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104 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
24 avril 2024
Ce document sert à effectuer un suivi de la ruche efficace et uniformisé. La feuille de suivi consiste à regrouper toutes les informations d’une même colonie et vous permet d’ajouter des notes à chacune des visites afin d’avoir un meilleur suivi. Un meilleur suivi signifie une meilleure compréhension et une meilleure visualisation
de la dynamique de vos colonies, une réduction des oublies et à long terme cette technique permet une meilleure prise de décision et l’optimisation des pratiques. Voici comment remplir cette fiche : Pour l’identification de la ruche, inscrire toute information servant à identifier la ruche, par exemple un numéro de ruche, un symbole ou encore l’emplacement de la ruche. L’identification de la reine correspond aux informations permettant d’identifier visuellement la reine. Par exemple, si votre reine est marquée d’un point jaune et que son aile est clippée, inscrire reine jaune clippée ou RJC. Vous pouvez également indiquer la provenance/génétique de la reine. Dans la colonne Manipulation, décrire le type de manipulation(s) effectuée(s) lors de l’inspection de la ruche, par exemple : tournée de cellules, nourrissage, pose de chasse-abeilles, ajout ou retrait de hausses, etc. Dans les colonnes Reine, Œufs et Cellules, cocher la case correspondante si vous avez observé la présence de la reine, d’œufs et de cellules. Dans la colonne Provisions, inscrire OK si la ruche a assez de réserves de nourriture ou faible si la ruche manque de nourriture. Dans la colonne Maladie, inscrire tout signe clinique de maladie de l’abeille, par exemple : couvain plâtré (CP), ailes déformées, varroas, couvain mosaïque, etc. Dans la section Note, noter toute autre information pertinente, tels que la force de la colonie, les besoins de la colonie (miel à récolter, besoin d’être nourrie, etc.), un changement de la reine ou un essaimage de la colonie, etc.
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30 octobre 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 27 octobre 2023 Hivernage extérieur des colonies Les températures diminuent, l’Halloween et le changement d’heure approchent, ça sent la fin! La dernière étape de la saison apicole est l’hivernage des colonies pour l’hiver. Dans cette chronique, on aborde les principaux éléments à considérer
lors de l’hivernage extérieur pour donner les meilleures conditions possibles à nos abeilles. Rucher d’hivernage Selon l’environnement où sont situées les colonies pendant l’été, il peut être intéressant de les déplacer dans un rucher d’hivernage plus approprié. Les critères d’un bon rucher d’hivernage sont les suivants : Protégé des vents dominants, ce qui limite les variations de température et favorise l’accumulation de neige sur les ruches; Exposition au soleil pour réchauffer les ruches plus rapidement au printemps; Terrain bien drainé qui n’est pas à risque d’être inondé lors de la fonte des neiges et la hausse des cours d’eau; Éloigné des pistes de motoneiges et de véhicule motorisés; Accessible tôt en saison pour les visites printanières; Présence de pollen naturel en bonne quantité au printemps (saules, érables). Si vous choisissez de déplacer vos colonies dans un rucher d’hivernage, vous pouvez le faire à tout moment de la journée dès que les températures sont sous les 10°C, ou lorsque les abeilles ne sortent plus de la ruche. Puisque les abeilles ne butinent plus, vous pouvez les déplacer à moins de 3km de leur site original sans problème de dérive. Emballage des colonies Plusieurs options d’isolants s’offrent aux apiculteurs qui souhaitent hiverner leurs colonies à l’extérieur : papier-bulle avec aluminium de type thermofoil, caisson en styromousse, BeeCozy et housse d’hivernage Espace Abeille, pour ne nommer que ceux-là. Peu importe le produit choisi, quelques éléments doivent être considérés lors de l’emballage des colonies. Humidité Un point critique à respecter pour un hivernage réussi des colonies d’abeilles est une bonne évacuation
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06 octobre 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 6 octobre 2023 L’ajout de vinaigre de cidre de pommes dans le sirop de nourrissage : une fausse bonne idée? L’ajout de vinaigre de cidre de pommes dans le sirop de nourrissage à l’automne est une pratique plutôt répandue chez les apiculteurs du Québec. Le dosage typique consiste à obtenir un
sirop qui contient 5% de vinaigre de cidre de pommes, c’est-à-dire, un mélange (en volume), de 5 litres de vinaigre de cidre et 95 litres de sirop 2 :1, pour un total de 100 litres du mélange. Pour un nourrisseur Miller d’une capacité de 15 litres, cela représente l’ajout d’un tiers de tasse de vinaigre de cidre de pommes. Deux raisons sont couramment invoquées pour cette pratique, soit la protection contre la nosémose et une meilleure conservation du sirop en raison de l’acidité accrue. Cependant, la littérature scientifique consultée n’a pas démontré d’effet significatif pour combattre la nosémose et présente même plusieurs risques pour la santé des abeilles. Il convient de remettre en question cette pratique automnale. Combattre la nosémose? Un faible nombre d’études se penche sur l’effet du sirop acidifié sur la nosémose. Une grande majorité de ces études ont été faites dans les années 80 et jusqu’au début des années 2000, moment où Nosema apis était majoritairement retrouvée dans les ruches en Amérique du Nord. Aujourd’hui, c’est Nosema ceranae qui est la plus prévalente. Les deux espèces de nosémose ont des signes cliniques différents : N. apis est davantage associée à la dysenterie durant l’hiver, tandis que N. ceranae présente peu de signes cliniques. Cependant, autant les études récentes (sur N. cerenae) que les plus anciennes (sur N. apis) démontrent en grande majorité que l’ajout d’acide acétique (l’acide retrouvé dans le vinaigre de cidre de pommes), n’a pas d’influence sur le développement de la nosémose ou sur le taux d’infestation chez les abeilles (Braglia et coll 2021, Forgsen et Fries, s.d.) ou montrent des résultats inconsistants.
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12 septembre 2023
Victimes de la perte de biodiversité et de l'utilisation de pesticides, les abeilles sont de plus en plus menacées, alors que leur vitalité est un indicateur de la santé de la biosphère. S'inscrivant dans un vaste mouvement de révolution agricole biologique, Alain Péricard offre ici un guide complet pour le développement
d'une apiculture écologique. Cet apiculteur expérimenté présente les connaissances théoriques, techniques et les habiletés physiques nécessaires pour se lancer dans l'aventure apicole. De la biologie de l'abeille et ses interactions avec l'environnement aux techniques de sélection de la reine en passant par le maintien de la santé des colonies, la gestion de l'hivernage, les remèdes aux maladies et parasites, ce livre est un outil précieux pour tous ceux souhaitent protéger les abeilles. Cette nouvelle édition expose les plus récentes avancées en matière de connaissances théoriques et techniques et vous apprendra : les bases de la biologie de l’abeille et de ses interactions avec l’environnement; les ressources nécessaires pour installer vos ruches et bien choisir votre site; l’équipement et les outils indispensables pour accomplir les différentes tâches tout au long de la saison apicole; comment identifier, prévenir et protéger ses ruches des maladies, parasites et prédateurs, et comment maintenir des colonies en bonne santé; les techniques spécifiques aux interventions qui concernent la reine et la sélection génétique; comment extraire, utiliser et transformer le miel et les autres produits du rucher; comment favoriser des colonies vigoureuses au terme de la période critique de l’hivernage. Inscrivant sa démarche dans la nécessaire reconfiguration de nos rapports avec la nature, l’auteur expose en outre tout ce que nous apporte la fréquentation des abeilles, collectivement et individuellement, que ce soit leur importance pour l’environnement, l’alimentation, la santé, mais aussi notre simple plaisir. Richement illustré
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01 septembre 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 1er septembre 2023 Récolte de miel d’été et pourcentage d’eau du miel Cette année, les quantités de miel d’été récoltées ont été très variables selon les régions. Plusieurs apiculteurs ont aussi constaté des décalages dans les entrées de nectar par rapport à la moyenne. D’autres ont aussi
pu remarquer que la couleur et le goût du miel étaient différents, le miel d’été étant plus foncé par rapport à ce qui est habituellement récolté. Un des points communs sur à peu près tout le territoire est la très (trop!) grande présence de pluie, particulièrement pendant le mois de juillet. Cela fait en sorte que le miel dans les alvéoles, même operculé, peut avoir un pourcentage d’eau trop élevé pour permettre sa conservation. Dans ces circonstances, il est crucial de porter une attention particulière au conditionnement du miel pour éviter qu’il ne fermente. Les systèmes « maison » des plus petites entreprises peuvent ne pas être suffisamment efficaces pour déshydrater convenablement le miel operculé. Le miel est stable lorsque sa concentration en eau se situe sous 17,5%. Le miel fermentera assurément à des concentrations supérieures à 20%. Entre les deux, le risque dépend de la quantité de levures présentes dans le miel. Quelques conseils : Utiliser un réfractomètre pour mesurer le pourcentage d’eau du miel au moment de l’extraction. Si le pourcentage d’eau du miel n’est pas suffisamment bas dans les premiers cadres extraits, il faut arrêter l’extraction et déshydrater davantage. Il est presque impossible de déshydrater le miel une fois extrait et mis en pot. Il est possible de mélanger du miel « sec » et du miel « trop humide » afin d’obtenir un miel avec une concentration en eau adéquate. S’il n’a pas été possible de déshydrater suffisamment votre miel, conservez-le au congélateur. Dites à vos clients de le consommer rapidement, de le conserver au congélateur ou évitez de le vendre. Récolte de miel d’automne et traitement
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21 juillet 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 21 juillet 2023 Le dépistage du varroa Nous en sommes à un moment clef de la saison pour le dépistage du varroa! La mi-juillet est habituellement caractérisée, dans la majorité des régions, par une disette florale qui dure en général une semaine. C’est aussi vers la mi-juillet que la population
en couvain de la colonie commence à diminuer progressivement. Cela fait en sorte que les varroas qui se trouvent dans la colonie sont présent dans une plus grande proportion que le nombre de cellules de couvain à parasiter, car la population de varroas a été en croissance pour tout l’été (voir figure 1). Le taux d’infestation par le varroa doit être bas dès le début du mois d’août, car c’est à ce moment que les abeilles d’hiver commencent à être produites. Il faut donc dépister dès maintenant et se référer au Calendrier de traitement pour le contrôle de la varroase publié par le MAPAQ afin de déterminer s’il est nécessaire de faire un traitement d’appoint immédiatement et prévoir les traitements de l’automne. Fiogure 1. Graphique de l'évolution de la population de la colonie et du varro pendant la saison apicole. La mi-juillet correspond à un moment charnière où il est crucial de dépister. Modifié de "Varroa destructor, mieux comprendre l'ennemi", MAPAQ Il est surtout important de dépister correctement les colonies! Si on utilise d’autres techniques que celle recommandée dans les documents du MAPAQ, ou que ces techniques sont mal effectuées, les seuils du tableau ne s’appliquent plus! Le plus gros risque est de sous-évaluer le niveau de varroa, c’est-à-dire penser qu’il y a moins de varroas que ce qu’il y en a en réalité et d’attendre trop longtemps avant de faire un traitement. Les dommages fait par le varroa risquent alors d’être irréversibles et la colonie mourra d’ici la fin de l’automne ou pendant l’hiver. Les deux techniques recommandées sont le lavage à l’alcool et la chute naturelle journalière. Si vous utilisez d’autres
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10 juillet 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 7 juillet 2023 Découverte de PCR en pollinisation de la canneberge Des insectes soupçonnés d’être des petits coléoptères des ruches (PCR) ont été trouvés dans des ruchers présentement en pollinisation commerciale dans les municipalités de Notre-Dame-de-Lourdes et de St-Louis-de-Blandford.
Pour les entreprises présentement en pollinisation de la canneberge ou pour celles étant situées au Centre-du-Québec, n’oubliez pas d’installer des pièges à PCR dans toutes vos ruches, si ce n’est pas déjà fait. Vous pouvez visionner la vidéo Capturer le petit coléoptère de la ruche sur la page Youtube du CRSAD pour savoir comment installer ces pièges dans vos ruches. Pour plus de détails, consultez vos courriels pour lire l’avis de vigilance envoyé par le MAPAQ jeudi le 6 juillet. Rediffusion des conférences de la Journée d’échanges sur les bonnes pratiques en pollinisation Vous avez manqué la Journée d’échange sur les bonnes pratiques en pollinisation qui avait lieu en décembre 2022 à Drummondville? Pas de panique! Plusieurs conférences sont maintenant disponibles en rediffusion sur la page Youtube du CRAAQ. Bon visionnement! Suivi de projet Lâchers à grande échelle de trichogrammes pour lutter biologiquement contre la tordeuse des canneberges La tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana, est l’un des principaux ravageurs de la canneberge. Les dommages causés par cet insecte peuvent entraîner des pertes de rendement de 95 % et ces dommages peuvent aussi se répercuter sur l’année de culture suivante. La tordeuse s’attaque entre autres aux feuilles, aux fleurs et aux fruits. Des traitements phytosanitaires sont donc essentiels pour lutter contre cet organisme et l’application d’insecticides se fait généralement lorsque la canneberge est en fleur et que les pollinisateurs sont présents au champ. En production biologique, seulement deux pesticides sont homologués pour lutter contre la tordeuse des canneberges
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28 juin 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 29 juin 2023 Les abeilles et les pesticides Vous observez des abeilles qui tremblent à l’avant des ruches ou dans les hausses ou des mortalités anormales et en grand nombre? Il peut s’agir d’un empoisonnement par des pesticides. Pour faire une déclaration, appelez sans tarder au 1-844-ANIMAUX
ou écrivez à la centrale à l’adresse suivante : abeille@mapaq.gouv.qc.ca Consultez aussi la page web du MAPAQ Documenter les cas d’empoisonnement des abeilles par les pesticides pour savoir comment bien prélever les échantillons, quoi inscrire sur vos contenants et quelles informations prendre en note pour bien documenter les événements. Important! Il est maintenant recommandé de prélever les échantillons dans des contenants en verre ou en aluminium, car les sacs en plastique pourraient absorber les pesticides et en limiter la détection au laboratoire. Actualité scientifique Voici un résumé de quelques éléments discutés lors du webinaire Pesticides and Honey bees, organisé par le Bee Informed Partnership (BIP). Les panélistes invités étaient Dr. Judy Wu-Smart (University of Nebraska-Lincoln), Dr. Reed Johnson (Ohio State University) et Dr. Scott McArt (Cornell University), trois experts en toxicologie apicole. Ce webinaire peut être écouté en rediffusion sur la page Youtube du BIP. Comment reconnaître un empoisonnement par des pesticides? Les signes cliniques d’un empoisonnement avec des pesticides peuvent se présenter sous plusieurs formes, tout dépendant s’il s’agit d’un empoisonnement aigu ou chronique. Empoisonnement aigu : Le pesticide a un effet létal (mortel) et cet effet est visible très rapidement dans les colonies. Les abeilles meurent en masse devant l’entrée de la ruche, souvent avec la langue sortie. Les insecticides qui causent ces mortalités aigues s’attaquent souvent au système nerveux des insectes, ce qui fait qu’on observe souvent des abeilles tremblantes et avec des mouvements désordonnés. Cependant, il arrive que
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14 juin 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 16 juin 2023 Ruches et feux de forêts Un grand nombre de feux de forêts sont actifs sur le territoire du Québec depuis les dernières semaines. Si vous êtes un apiculteur touché ces feux, consultez ces conseils et principales actions que vous pouvez faire pour protéger vos ruches, si ce n’est
pas possible de les déplacer. *Ce texte est une traduction libre d’un document produit par les l’association des apiculteurs de la Colombie-Britannique pour les apiculteurs de la Nouvelle-Écosse. Protection du rucher La chaleur rayonnante d'un feu de forêt peut faire fondre la cire d'abeille. Si vous pouvez le faire en toute sécurité, éloignez les ruches des grandes sources de combustible comme les forêts ou les bâtiments. Cela réduit également les chances que des pluies de braises atteignent les ruches. S'il est sécuritaire de le faire, créez une zone de protection contre les incendies de 3 mètres autour du rucher. Éliminer (désherber, râteler) les sources de combustibles organiques comme l'herbe et les feuilles dans cette zone. Éliminez toutes les branches qui surplombent les ruches et qui pourraient prendre feu et tomber sur les ruches. L'herbe sèche sous les plateaux des ruches peut servir de combustible et enflammer la ruche lors d’un feu d’herbes. Il est possible de placer des roches (par exemple, du schiste) sous ou autour des ruches pour éviter ce phénomène. N’UTILISEZ PAS VOTRE ENFUMOIR! Si vos abeilles semblent agressives, utilisez plutôt un vaporisateur. Ajouter une petite quantité d'huile de citronnelle à de l'eau dans un flacon pulvérisateur pour les calmer, ou pulvériser de l’eau légèrement sucrée. Santé des abeilles Eau : Vos abeilles auront besoin de davantage d’eau. Placez des abreuvoirs à proximité des ruches. L’abreuvoir temporaire peut être constitué d’un seau rempli d’eau avec des flotteurs. Vous pouvez aussi utiliser un abreuvoir à volaille avec des cailloux posés dans sa base afin éviter les noyades d’abeilles. Fumée
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