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Q&R BCEE - Bilan alimentaire et valeurs fertilisantes
20 octobre 2023
Dans la mise à jour du REA de Septembre 2022, il sera permis, sous certaines conditions, d'utiliser la méthode de bilan alimentaire pour ''remplacer'' la caractérisation des effluents d'élevage en production porcine et avicole. En faisant mes recherches, il est plutôt rare d'avoir un bilan du N et du K avec la méthode de bilan alimentaire. Souvent, ce sont les bilans en P qui sont concernés. Comment allons nous allier le bilan alimentaire en P et les autres éléments N et K. Est-ce que le P du bilan alimentaire sera utilisé et le N et le K seront issu de la caractérisation passé des effluents? Ou le N et le K seront issus des références du CRAAQ? Le bilan alimentaire peut effectivement être utilisé afin d'établir la production de phosphore d'un lieu d'élevage sous certaines conditions dans les productions porcines et d'oeufs de consommation. La charge en phosphore issue du bilan alimentaire peut donc être utilisée afin de produire le bilan de phosphore de ce lieu d'élevage. Par ailleurs, dans le cadre de l'élaboration d'un PAEF, l'agronome peut utiliser plusieurs méthodes afin d'établir les valeurs fertilisantes associées à un effluent d'élevage. Les données issues d'une précédente caractérisation peuvent être utilisées si elles sont toujours jugées pertinentes par l'agronome. Ce dernier devra utiliser la méthode qui lui semble la plus appropriée afin d'établir les teneurs en éléments fertilisants d'un fumier ou d'un lisier. Toutefois, si l'agronome établit la charge phosphore d'un lieu d'élevage à partir du bilan alimentaire dans le cadre de l'élaboration d'un bilan de phosphore, il est attendu que les données inscrites au PAEF pour les déjections issues de ce lieu d'élevage soient cohérentes avec celles du bilan alimentaire ainsi que celles du bilan de phosphore.   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Bovin boucherie et Bovin laitier: problème de balance
31 juillet 2015
Une autre question : si nous n'avons pas accès à des balances (ce qui est notre cas ici) est-il possible de faire la caractérisation autrement? Je parle bien sûr de fumier de bovins de boucherie et de bovins laitiers. Il est de la responsabilité de l’agronome de se procurer tous les équipements requis pour être conforme au protocole de caractérisation. Comité de coordination effluents d’élevage   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
Q&R BCEE - Précipitations et eaux de laiteries
31 juillet 2015
Je voudrais savoir comment les précipitations (majorées à 15 %?) et les volumes des eaux de laiterie (25 L/vache/j comme dans le CRÉAQ) sont compris dans les valeurs de référence pour les vaches laitières (lisier), car j’ai un producteur qui va construire une cave profonde (pas de précipitations) et installer trois robots de traite (1 200 L d’eau pour 180 vaches = 6,6 L/vaches/j ). Comment dois-je m'y prendre pour les calculs de volume de lisier? Dans la gestion environnementale et agronomique des effluents d’élevage, le volume est une donnée qui, tout compte fait, ne sert qu`à déterminer la masse volumique des effluents et en ajuster les applications dans les champs en fonction de la charge fertilisante totale connue. Si l'on veut connaitre le volume de fumier produit annuellement (incluant les apports en eau) pour évaluer les dimensions de la structure d’entreposage, nous entrons dans le champ de pratique des ingénieurs agricoles. Donc, un agronome ne peut pas conseiller un producteur sur ces aspects sans être supervisé par un ingénieur. Autrement, dans le cadre d’un projet, le volume à prévoir reste théorique et très imprécis, car de nombreux paramètres dépendent des aléas quotidiens de l’exploitation et de l’élevage d’un cheptel laitier. Ainsi, la quantité d’eau qui provient de l’élevage (laiterie, alimentation, nettoyage, eau de dilution ajoutée pour la gestion liquide, etc.) peut varier énormément, en plus des précipitations. Enfin, pour les besoins de conformité réglementaire, le PAEF et le bilan phosphore peuvent être préparés avec un volume théorique qui pourrait être le volume d’entreposage calculé par l’ingénieur agricole. Ce volume devra être ajusté quand l’entreprise possédera des données réelles à ce sujet, soit après quelques mois d’entreposage ou à la vidange complète de la structure d’entreposage. Par contre, en ce qui concerne la charge fertilisante du projet et tant qu’il n’y aura pas de données réelles disponibles, il faudra se conformer à la directive Lire la suite
Q&R BCEE - Volume de fumier réel et produit
20 janvier 2010
QUESTION : Question sur le protocole 2003 sur la caractérisation à la sortie des bâtiments à la p.7, pour les 3 points énoncés, si le producteur en possède seulement un doit-il automatiquement le faire? Par exemple si un producteur de poulets à griller valorise tout son fumier à la ferme, doit-il quand même caractériser à la sortie des bâtiments? RÉPONSE : Il faut « adapter le protocole de caractérisation des fumiers 2008 » lorsque la situation l’exige à partir des principes que ce protocole supporte. La caractérisation à la sortie des bâtiments est indiquée lorsque l’entreposage du fumier est non étanche (amas au champ) et que des pertes d’éléments fertilisants sont à prévoir. La caractérisation à la sortie du bâtiment permet d’obtenir la charge fertilisante produite annuellement par le cheptel, cette charge est à inscrire au bilan de phosphore de l’entreprise. Comité de coordination effluents d’élevage   Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.   Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage Lire la suite
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