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Fiers de diffuser leur expertise

Nouveau
04 avril 2025
Le projet s’inscrit dans l’objectif du Plan d’agriculture durable (PAD) Améliorer la santé et la conservation des sols, particulièrement le sous-objectif 75% des superficies cultivées seront couvertes en hiver, mais également l’autre sous-objectif soit 85% des sols agricoles auront un pourcentage de matière organique de
4% et plus. Étant donné les contraintes associées aux opérations de désherbage mécanique printanier effectuées par les entreprises en grandes cultures biologiques (GCB) lorsque des cultures de couverture et des résidus de culture sont présents, la grande majorité de ces entreprises enfouissent à l’automne avec un labour les résidus de culture du maïs-grain et les cultures de couverture, dont les engrais verts implantés lors de l’année en céréale, particulièrement le trèfle rouge. L’objectif principal du projet est de répertorier, documenter et diffuser les pratiques de gestion des résidus laissés par les couverts végétaux par l’utilisation de méthodes alternatives au labour. Plus spécifiquement, le projet vise à documenter les pratiques permettant de laisser 50 % ou plus de la surface couverte par des résidus à la surface du sol durant l’hiver. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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26 février 2025
La faune auxiliaire de lutte favorisée par les aménagements des bordures de champs et du paysage agricole La protection des cultures s’est longtemps appuyée sur la gestion au niveau de la plante ou du champ. Les recherches des dernières années démontrent clairement que l’environnement autour des champs a un impact
important sur la régulation naturelle des populations de ravageurs. La lutte biologique par conservation consiste à favoriser la présence et l’activité des ennemis naturels afin d’aider au contrôle des populations de ravageurs en leur fournissant des endroits diversifiés pour leur alimentation, reproduction, refuge lors des activités agricoles ainsi que des sites d’hibernation. Avec ce type de lutte, il ne s’agit pas d’éliminer complètement les ravageurs, mais plutôt de les maintenir sous un seuil de nuisibilité économique. Cette fiche détaille les caractéristiques de chaque groupe d’ennemis naturels retrouvés communément en milieu agricole, les aménagements spécifiques et les pratiques culturales qui leur permettent de trouver un habitat adéquat afin que les producteurs bénéficient de la lutte biologique dans les différents milieux agricoles.
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17 février 2025
Ce projet a permis d’obtenir des données probantes pour plusieurs indicateurs associés à la santé et conservation des sols. Les résultats indiquent qu’il n’y a pas d’indicateur idéal, mais qu’une combinaison d’indicateurs est requise, incluant les rendements des cultures, pour évaluer l’effet d’itinéraires agronomiques
sur la santé des sols. L’utilisation de l’apprentissage automatique, une forme d’intelligence artificielle axée sur le développement d’algorithmes statistiques capables de détecter des relations complexes, s’avère une avenue prometteuse pour diagnostiquer la productivité d’agrosystèmes végétaux à l’aide d’un ensemble d’indicateurs et pour établir les changements et les pratiques agricoles à mettre en place afin d’obtenir des performances optimales et durables au bénéfice de l’ensemble de la société. À court terme, les itinéraires étudiés causent une diminution de la teneur en MO du sol de surface et tendent à réduire la stabilité des agrégats. Ces itinéraires font augmenter le carbone labile (POxC) et tendent à augmenter la respiration du sol (Solvita). Soulignons que des tendances constatées durant les premières années de l’implantation d’un dispositif de longue durée peuvent être inversées après plusieurs années, une fois que le dispositif nouvellement implanté est entré dans une période de plus grande stabilité. Les effets des traitements sont alors souvent plus facilement distinguables par rapport aux changements causés par l’implantation de nouveaux itinéraires agronomiques en mode biologique sur un site en mode conventionnel depuis de nombreuses années. C’est notamment une des raisons pour laquelle il est important de maintenir en place de tels dispositifs pendant de longues périodes de temps.
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17 février 2025
Ce projet a permis d’obtenir des données probantes pour plusieurs indicateurs associés à la santé et conservation des sols. Les résultats indiquent qu’il n’y a pas d’indicateur idéal, mais qu’une combinaison d’indicateurs est requise, incluant les rendements des cultures, pour évaluer l’effet d’itinéraires agronomiques
sur la santé des sols. L’utilisation de l’apprentissage automatique, une forme d’intelligence artificielle axée sur le développement d’algorithmes statistiques capables de détecter des relations complexes, s’avère une avenue prometteuse pour diagnostiquer la productivité d’agrosystèmes végétaux à l’aide d’un ensemble d’indicateurs et pour établir les changements et les pratiques agricoles à mettre en place afin d’obtenir des performances optimales et durables au bénéfice de l’ensemble de la société. À court terme, les itinéraires étudiés causent une diminution de la teneur en MO du sol de surface et tendent à réduire la stabilité des agrégats. Ces itinéraires font augmenter le carbone labile (POxC) et tendent à augmenter la respiration du sol (Solvita). Soulignons que des tendances constatées durant les premières années de l’implantation d’un dispositif de longue durée peuvent être inversées après plusieurs années, une fois que le dispositif nouvellement implanté est entré dans une période de plus grande stabilité. Les effets des traitements sont alors souvent plus facilement distinguables par rapport aux changements causés par l’implantation de nouveaux itinéraires agronomiques en mode biologique sur un site en mode conventionnel depuis de nombreuses années. C’est notamment une des raisons pour laquelle il est important de maintenir en place de tels dispositifs pendant de longues périodes de temps.
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10 février 2025
Le CETAB+ a initié des essais variétaux dans la culture du tournesol oléique en 2021 afin de répondre à la demande des producteurs et des transformateurs québécois. Plusieurs variétés sont ou ont été récemment utilisées au Québec, principalement les variétés Hornet, N4H et Cobalt. Les rendements obtenus sous nos conditions
ne sont pas toujours à la hauteur et les variétés disponibles sont sensibles à la sclérotiniose, une maladie fongique qui touche plus de 360 espèces de plantes de la famille des dicotylédones, dont le tournesol. L’hypothèse initiale est qu’il existe des variétés de tournesol hautement oléique mieux adaptées aux conditions pédoclimatiques du Québec que celles actuellement utilisées sur les entreprises agricoles québécoises. Nous avons ainsi mis en place un réseau d’essais selon une approche dite «?mère-filles?» permettant d’évaluer de nouvelles variétés disponibles sur les marchés européen et américain. Un essai complémentaire a également été mis en place sur deux des quatre entreprises participantes ainsi que sur le site mère afin de déterminer le taux de semis optimal du tournesol. Le projet a été réalisé conjointement avec le secteur bioalimentaire de transformation afin de s’assurer de l’adéquation entre la production de tournesol oléique et la demande en huile. Ainsi, le projet a impliqué trois huileries québécoises artisanales biologiques (Huilerie Arôme des champs, Ferme Améroquois commercialisé sous les Huiles Champy et la Ferme Pré Rieur), des producteurs agricoles en grandes cultures biologiques et des semenciers dans une démarche collaborative afin de bénéficier à l’ensemble de ce secteur. Ce Projet est financé par l’entremise du Programme Innov’Action en agroalimentaire, en vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec
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21 octobre 2024
La gestion des mauvaises herbes au pied des vignes est un enjeu majeur en viticulture. Au Québec, la majorité des entre-rangs des vignobles sont enherbés et les rangs sont désherbés à l’aide d’herbicides ou d’équipement de désherbage mécanique. Dans une optique de réduction des pesticides, l’utilisation de couvre-sols enherbés
sous le rang de vigne est un réel gain pour l’environnement et la santé. Cette pratique vise à maîtriser le développement d’adventices indésirables en recouvrant le sol d’espèces végétales sélectionnées. Elle est bien plus qu’une simple façon de remplacer le désherbage chimique et mécanique, car elle offre de multiples avantages. Elle permet de protéger le sol en limitant l’érosion, le ruissellement, la compaction et l’évaporation excessive. Elle favorise la biodiversité et limite les blessures mécaniques, porte d’entrée de plusieurs maladies. Ce projet d’une durée de 3 ans a donc pour but d’évaluer le potentiel de couvre-sols permanents sur le rang comme alternative aux herbicides dans la culture de la vigne au Québec. Pour ce faire nous avons suivi sur trois ans quatre couvre-sols végétaux vivaces comparés à deux traitements témoins dans deux vignobles québécois. Les espèces choisies sont : 1) le Lotier corniculé (Lotus corniculatus); 2) le Thym serpolet (Thymus serpyllum); 3) l’Aspérule odorante (Galium odoratum); 4) l’Épervière piloselle (Pilosella officinarum) et elles étaient comparées à 5) l’Enherbement spontané et 6) le Sol à nu (herbicides selon les pratiques du producteur). Nous avons évalué l’effet des couvre-sols sur la phénologie et la croissance des plants de vigne, sur les ravageurs et les maladies, ainsi que sur le rendement et la qualité des fruits. Nous avons aussi suivi l’établissement des différents couvre-sols choisis et leur compétitivité face aux adventices. Finalement, les problématiques récurrentes de gel sur les sites nous ont aussi amenés à évaluer l’effet du couvert végétal sur la température du sol à différents moments
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21 octobre 2024
Notre étude a permis de mettre en lumière l’intérêt des couvre-sols végétaux en vignoble comme alternative à l’utilisation d’herbicides sur le rang. Nos résultats montrent que les couvre-sols à l’étude ont peu d’effet sur la croissance des vignes, les maladies, les ravageurs et ultimement le rendement, tout en étant une
belle façon d’accroître la biodiversité en vignoble. Des espèces se démarquent dans le contexte de l’étude, soit le thym serpolet et l’épervière piloselle. Ces deux plantes ne nécessitent pas de fauches, car elles restent basses et ne créent pas de problèmes d’humidité aux pieds des ceps. Elles ont aussi une jolie floraison attractive pour les insectes bénéfiques et sont intéressantes pour l’agrotourisme. Leur coût d’implantation reste plus élevé, car elles s’établissent mieux à partir de transplants, mais elles arrivent alors à dominer l’espace rapidement et laissent peu de place à des plantes indésirables. Il reste que des techniques d’implantation plus abordables comme l’hydroensemencement par exemple, devront être testées pour faciliter leur utilisation à l’échelle commerciale. Ce sont également des espèces qui se naturalisent très bien dans le reste du couvre-sol du verger et supportent assez bien le piétinement. Peu de travaux avaient été réalisés sur les couvre-sols permanents dans la vigne au Québec à ce jour, mais devant le fait que le buttage est de plus en plus délaissé, cette technique devient possible et transférable sur une majorité d'entreprises viticoles. Les couvre-sols à l'essai pourraient aussi être intéressants pour plusieurs autres cultures fruitières qui connaissent des enjeux similaires (bleuets, camerises, pommes, poires, etc.).
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06 septembre 2024
Le développement de projets de serres connait un essor sans précédent dans les régions nordiques du Québec (Société du Plan Nord 2021). Le projet de laboratoire nordique est né de la volonté de conduire des recherches qui viennent répondre aux enjeux auxquels les communautés nordiques sont confrontées dans la conception,
la mise en place et la pérennité de leurs initiatives agroalimentaires. Cette collaboration a débuté avec des projets d’élaboration ou de l’amélioration de projets de serre des communautés de Kuujjuaq, Radisson et Matagami avec des chercheuses et chercheurs du Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA) du Cégep de Victoriaville et de l’École de technologie supérieure (ÉTS). Ces collaborations ont mené à la conception du projet de prototype de laboratoire nordique (avril 2022-mars 2024) coordonné par le CISA, en collaboration avec le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+) et l’ÉTS, ainsi qu’une vingtaine de partenaires dans les régions du Nord-du-Québec et de la Côte-Nord. Le projet a rapidement évolué vers deux directions complémentaires : • La première fut de soutenir des partenariats entre les organismes de recherche et de transfert technologique avec les organismes porteurs de projets agroalimentaires. Ces partenariats ont permis de renforcer les capacités locales par de l’accompagnement technique et organisationnel dans le domaine de l’agriculture. • La deuxième consistait à créer des opportunités de réseautage entre les différents acteurs impliqués dans les systèmes alimentaires des différentes régions nordiques du Québec afin de briser les silos et réduire l’impact les distances. Ces deux directions se rejoignent dans le présent rapport sous la forme d'une collection de fiches à destination des porteuses et porteurs de projets agroalimentaires actuels ou futurs, afin d’alimenter leur réflexion. Consultez et téléchargez le rapport complet Téléchargez la fiche synthèse du projet 2022-2024,
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18 novembre 2023
Le CETAB+ et ABiodoc vous présentent ce numéro spécial du biopresse, le recueil mensuel des nouveautés documentaires en agriculture biologique. Ce numéro du Biopresse est un hors-série sur la thématique de la pomiculture qui propose une compilation sur plusieurs années de notices bibliographiques relatives à la pomiculture.
Plus d'une centaine d'articles sont résumé dans cette revue, regroupés en différentes rubriques: économie, potentiel et durabilité de la pomiculture biologique; variétés et porte-greffes; conception, aménagement et biodiversité du verger; gestion de la culture; protection du pommier; transformation et conservation.
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