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Crucifères, Avertissement No 19, 17 septembre 2020
17 septembre 2020
Les récoltes se poursuivent et la saison tire à sa fin. Le piégeage de la cécidomyie du chou-fleur est conseillé jusqu'à la récolte des crucifères. L'activité des pucerons demeure élevée dans les cultures plus sensibles. Il faut toujours surveiller la présence de thrips sur les choux destinés à l'entreposage. Les taches alternariennes, la nervation noire et la pourriture molle bactérienne continuent de se développer. Encore une fois, nous vous rappelons qu’il est important de déchiqueter et d’enfouir les résidus de cultures dès la fin des récoltes. En détruisant vos crucifères, vous réduisez considérablement le nombre de sites de ponte potentiels pour la cécidomyie du chou-fleur. La destruction des résidus de cultures permet également d'empêcher les ravageurs et les maladies de se développer et/ou de compléter leur cycle, ce qui constitue une stratégie efficace pour limiter leur nuisance sur les crucifères de la saison, mais aussi sur celles qui seront cultivées dans les années à venir.   INSECTES RAVAGEURS Le temps frais ralentit les chenilles défoliatrices. Les altises se font de plus en plus discrètes. Par contre, une augmentation des populations de pucerons est toujours observée dans les cultures plus sensibles telles que les choux chinois. Quant à la cécidomyie du chou-fleur, le niveau d'infestation demeure très variable (nul à très élevé) d'un site à l'autre et d'une région à l'autre. Portez une attention particulière à la présence de thrips sur vos choux qui sont destinés à l'entreposage. Comme ils continuent de s'alimenter et d'endommager les choux à de basses températures, il faut bien les contrôler avant la récolte. MALADIES   Les symptômes causés par les taches alternariennes (sur feuilles et/ou inflorescences) et la nervation noire sont toujours en légère progression dans les champs infectés. Aussi, plusieurs cas de pourriture molle bactérienne sont rapportés sur des crucifères sur le point d'être récoltées. Quant aux autres Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 18, 9 septembre 2020
09 septembre 2020
Les chenilles défoliatrices, les pucerons, les thrips et la cécidomyie du chou-fleur sont toujours à surveiller. Les symptômes de taches alternariennes et de la nervation noire sont en progression.   INSECTES RAVAGEURS La présence des chenilles défoliatrices (la piéride du chou, la fausse-arpenteuse du chou et la fausse-teigne des crucifères principalement) est variable d'un champ à l'autre. Dans les champs les plus infestés, des interventions sont en cours. Quant aux pucerons, les populations continuent d'augmenter. Lorsque l'infestation n'a pas été contrôlée à temps, l'efficacité des interventions phytosanitaires n'est pas optimale. Du côté des thrips, leur faible présence est rapportée par endroits. Il faut toutefois continuer de les surveiller, puisqu'ils continuent de faire des dommages d'alimentation sur les pommes de choux entreposés.   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur tirent à leur fin dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Les populations demeurent toujours aussi variables d'un site à l'autre et d'une région à l'autre. Des traitements sont appliqués pour protéger les cultures en développement, et ce, jusqu'à leur récolte ou lorsque les points de croissance ne sont plus accessibles à l'adulte pour y pondre ses œufs (ex. : chou pommé).    Dès la fin des récoltes, nous vous rappelons qu’il est important d’enfouir et de déchiqueter les résidus de cultures. En détruisant vos crucifères, vous réduisez considérablement le nombre de sites de ponte potentiels pour la cécidomyie du chou-fleur. La destruction des résidus de cultures permet aussi d'empêcher les ravageurs et les maladies de se développer et/ou de compléter leur cycle, ce qui constitue une stratégie efficace pour limiter leur nuisance sur les crucifères présentes, mais aussi sur celles qui seront cultivées dans les années à venir. MALADIES   Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 17, 3 septembre 2020
02 septembre 2020
Les chenilles défoliatrices et les pucerons sont toujours actifs; les thrips et la cécidomyie du chou-fleur sont à surveiller. Les symptômes de plusieurs maladies fongiques et bactériennes sont en hausse graduelle.  Pendant que les récoltes vont bon train, nous vous rappelons qu’il est important d’enfouir et de déchiqueter les résidus de cultures dès la fin des récoltes. En détruisant vos crucifères, vous réduisez considérablement le nombre de sites de ponte potentiels pour la cécidomyie du chou-fleur. La destruction des résidus de cultures permet aussi d'empêcher les ravageurs et les maladies de se développer et/ou de compléter leur cycle, ce qui constitue une stratégie efficace pour limiter leur nuisance sur les crucifères présentes, mais aussi sur celles qui seront cultivées dans les années à venir.  Aussi, afin de vous débarrasser gratuitement des contenants de pesticides vides ou périmés de façon sécuritaire, AgriRÉCUP offrira 31 points de collecte partout en province, du 21 septembre au 8 octobre prochain. Pour plus d'information, consultez le bulletin d'information Nº 2 du réseau Général du 2 septembre 2020. INSECTES RAVAGEURS L'activité des chenilles défoliatrices (la piéride du chou et la fausse-teigne des crucifères principalement) est variable sur l'ensemble du Québec. Pendant que les altises se font plus discrètes, les populations de pucerons ont, quant à elles, augmenté de manière significative. Du côté des thrips, ils semblent plus actifs en Montérégie et dans la Capitale-Nationale.    RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Des traitements sont appliqués pour protéger les cultures en développement, et ce, jusqu'à leur récolte ou lorsque les points de croissance ne sont plus accessibles à l'adulte pour y pondre ses œufs (ex. : chou Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 16, 27 août 2020
27 août 2020
À surveiller : les chenilles défoliatrices et les pucerons sont toujours actifs; les altises et les thrips sont à surveiller. Les symptômes de plusieurs maladies fongiques et bactériennes continuent de prendre de l'ampleur.    INSECTES RAVAGEURS Les chenilles défoliatrices (piéride du chou, fausse-teigne des crucifères et fausse-arpenteuse du chou) sont toujours actives, tandis que les altises demeurent à contrôler dans les choux chinois principalement. Du côté des thrips, leur présence est relativement faible, tout comme dans les champs d'oignon. Enfin, les pucerons sont toujours très actifs dans plusieurs champs, et donc à surveiller, notamment dans les cultures plus sensibles telles que les choux chinois, le chou de Bruxelles et le rutabaga.   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Des traitements sont appliqués pour protéger les cultures en développement, et ce, jusqu'à leur récolte ou lorsque les points de croissance ne sont plus accessibles à l'adulte pour y pondre ses œufs (ex. : chou pommé). Afin de lutter efficacement contre ce ravageur, il importe de bien enfouir les résidus de culture dès la récolte terminée afin d'empêcher que l'insecte complète son cycle vital. Le tableau qui suit vous permet de prendre connaissance des niveaux de captures de la dernière semaine dans les différentes régions. Vous remarquerez qu'ils sont souvent fort variables pour une région donnée. Ainsi, la meilleure façon de faire le suivi de cet ennemi est d'installer des pièges à phéromone dans vos champs, dès l'implantation de vos crucifères, et d'en faire le relevé au moins deux fois par semaine.    Région Nombre de sites de piégeage Niveau de captures Bas-Saint-Laurent 2 Élevé à très élevé Capitale-Nationale 4 Très faible à faible Centre-du-Québec Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 15, 19 août 2020
19 août 2020
À surveiller : plusieurs ravageurs principaux et secondaires sont toujours aussi actifs. Les symptômes de plusieurs maladies fongiques et bactériennes ont pris de l'ampleur.    INSECTES RAVAGEURS Plusieurs ravageurs (altises des crucifères, des navets et à tête rouge; piéride du chou; fausse-teigne des crucifères et fausse-arpenteuse du chou) sont actifs. Les interventions phytosanitaires se poursuivent, lorsque les seuils sont atteints, afin d'assurer un bon contrôle des dégâts. Du côté des thrips, leur contrôle demeure nécessaire dans plusieurs champs de choux de la province. Enfin, les pucerons sont toujours très actifs dans plusieurs champs, et donc à surveiller, notamment dans les cultures plus sensibles telles que les choux chinois et le rutabaga.   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Des traitements sont appliqués pour protéger les cultures en développement, et ce, jusqu'à leur récolte ou lorsque les points de croissance ne sont plus accessibles à l'adulte pour y pondre ses œufs (ex. : chou pommé). Afin de lutter efficacement contre ce ravageur, il importe de l'empêcher de compléter son cycle vital en enfouissant bien les résidus de culture dès la récolte terminée. Le tableau qui suit vous permet de prendre connaissance des niveaux de captures de la dernière semaine dans les différentes régions. Vous remarquerez qu'ils sont souvent fort variables pour une région donnée. Ainsi, la meilleure façon de faire le suivi de cet ennemi est d'installer des pièges à phéromone dans vos champs, dès l'implantation de vos crucifères, et d'en faire le relevé au moins deux fois par semaine.    Région Nombre de sites de piégeage Niveau de captures Bas-Saint-Laurent 2 Modéré à très élevé Capitale-Nationale 4 Nul à très Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 14, 12 août 2020
12 août 2020
À surveiller : plusieurs ravageurs principaux et secondaires ainsi que les maladies fongiques et bactériennes.    Avec la poursuite des récoltes, on observe à nouveau quelques cas de tige creuse dans le brocoli et le chou-fleur. Quelques cas de brûlure de la pointe (carence en calcium) sont également observés dans le chou-fleur et le chou chinois.  INSECTES RAVAGEURS Plusieurs ravageurs (altises des crucifères, des navets et à tête rouge, piéride du chou, fausse-teigne des crucifères et fausse-arpenteuse du chou) sont actifs. De manière générale, leur activité est toutefois maîtrisée grâce aux interventions faites lorsque les seuils sont atteints. Du côté de la mouche du chou, la ponte se poursuit par endroits. Les cultures les plus susceptibles d'être affectées par ce ravageur à ce stade-ci de la saison sont les crucifères-racines ainsi que les crucifères chinois (ponte jusque dans le feuillage). Quant aux thrips, ils demeurent actifs dans plusieurs champs de choux de la province. Enfin, l'activité des pucerons est en hausse, notamment dans les cultures plus sensibles telles que les choux chinois et le rutabaga.   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Des traitements sont appliqués pour protéger les cultures en développement, et ce, jusqu'à leur récolte ou lorsque les points de croissance ne sont plus accessibles à l'adulte pour y pondre ses œufs (ex. : chou pommé). Afin de lutter efficacement contre ce ravageur, il importe de l'empêcher de compléter son cycle vital en enfouissant bien les résidus de culture dès la récolte terminée. Le tableau qui suit vous permet de prendre connaissance des niveaux de captures de la dernière semaine dans les différentes régions. Vous remarquerez qu'ils sont souvent fort variables Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 13, 5 août 2020
05 août 2020
Les altises, la cécidomyie du chou-fleur, les thrips, les pucerons et les chenilles défoliatrices sont à surveiller. Attention aux maladies, les conditions météorologiques actuelles sont propices au développement de plusieurs d'entre elles.   Les récoltes étant en cours, des cas de tige creuse sont rapportés, notamment dans le brocoli et le chou-fleur. Ce désordre physiologique peut être induit, lors de poussées de croissance, par une carence en bore et/ou un excès d'azote, combiné à des températures élevées. Quelques cas de brûlure de la pointe (carence en calcium) sont également observés dans le chou-fleur. Avec les importantes précipitations qui sont tombées sur l'ensemble du Québec (sauf les régions Maritimes), ces derniers jours, et le retour des températures chaudes annoncées, une croissance rapide des plants est à prévoir, et d'autres désordres physiologiques pourraient survenir, tels que de l'oedème et de la granulée brune.  INSECTES RAVAGEURS Plusieurs ravageurs (altises des crucifères, des navets et à tête rouge, piéride du chou, fausse-teigne des crucifères et fausse-arpenteuse du chou) sont actifs. De manière générale, leur activité est toutefois sous contrôle grâce aux interventions faites lorsque les seuils sont atteints. Du côté de la mouche du chou, la ponte se poursuit dans les régions plus au nord, tandis qu'elle semble se stabiliser dans le sud du Québec. Quant aux thrips, ils sont actifs dans plusieurs champs de choux de la province. On retrouve également des pucerons dans certains champs des Laurentides, de Lanaudière et de la Capitale-Nationale. Enfin, des vers gris sont observés, par endroits, dans des pommes de chou chinois, ce qui les rend invendables.   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Des traitements sont appliqués Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 12, 30 juillet 2020
30 juillet 2020
Présence généralement maîtrisée des principaux ravageurs et hausse des thrips et des pucerons par endroits; cécidomyie du chou-fleur à surveiller; conditions climatiques humides favorisant le développement des maladies.   Des collaborateurs de la Montérégie ont signalé la présence de «riciness» sur des choux-fleurs prêts à être récoltés. Ce désordre physiologique, pouvant être associé à une croissance trop rapide de l'inflorescence, à une humidité ou à des températures élevées, à un excès d'azote, ou à la sensibilité variétale, peut rendre la culture invendable. Veillez à adapter votre régie de culture pour éviter ce problème. INSECTES RAVAGEURS Les principaux ravageurs (mouche du chou, altises des crucifères, des navets et à tête rouge et chenilles défoliatrices (piéride du chou, fausse-teigne des crucifères et fausse-arpenteuse du chou) sont présents dans les champs de crucifères. Ils sont généralement maîtrisés grâce aux interventions faites lorsque les seuils sont atteints. À certains endroits de la Capitale-Nationale et de la Montérégie, les populations de thrips sont en hausse. On retrouve également plus de pucerons dans certains champs des Laurentides, de Lanaudière et de la Capitale-Nationale.   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Des traitements sont appliqués pour protéger les cultures en développement, et ce, jusqu'à leur récolte ou lorsque les points de croissance ne sont plus accessibles à l'adulte pour y pondre ses oeufs. Assurez-vous de bien enfouir les résidus de culture, dès que la récolte est terminée, afin d'empêcher la cécidomyie du chou-fleur de compléter son cycle vital. Le tableau qui suit vous permet de prendre connaissance des niveaux de captures de la dernière semaine dans les différentes régions. Vous remarquerez Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 11, 23 juillet 2020
23 juillet 2020
Les bonnes pratiques au champ lors de l'utilisation d'herbicides et après la récolte. À surveiller : les altises, les thrips, les mouches du genre Delia, les pucerons et les chenilles défoliatrices. Les maladies continuent de se développer.   BONNES PRATIQUES   Cette saison, le contrôle des mauvaises herbes semble particulièrement difficile par endroits. Les herbicides, qui n'ont pas été aussi efficaces en période de sécheresse, et le manque de main-d'oeuvre peuvent en expliquer la cause. N'oubliez pas que la présence d'adventices peut offrir refuge aux ravageurs, nuire à la bonne circulation de l'air et empêcher la bonne couverture du feuillage lors des applications de pesticides. Ainsi, il est possible d'avoir plus de difficulté à bien contrôler les ennemis de culture, sans compter l'impact sur les rendements que peut engendrer la présence de mauvaises herbes (moins de lumière, d'eau et d'éléments nutritifs pour la culture). Des collaborateurs nous rapportent des dommages occasionnés par la phytotoxicité. L'application de certains produits, parfois combinée à l'ajout d'adjuvant, lorsque les températures sont chaudes et ensoleillées peut causer de la phytotoxicité sur le feuillage. Évitez d'intervenir sous ces conditions. Assurez-vous également de bien rincer votre pulvérisateur entre chaque usage afin qu'il n'y ait pas de résidus de pesticides.    Phytotoxicité à la suite de l'application d'un pesticide Photo : Profit-eau-sol   Les récoltes sont en cours depuis quelques semaines. Une autre bonne pratique est d'enfouir les résidus de culture dès que la récolte d'un champ est terminée. Ainsi, on empêche certains ravageurs de compléter leur cycle et on élimine toute présence de tissus végétaux sur lesquels les insectes et maladies pourraient se développer. INSECTES RAVAGEURS Plusieurs ravageurs sont davantage présents dans les champs de crucifères du Québec. La ponte de la mouche du chou est en hausse dans la plupart Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 10, 16 juillet 2020
16 juillet 2020
Les niveaux de captures de la cécidomyie du chou-fleur sont en légère hausse dans la plupart des régions. À surveiller : les chenilles défoliatrices, les altises, les thrips et les mouches du genre Delia. Quelques symptômes de maladies sont observés.  Encore une fois, les précipitations reçues dans plusieurs secteurs ces derniers jours étaient attendues avec impatience. Toutefois, lorsque de fortes pluies sont suivies de températures élevées, certains désordres physiologiques peuvent survenir. Par exemple, quelques cas de granulée brune ont été observés dans le brocoli prêt à être récolté, notamment dans le sud du Québec. De l'oedème (ou intumescence) peut également survenir dans ces conditions. Aussi, le développement rapide des crucifères peut entraîner une carence en calcium s'exprimant en brûlure de la pointe, particulièrement chez les cultures plus sensibles telles que les choux-fleurs et les choux chinois.   INSECTES RAVAGEURS La ponte de la mouche du chou est en légère hausse dans le sud de la province. De même, on observe des oeufs et des larves de mouches des semis là où des crucifères asiatiques sont cultivées. Les altises et les chenilles défoliatrices (piéride du chou, fausse-teigne des crucifères) sont très actives. Des interventions phytosanitaires sont en cours afin de contrôler ces ravageurs tant en régie biologique que conventionnelle. Quant à la fausse-arpenteuse du chou, on note sa présence dans les Laurentides et la Capitale-Nationale. Enfin, du côté des thrips, leur activité est en hausse dans le chou pommé dans le sud du Québec, jusqu'à la hauteur de la Capitale-Nationale.    RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur se poursuivent dans les pièges à phéromone du Réseau de piégeage. Des interventions sont en cours et des dommages commencent à être observés par endroits. Le tableau qui suit vous permet de prendre connaissance des niveaux de captures Lire la suite
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