Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
3085 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
18 juillet 2024
Au Québec, la période de culture de la fraise à jours neutres s’étend jusqu’à l’automne et reçoit donc un nombre important d’applications de pesticides visant à lutter contre notamment l’anthracnose causée par Colletotrichum spp. Cette maladie se développe de façon très rapide quand les conditions climatiques sont favorables
et que l’inoculum est abondant causant des pertes de rendements particulièrement élevées si l’on ne suit pas un programme de pulvérisation fongicide, qui débute à l’ouverture des fleurs et se poursuit tous les 7 à 14 jours. Depuis quelques années, des modèles prévisionnels sont développés afin de créer des systèmes permettant de planifier les applications de fongicides seulement lorsque les conditions climatiques sont favorables au développement de l’anthracnose. Ainsi, un modèle CIPRA semblable au modèle de la Floride « Strawberry Advisory System (SAS) » a été récemment développé par Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC). Un premier projet réalisé au CIEL (2018-2020) a démontré que l’utilisation du modèle peut amener à des réductions des applications fongicides de l’ordre de 43 %. Ce premier projet a permis de déterminer un seuil d’intervention prometteur qui doit être validé. Le présent projet a pour but de tester et d’adapter le modèle bioclimatique de CIPRA de AAC à une plus grande échelle dans un projet à 2 volets; 1) Un premier volet a été réalisé au CIEL entre 2021 et 2023 afin de poursuivre les travaux du précédent projet qui étaient de tester différents seuils décisionnels du modèle bioclimatique en parcelles expérimentales et où 4 seuils (0.20, 0.30, 0.45 et 0.60) ont été testés. 2) Un deuxième volet a été réalisé chez des producteurs de fraises à jours neutres, dans différentes régions du Québec, afin de procéder à l’adaptation du modèle bioclimatique pour lutter contre l’anthracnose dans un contexte de production commerciale.
Lire la suite
18 juillet 2024
Au Québec, la période de culture de la fraise à jours neutres s’étend jusqu’à l’automne et reçoit donc un nombre important d’applications de pesticides visant à lutter contre notamment l’anthracnose causée par Colletotrichum spp. Cette maladie se développe de façon très rapide quand les conditions climatiques sont favorables
et que l’inoculum est abondant causant des pertes de rendements particulièrement élevées si l’on ne suit pas un programme de pulvérisation fongicide, qui débute à l’ouverture des fleurs et se poursuit tous les 7 à 14 jours. Depuis quelques années, des modèles prévisionnels sont développés afin de créer des systèmes permettant de planifier les applications de fongicides seulement lorsque les conditions climatiques sont favorables au développement de l’anthracnose. Ainsi, un modèle CIPRA semblable au modèle de la Floride « Strawberry Advisory System (SAS) » a été récemment développé par Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC). Un premier projet réalisé au CIEL (2018-2020) a démontré que l’utilisation du modèle peut amener à des réductions des applications fongicides de l’ordre de 43 %. Ce premier projet a permis de déterminer un seuil d’intervention prometteur qui doit être validé. Le présent projet a pour but de tester et d’adapter le modèle bioclimatique de CIPRA de AAC à une plus grande échelle dans un projet à 2 volets; 1) Un premier volet a été réalisé au CIEL entre 2021 et 2023 afin de poursuivre les travaux du précédent projet qui étaient de tester différents seuils décisionnels du modèle bioclimatique en parcelles expérimentales et où 4 seuils (0.20, 0.30, 0.45 et 0.60) ont été testés. 2) Un deuxième volet a été réalisé chez des producteurs de fraises à jours neutres, dans différentes régions du Québec, afin de procéder à l’adaptation du modèle bioclimatique pour lutter contre l’anthracnose dans un contexte de production commerciale.
Lire la suite
28 juin 2024
Le Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière (CIEL), créé en 1997, est, depuis 2011, le site d’essais publics de cultivars de fraisiers et de framboisiers pour le Québec. CIEL est également un des membres fondateurs du réseau canadien d’essai de cultivars de petits fruits (fraises et framboises) mis en place en
2018 et effectue des essais de cultivars dans d’autres cultures fruitières depuis 2019 (camerises et canneberges). En 2021, un essai de bleuets en corymbe a été implanté sur le site expérimental du CIEL afin d’y tester de nouveaux cultivars. Ces essais sont mis en place afin de maintenir la compétitivité des entreprises agricoles et favoriser le développement du secteur des petits fruits au Québec. Ce rapport présente les objectifs, la méthodologie et les résultats détaillés des saisons 2022 et 2023 pour l'essai de cultivars de bleuets en corymbe.
Lire la suite
03 mai 2024
Présentation des stratégie et résultats des vitrines de démonstration d’une régie à moindres risques dans la fraise d’été et la fraise d’automne ayant eu lien durant la Journée provinciale de la recherche - 20 février 2024. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
15 avril 2024
La punaise terne, Lygus lineolaris, est un ravageur important de la fraise au Québec qui provoque d'importantes pertes de rendement. En agriculture conventionnelle, la lutte contre cet insecte se fait par le biais d’applications insecticides tandis que les producteurs en régie biologique sont démunis face à cette problématique.
Ces dernières années, un nouvel équipement a fait son apparition sur le marché : les mini-tunnels rétractables. Les mini-tunnels utilisent le même principe que les grands tunnels, mais ils sont trois fois moins dispendieux et plus versatiles en plus de présenter les mêmes avantages. Il s’agit de tunnels bas (environ 28 po) qui recouvrent une butte à la fois tout au long de la saison de culture. Un système d’arceaux recouverts d’un film transparent retenu par des élastiques permet de remonter ou descendre les côtés selon le climat. Le film transparent, qui permet de protéger les plants de la pluie et des éclaboussures de sol, peut être remplacé par un filet anti-insecte, permettant l’exclusion des principaux ravageurs, dont la punaise terne. L’objectif général du projet est de développer une nouvelle méthode de contrôle alternative aux pesticides utilisant des filets d’exclusion anti-insecte pour lutter contre la punaise terne (Lygus lineolaris) dans la culture de la fraise d’automne. Ainsi, un essai de plein champ a été conduit durant les saisons 2020, 2021 et 2022 sur le site de la ferme expérimentale du CIEL à Lavaltrie (2020 et 2021) et à Lanoraie (2022). Nous y avons testé 3 types de filets anti-insecte (17, 56 et 70 g) installés sur armature de mini-tunnels et un filet anti-insecte (70 g) installé sans armature, soit directement déposé sur la culture, pour lutter contre la punaise terne. Leur efficacité a été comparée à un témoin non traité et à un témoin commercial avec une régie de traitements insecticides conventionnels contre la punaise terne. En 2020, la faible population de punaises ternes sur le site d’essai n’a pas permis d’observer
Lire la suite
15 avril 2024
La punaise terne, Lygus lineolaris, est un ravageur important de la fraise au Québec qui provoque d'importantes pertes de rendement. En agriculture conventionnelle, la lutte contre cet insecte se fait par le biais d’applications insecticides tandis que les producteurs en régie biologique sont démunis face à cette problématique.
Ces dernières années, un nouvel équipement a fait son apparition sur le marché : les mini-tunnels rétractables. Les mini-tunnels utilisent le même principe que les grands tunnels, mais ils sont trois fois moins dispendieux et plus versatiles en plus de présenter les mêmes avantages. Il s’agit de tunnels bas (environ 28 po) qui recouvrent une butte à la fois tout au long de la saison de culture. Un système d’arceaux recouverts d’un film transparent retenu par des élastiques permet de remonter ou descendre les côtés selon le climat. Le film transparent, qui permet de protéger les plants de la pluie et des éclaboussures de sol, peut être remplacé par un filet anti-insecte, permettant l’exclusion des principaux ravageurs, dont la punaise terne. L’objectif général du projet est de développer une nouvelle méthode de contrôle alternative aux pesticides utilisant des filets d’exclusion anti-insecte pour lutter contre la punaise terne (Lygus lineolaris) dans la culture de la fraise d’automne. Ainsi, un essai de plein champ a été conduit durant les saisons 2020, 2021 et 2022 sur le site de la ferme expérimentale du CIEL à Lavaltrie (2020 et 2021) et à Lanoraie (2022). Nous y avons testé 3 types de filets anti-insecte (17, 56 et 70 g) installés sur armature de mini-tunnels et un filet anti-insecte (70 g) installé sans armature, soit directement déposé sur la culture, pour lutter contre la punaise terne. Leur efficacité a été comparée à un témoin non traité et à un témoin commercial avec une régie de traitements insecticides conventionnels contre la punaise terne. En 2020, la faible population de punaises ternes sur le site d’essai n’a pas permis d’observer
Lire la suite
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
Lire la suite
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
Lire la suite
26 mars 2024
Au Québec, la culture de la fraise est soumise à une forte pression de ravageurs. Parmi ceux-ci, deux acariens phytophages, le tarsonème du fraisier (Phytonemus pallidus) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae), et une maladie fongique, le blanc du fraisier (Sphaerotheca macularis f. sp. Fragariae), causent
très souvent des dommages à la culture. Plusieurs produits sont homologués au Québec pour lutter contre ces ravageurs, mais peuvent présenter des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement. Le Vegol est un pesticide à risques réduits qui est homologué au Canada pour lutter contre ces trois ennemis dans la fraise. C’est un biopesticide de contact à large spectre d’action qui a pour matière active l’huile de canola à 96 %. Il agit en empêchant la germination des spores et en provoquant la suffocation des insectes et des acariens. Bien qu’il soit disponible, ce produit demeure sous-utilisé, entre autres, parce que des observations laissent supposer qu’il peut s’avérer phytotoxique sous certaines conditions. Cet essai est divisé en deux phases. La phase 1 a pour objectif de déterminer les conditions et les facteurs climatiques sous lesquels le Vegol peut causer de la phytotoxicité. L’objectif de la phase 2 est de documenter l’efficacité du Vegol contre les acariens phytophages (tarsonème du fraisier et tétranyque à deux points) et une maladie fongique (blanc du fraisier). La première phase du projet a permis de démontrer que l’utilisation du Vegol était sécuritaire sous diverses conditions. Cependant, au terme de la deuxième phase, il n’est pas possible de conclure quant à l’efficacité du Vegol contre les ravageurs ciblés. La pression des ravageurs acariens ciblés a été trop faible lors des essais terrains pour observer la diminution des populations. Pour le blanc, la pression exercée a été plutôt variable, ce qui n'a pas permis de démontrer une atténuation des symptômes.
Lire la suite
26 mars 2024
Au Québec, la culture de la fraise est soumise à une forte pression de ravageurs. Parmi ceux-ci, deux acariens phytophages, le tarsonème du fraisier (Phytonemus pallidus) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae), et une maladie fongique, le blanc du fraisier (Sphaerotheca macularis f. sp. Fragariae), causent
très souvent des dommages à la culture. Plusieurs produits sont homologués au Québec pour lutter contre ces ravageurs, mais peuvent présenter des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement. Le Vegol est un pesticide à risques réduits qui est homologué au Canada pour lutter contre ces trois ennemis dans la fraise. C’est un biopesticide de contact à large spectre d’action qui a pour matière active l’huile de canola à 96 %. Il agit en empêchant la germination des spores et en provoquant la suffocation des insectes et des acariens. Bien qu’il soit disponible, ce produit demeure sous-utilisé, entre autres, parce que des observations laissent supposer qu’il peut s’avérer phytotoxique sous certaines conditions. Cet essai est divisé en deux phases. La phase 1 a pour objectif de déterminer les conditions et les facteurs climatiques sous lesquels le Vegol peut causer de la phytotoxicité. L’objectif de la phase 2 est de documenter l’efficacité du Vegol contre les acariens phytophages (tarsonème du fraisier et tétranyque à deux points) et une maladie fongique (blanc du fraisier). La première phase du projet a permis de démontrer que l’utilisation du Vegol était sécuritaire sous diverses conditions. Cependant, au terme de la deuxième phase, il n’est pas possible de conclure quant à l’efficacité du Vegol contre les ravageurs ciblés. La pression des ravageurs acariens ciblés a été trop faible lors des essais terrains pour observer la diminution des populations. Pour le blanc, la pression exercée a été plutôt variable, ce qui n'a pas permis de démontrer une atténuation des symptômes.
Lire la suite
1 à 10 sur 3085