on considère que le lisier a une densité de 1 t/m3, ce calcul est bon, mais pour toute autre densité, le calcul est faussé et les valeurs devraient plutôt être pondérées en fonction de la masse (t) de lisier correspondant à chaque échantillon. Dans la pratique, les agronomes font souvent déterminer par le laboratoire la densité du lisier analysé et utilisent cette donnée pour leurs calculs. Lorsque ceux-ci utilisent la méthode de calcul indiquée au Protocole de caractérisation des lisiers de porc, cela induit une erreur. RÉPONSE: Pour le protocole de caractérisation des lisiers de porc, le comité effluents d’élevage a toujours convenu que la densité des fumiers liquide est de 1 tonne/mètre cube. Pour ce qui est du calcul de densité en laboratoire, nous avons toujours soutenu que cette valeur n’est pas valable en raison de la trop faible quantité d’effluent sur laquelle la mesure est effectuée. Cela explique d’ailleurs que, pour le protocole de caractérisation des fumiers solides, nous exigeons des pesées de fumier et des mesure de volume d’équipement de chargement en lieu et place de la valeur de densité du labo. Donc, en conclusion, nous avons toujours convenu d’utiliser une densité de fumier liquide de 1 tonne/mètre cube, car elle représente le meilleur estimé de la vraie densité pour estimer les charges de lisiers de porc.   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Non sexage des poulets à griller
23 janvier 2022
QUESTION: Une ferme de poulets à griller qui comporte 4 poulaillers sur le même lieu d’élevage a caractérisé son fumier en 2020 et 2021. Il a respecté le protocole (1 analyse par bâtiment par année, à des différents moments de l’année, etc.). Il sort 7 lots de poulets par année. Il a donc 7 lots par année X 2 années X 4 bâtiments (56 sorties). J’ai reçu les tonnages sortis pour chaque lot de chaque poulailler (donc 56 pesées). J’ai aussi les mesures de la remorque pour mesurer la densité. Pour valider le cheptel et la catégorie d’élevage, ça se corse, car les couvoirs ne sexent plus les poussins. Le producteur mentionne que le non-sexage des poussins deviendrait même la norme, à l’avenir. J’ai donc des poussins mixtes (mâles et femelles) et des analyses de fumier mélangé. Le plus gros couvoir au Canada (Boire) me dit que leurs chiffres démontrent des éclosions de 50.4% poussin mâle pour 49.6% poussin femelle. Question : Puis-je calculer les rejets par tête femelle vs mâle en prenant les proportions moyennes d’éclosion? Ex. pour un lot de 10000 poussins mixtes, j’ai 5040 poulets mâles et 4960 poulets femelles. Le tonnage serait réparti proportionnellement entre les 2 catégories. L’analyse et la densité seraient la même pour les 2 catégories. Mais les rejets seraient légèrement différents selon la catégorie. Il n’existe pas de données plus précises. Malgré la « non-catégorie REA », l’analyse du fumier est précise, le fumier est mélangé et c’est ce fumier qui est épandu sur les terres (et recommandé dans un PAEF). RÉPONSE: Si l’on prend pour acquis que la proportion de mâle et femelle semble être stable, la production annuelle de fumier devrait être relativement équivalente d’un cheptel à l’autre. Par conséquent, dans le cas où le non sexage deviendrait la norme, le plus simple serait d’évaluer la charge fertilisante annuelle par tête et appliquer cette valeur au nombre de têtes produites annuellement par poulailler. Aussi, il serait pertinent de comparer votre production Lire la suite
Q&R BCEE - Document de référence concernant les eaux de laiterie
21 janvier 2022
QUESTION : Je sais que les valeurs de référence du CRAAQ pour les fumiers sous forme liquide inclut les eaux de laiterie et les précipitations, cela m’est confirmé dans la section Foire aux questions « Eaux de Laiterie de la Base de connaissance effluent d’élevage ». Dans le document Valeurs de références pour les volumes et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage (2020), spécifie au bas du tableau (p.16) Production laitière: « L’eau des précipitations est incluse dans les volumes sous-gestion liquide.» Or je ne trouve nulle part l’indication textuelle dans ce document précisant cette information. Y a-t-il un document ou un ouvrage de référence officielle, citant textuellement que les eaux de laiterie sont incluses dans les valeurs de référence du CRAAQ. RÉPONSE : En ce qui concerne les volumes produits en production laitière, le seul document faisant référence spécifiquement aux eaux de laiterie est l’Agdex 538/400.27, 1999, intitulé Fumier de ferme - Production . Ce qu’il faut comprendre, c’est que les valeurs références, pour la production laitière ont été adaptées afin d’avoir la même charge fertilisante totale (masse X teneur) peu importe si les déjections animales sont entreposées sous forme solide ou liquide, ce qui n’était pas le cas avec les valeurs de l’Agdex 538/400.27. Comme les valeurs références en production laitière sont issues d’une revue littérature qui date de 2003, il est important de rappeler que ces valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation de la majorité des élevages actuels. Par conséquent, la caractérisation des effluents d’élevage selon les protocoles en vigueur publiés par le CRAAQ constitue l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives des effluents d’élevage du cheptel présent dans un lieu d’élevage. Comité de coordination effluents d'élevage   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour Lire la suite
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