Ajouté à Mes favoris.

Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire
Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

S'informer

Le savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

Chargement en cours

Filtrer la recherche 
  • Sujet(s) :
  • Production(s) :
Format
Type de contenu
Date de début
Date de fin
Régions
236 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
8 archives correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Q&R BCEE - Nombre de jour par rotation
14 janvier 2025
QUESTION : Que signifie le terme "nombre effectif de rotations" dans la note 1 sous le tableau 3.4 des Valeurs références? Est-il vrai de dire qu'une rotation de 35 jours vs 42 jours en poulets à grille femelle, par exemple, aura les mêmes rejets par tête produit? Il serait logique de croire qu'il y aura moins de rejets par lot si mon producteur garde ses oiseaux 35 jours au lieu de 42. RÉPONSE : Votre question réfère à la p.26 du «Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d'éléments fertilisants dans les effluents d'élevage». La fin de la note 1 du tableau 3.4 exhorte en effet les agronomes à considérer le nombre effectif de rotations dans l'élevage lorsque celui-ci diffère du nombre de jours inscrit à la 2e colonne du même tableau. Toutefois, les valeurs de rejets par tête produite doivent être considérées car il s'agit de la valeur de référence acceptée et reconnue. À la page suivante du Guide, vous trouverez un exemple de calcul de charge annuelle de phosphore à l'exemple 1 qui illustre un cas calqué sur les valeurs de références. Toutefois, vous pouvez constater que l'exemple 3 réfère à une situation similaire à celle que vous soulevez, soit une durée d'élevage plus courte que celle inscrite au Tableau 3.4. La charge annuelle de phosphore calculée est alors plus élevée puisque le rejet par tête produite demeure le même. Toutefois, comme vous le soulignez, il est fort possible que la charge phosphore de l'élevage décrit soit plus faible que celle calculée à l'aide des valeurs de référence. Une caractérisation des déjections sur l'entreprise vous permettra de valider cette information. Le comité de coordination effluents d’élevage   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Valeurs de référence - Production bovine
05 décembre 2024
QUESTION : Pour une demande d'autorisation ministérielle , je veux calculer la charge phosphore pour une production bovine (semi-finition et engraissement), comment dois-je procéder? En utilisant l'analyse fertilisante CRAAQ ou les rejets par tête produites CRAAQ. RÉPONSE : La page 20 du «Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d'éléments fertilisants dans les effluents d'élevage» illustre une exemple de calcul de rejet de P2O5 par tête. Pour calculer la charge phosphore d'un lieu d'élevage, vous devez effectuer l'équation suivante pour chaque catégorie d'élevage détaillées au tableau 3.2 (ex : bouvillons semi-finition) : Nombre de tête x nombre de rotations x rejets P2O5/tête = X kg P2O5. Ces valeurs concordent normalement avec celles de l'annexe VII du REA. Pour un bâtiment abritant plusieurs catégories d'animaux, il faut additionner les valeurs obtenues pour chaque catégorie afin d'établir la charge du lieu d'élevage. Le comité de coordination effluents d’élevage   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Question avec fumier solide et fosse liquide
05 décembre 2024
QUESTION : Bonjour, J'ai un client avec une gestion assez particulière. Il a des canards sous gestion solide principalement. Une partie est liquide, sous les abreuvoirs, l'eau qui en tombe, ainsi que les eaux de lavage du bâtiment vont dans une fosse à l'extérieur. À chaque sortie de canards, le fumier avec la litière de ripe est sortie et entreposée sur une plateforme extérieure. Le fumier est alors mélangé dans un processus de compostage plusieurs fois par année. Le produit final est très noir et on ne distingue plus les matériaux de ripe et de fumier. Mon client veut caractériser pour connaitre la vraie valeur fertilisante du solide et du liquide produit sur le site. Pour la partie liquide, je compte suivre le protocole de caractérisation de fumier liquide et prendre des échantillons lors des chantiers d'épandage quand la fosse est bien brassée. Pour le solide, puisqu'il est composté avant d'être épandu, est-ce que je pourrais prendre des échantillons de l'amas au lieu de prendre des échantillons lors des sorties des bâtiments? Si oui, est-ce qu'il y a un nombre d'échantillons minimal à prendre? Avant d'aller prendre des échantillons, je veux être certaine d'avoir un bon protocole d'échantillonnage qui mènera à la validation de sa caractérisation. Merci RÉPONSE :  Cette entreprise gère effectivement un effluent liquide et un effluent solide, donc 2 protocoles de caractérisation distincts s'appliquent. Pour la fraction liquide, le document protocole de caractérisation des lisiers de porcs permet d'établir le protocole adapté à l'entreprise. Pour la fraction solide, la caractérisation du fumier à la sortie du bâtiment est la méthode reconnue qui permettra d'établir la charge phosphore du lieu d'élevage afin de produire le bilan de phosphore de l'entreprise. Celle-ci se fera conformément au Protocole de caractérisation des fumiers - oeufs de consommation, notamment sur le nombre d'échantillons et de prélèvements à effectuer. Toutefois, afin de connaître les Lire la suite
22 novembre 2024
En vertu du Règlement sur les exploitations agricoles (REA), la caractérisation des effluents d’élevage est obligatoire pour une majorité d’entreprises agricoles ayant des activités d’élevage. Cette exigence revêt une grande importance, puisque c’est à partir des valeurs découlant de la caractérisation que l’agronome établit le bilan de phosphore de l’entreprise et réalise le plan de fertilisation. Selon la réglementation en vigueur, une entreprise peut se soustraire à la caractérisation, mais elle doit alors évaluer la production de phosphore du lieu d’élevage en utilisant les données de l’annexe VI du REA qui correspondent aux valeurs moyennes du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ), majorées de 20 %. La problématique rencontrée actuellement sur le terrain est la difficulté pour les entreprises de prendre une décision éclairée sur la pertinence de caractériser ou non les effluents d’élevage. En effet, plusieurs éléments entrent en ligne de compte sur le plan réglementaire en lien avec le bilan de phosphore lorsque vient le temps de décider de procéder ou non à la caractérisation, notamment : La possibilité de basculer vers un bilan de phosphore positif en raison de l’utilisation des valeurs de l’annexe VI du REA;  La disponibilité de superficies d’épandage actuelles et projetées;  La quantité de déjections animales à exporter pour les entreprises en surplus de phosphore. De plus, l’utilisation de données de référence pour l’élaboration du plan de fertilisation biaise les valeurs fertilisantes réellement apportées par les déjections animales. L’intérêt, pour le producteur ou la productrice, d’une gestion optimale de la fertilisation sur l’entreprise influe aussi sur le processus décisionnel entourant la caractérisation. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage   Lire la suite
Q&R BCEE - Bilan alimentaire vs caractérisation
15 novembre 2024
QUESTION : J’ai un client qui a caractérisé son lisier de porc à l’engrais en 2011. Il aurait dû amorcer une nouvelle campagne d’échantillonnage en 2016, mais le manque de main-d’œuvre a fait que la prise d’échantillons n’était pas suffisante pour compléter l’analyse de caractérisation. La situation de la main-d’œuvre ne s’est pas améliorée. Puisque maintenant le MELCCFP reconnait la valeur des bilans alimentaire pour déterminer la charge du lisier. Pouvons-nous utiliser le bilan alimentaire dans la fertilisation et le bilan du phosphore même si ça fait plus de 10 ans que le lisier a été caractérisé? Car, disons-le, la caractérisation que demande le règlement au 10 ans ne me convint pas de sa valeur scientifique, alors que le bilan alimentaire fait selon les règles de l’art m’apparait beaucoup plus fiable que 150 ml de lisier prélevé pour évaluer une fosse de 3500 m3. RÉPONSE : Le bilan alimentaire est effectivement utilisable à des fins de détermination de la charge phosphore d'un lieu d'élevage en production porcine. Cette information servira à la production du bilan de phosphore de l'entreprise. Néanmoins, l'agronome peut utiliser la méthode qui lui semble la plus juste pour établir la charge fertilisante associée aux déjections produites sur le lieu d'élevage dans le cadre de l'élaboration du PAEF. Toutefois, l'éligibilité de l'entreprise à pouvoir utiliser ou non le bilan alimentaire à des fins de détermination de la charge phosphore d'un lieu d'élevage relève de l'interprétation du Règlement sur les exploitations agricoles. Pour cet aspect de votre demande, nous vous invitons à vous adresser directement au Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Comité de coordination effluents d'élevage   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Séparation de lisier de porc en solide et liquide
11 octobre 2024
QUESTION : Bonjour, J'ai un client qui sépare son lisier de porc en solide et en liquide. Il exporte tout le lisier de porc. Le liquide chez un receveur et le solide chez un autre. En ce moment il ne caractérise pas, mais je crois que ce serait la meilleure solution pour lui pour comptabiliser la quantité produite en solide et en liquide par année avec des analyses associées. Pour l'instant puisque la caractérisation est en cours, comment est-ce que je détermine les analyses à utiliser pour la portion liquide et pour la portion solide? Pour le total produit par année, j'utiliserais les valeurs CRAAQ pour connaitre le total théoriquement produit par les animaux, mais je ne suis pas certaine comment déterminer l'analyse de chaque portion. Qu'est-ce que vous proposez? RÉPONSE : Pour ce qui est des élevages porcins sous gestion solide ou en séparation des phases solides et liquides, le CRAAQ n’a publié aucune valeur référence. Par conséquent, l’agronome n’a d’autres choix que d’utiliser les données résultant de la caractérisation des fumiers d’une autre entreprise qui opère la même conduite d’élevage pour établir les ratios en éléments fertilisants des 2 phases ou d’utiliser les données d’une autre source fiable (organisme gouvernemental ou de certification ou revue de littérature) si vous réussissez à en obtenir.  Dans ce cas plus précis, des résultats de caractérisation issus d'entreprises ayant une régie d'élevage similaire et ayant effectué les caractérisations séparées d'un surnageant et d'un fond de fosse pourrait servir de comparatif pour établir les ratios en éléments fertilisants pouvant être associés à chaque phase.  Vous devrez toutefois tenir compte du rapport C/N qui sera probablement différent dans une phase solide et qui affectera la disponibilité et la charge nette apportée en azote. Comité de coordination effluents d'élevage Quant aux valeurs totales pondérées en concentration d’éléments fertilisants, vous devrez vous référer aux valeurs disponibles Lire la suite
24 juillet 2024
Au Québec, les entreprises agricoles doivent avoir un bilan de phosphore équilibré c’est-à-dire que leurs sols doivent avoir la capacité de supporter les quantités à épandre de phosphore produit par leur élevage. Le bilan alimentaire serait une méthode fiable pour estimer la production de P d’une exploitation animale, celle-ci impliquant simplement de faire la différence entre les quantités de phosphore servies des quantités de phosphore retenues par l’exploitation. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Charge en phosphore : dindons
24 mai 2024
QUESTION : Afin de calculer la charge en phosphore pour une demande de Certificat d’Autorisation, j’ai utilisé le nombre de dindons à griller potentiellement vendu (nb entré X 94-95%) X 0,161 kg P2O5/tête X nb lot / année. L’analyste me dit que je dois utiliser le nb d’oiseau entrée car dans l’exemple du guide c’est un chiffre rond (10000). La note 5 du tableau 3.4 mentionne bien qu’il est question du nombre d’oiseau vendus. Je sais que ce n’est peut-être un détail mais quand il y a pas mal d’oiseaux, ça fait facilement 2000 kg P2O5 de différence. RÉPONSE : Il est à souligner que les valeurs de référence pour les rejets de dindons sont issues de caractérisations réalisées dans ces types d'élevage, tel qu'indiqué à la note 4 du tableau 3.4 . De ce fait, les rejets par tête produite (161 g P2O5 / tête pour le dindon à griller) ont été calculés sur la base de l'analyse des fumiers à la sortie du bâtiment et du cheptel vendu. La note 5 du même tableau sert donc à expliquer la méthodologie qui a été observée afin de déterminer ces valeurs. Toutefois, les exemples données à la page suivante pour déterminer la charge annuelle de phosphore d'un cheptel se basent sur le nombre d'animaux à l'entrée du bâtiment, en cohérence avec le principe d'inventaire maximum sur le lieu d'élevage. Dans ce calcul, la mortalité durant la période d'élevage n'est pas considérée. Bien entendu, une caractérisation des déjections animales suite à l'augmentation du cheptel permettra d'évaluer avec plus de justesse la charge de phosphore liée au lieu d'élevage.   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Protocole de caractérisation
01 mai 2024
QUESTION : Un producteur a 2 sites d'entreposages: une fosse circulaire pour le lisier et une plate-forme pour le fumier. Ces 2 structures sont sur le même lieux d'élevage, mais associées à 2 groupes de bovins distincts donc 2 bâtisses. Pour les épandages, il fait un mélange du fumier et du lisier. Est-ce accepté de prendre l'analyse du mélange uniquement tout en tenant un registre d'épandage pour le lisier et le fumier vu que ça provient du même cheptel sans pour autant être les mêmes animaux associés au fumier et au lisier? RÉPONSE : Dans le cas présenté, la caractérisation séparée des 2 déjections (fumier et lisier) s'impose afin de déterminer la charge phosphore produit sur le lieu d'élevage. Plusieurs facteurs peuvent influencer les valeurs obtenues du mélange : ratio et uniformité du mélange, brassage de la fosse à lisier, etc. Ces facteurs ne sont pas pris en compte dans les protocoles respectifs de caractérisation de fumier solide et liquide, ce qui diminue la représentativité et la fiabilité des données.   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Bâtiment d'élevage ayant 2 fosses
07 décembre 2023
QUESTION : Dans le cas où un producteur possède un bâtiment porcin et 2 fosses reliées à ce même bâtiment pour recevoir le lisier. Est-ce que l'on doit appliquer le protocole pour chacune des fosses ou on peut les considérer comme un tout? RÉPONSE : Lorsqu'un lieu d’élevage est desservi par plusieurs ouvrages de stockage, nous devons appliquer le protocole de caractérisation pour chacun des ouvrages de stockage. Quelques éléments motivent cette façon de faire : - Les mesures de hauteur de fosse, à l’automne et avant le début des épandages, permettent d’évaluer le volume de lisier produit et entreposé pour une période connue. La connaissance de cette valeur, et ce pour chacune des structures d’entreposage, permettra d’évaluer le volume total annuel produit. L’agronome pourra ensuite comparer cette valeur avec celle obtenue à partir des registres d’épandage; - La caractérisation de chacune des fosses nous permet de connaître la teneur en éléments fertilisants en fonction des accumulations d'eau et de la répartition des chantiers d'épandage. Dans un lieu d’élevage desservi par plusieurs structures d’entreposage, dépendamment du rythme de vidange et de la capacité de chaque structure d’entreposage, ces valeurs pourraient être très différentes pour chacune des fosses caractérisées; - La connaissance de la teneur en éléments fertilisants pour chacune des fosses permettra à l’agronome de réaliser un plan de fertilisation qui colle mieux à la réalité de l’entreprise. Par exemple, si une entreprise procédait à l’épandage post-récolte à partir d’une des fosses du lieu d’élevage, la connaissance de la teneur en éléments fertilisants spécifique à cette fosse permettrait à l’agronome d’élaborer un argumentaire entourant la gestion des risques. En somme, dans cette situation, il faudrait établir 1 protocole de caractérisation distinct pour chacune des 2 fosses en tenant compte du nombre de prélèvements et d'échantillons à respecter selon le protocole suivant : FUMIERS LIQUIDES Lire la suite
1 à 10 sur 236

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.