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25 octobre 2024
Traitement postrécolte du kalmia. Traitement postrécolte de la comptonie et du kalmia. TRAITEMENT POSTRÉCOLTE DU KALMIA Le stade d’application est atteint dans certains secteurs du Saguenay–Lac-Saint-Jean pour les applications automnales de ROUNDUP WEATHERMAX et sera atteint dans les prochains jours pour
les autres secteurs. Il s’agit d’un herbicide de contact homologué pour la répression du kalmia à feuilles étroites dans le bleuet nain. L’application doit être réalisée lorsque les plants de bleuets ont perdu 95 % de leurs feuilles. Des dommages pourraient être causés aux bleuetiers si les traitements étaient appliqués avant ce stade. Si l’atteinte du stade d’application pose des doutes, il est important de consulter votre conseiller(ère). Points importants à respecter : Ne traiter que les secteurs du champ où le kalmia à feuilles étroites est présent; Les champs traités doivent être fauchés au moins 14 jours après le traitement ou au plus tard le printemps suivant, avant le 15 mai; Le délai avant la récolte est de 550 jours. Pour plus d'information sur l'utilisation de cet herbicide, vous pouvez consulter ce document. Population de kalmias à feuilles étroites Photo : Club Conseil Bleuet TRAITEMENT POSTRÉCOLTE DE LA COMPTONIE ET DU KALMIA Le stade d’application pour les traitements automnaux des herbicides à base de dicamba (XTENDIMAX, ORACLE, ENGENIA, BANVEL II) est atteint dans certains secteurs au Saguenay–Lac-Saint-Jean et sera atteint sous peu pour les autres secteurs. Ces herbicides sont homologués pour la suppression de la comptonie voyageuse et du kalmia à feuilles étroites dans le bleuet nain. L’application doit être réalisée lorsque les plants de bleuets ont perdu 90 % de leurs feuilles. Comme pour tous les pesticides, il est crucial de lire et de respecter les étiquettes. Plusieurs facteurs doivent être réunis pour maximiser l’efficacité, et les doses à utiliser varient selon le produit. De plus, les herbicides
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24 octobre 2024
Le bulletin d'information Capri Nouvelles, publié trimestriellement, est une initiative menée par la table de concertation du secteur caprin laitier. Ce projet est financé par l’entremise du Programme de développement sectoriel, en vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, entente conclue entre les gouvernements
du Canada et du Québec. Dans cette dernière édition de l'année 2024, vous aurez l'occasion de peaufiner vos connaissances afin d'en faire bénéficier votre entreprise, notamment en optimisant votre production dans le but de profiter de la prime d'automne. Vous aurez également la chance d'en apprendre un peu plus sur les projets de la Table filière caprine laitière ainsi que sur la qualité du lait livré au courant de l'année 2024.
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24 octobre 2024
Ferme François Gosselin produit depuis quelques années de la framboise en culture hors-sol sous abris. Tulameen est le cultivar utilisé. On parle ici d’un cultivar d’été (floricanne), c’est à dire une plante bisannuelle. En fait, il y a d’abord la croissance végétative d’une canne la première année qui deviendra ensuite
productive la saison suivante. Ce type de production nécessite, en conséquence, une phase en pépinière et ultimement une phase en production. Concernant la phase en pépinière, l’entreprise repique actuellement 2 plants mottes par contenant de 1,8 litres de substrat (fibre de coco). La disposition des pots génère une densité de 16 cannes par mètre linéaire. Le projet vise à bonifier les connaissances en termes de densités de plants, de volumes de contenants, de fertigation et de coûts en main d’œuvre pour la phase pépinière et la phase production sous grands tunnels.
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22 octobre 2024
Le présent rapport vise à recenser les éléments en vue du développement d’outils permettant d’expliquer et de vulgariser ce qu’implique la gestion des zones tampons en fonction des normes biologiques canadiennes. Il se divise en deux parties. La première présente chacune des études de cas d’entreprises en
régie biologique documentée dans le cadre de ce projet. La seconde partie est une synthèse de ces études de cas mise en perspective avec les entretiens effectués auprès des producteurs en régie conventionnelle. Ces études de cas ont été faites par huit entretiens conduits par l’équipe du Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA) auprès de producteurs en régie conventionnelle ayant un voisin en régie biologique.
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21 octobre 2024
La gestion des mauvaises herbes au pied des vignes est un enjeu majeur en viticulture. Au Québec, la majorité des entre-rangs des vignobles sont enherbés et les rangs sont désherbés à l’aide d’herbicides ou d’équipement de désherbage mécanique. Dans une optique de réduction des pesticides, l’utilisation de couvre-sols enherbés
sous le rang de vigne est un réel gain pour l’environnement et la santé. Cette pratique vise à maîtriser le développement d’adventices indésirables en recouvrant le sol d’espèces végétales sélectionnées. Elle est bien plus qu’une simple façon de remplacer le désherbage chimique et mécanique, car elle offre de multiples avantages. Elle permet de protéger le sol en limitant l’érosion, le ruissellement, la compaction et l’évaporation excessive. Elle favorise la biodiversité et limite les blessures mécaniques, porte d’entrée de plusieurs maladies. Ce projet d’une durée de 3 ans a donc pour but d’évaluer le potentiel de couvre-sols permanents sur le rang comme alternative aux herbicides dans la culture de la vigne au Québec. Pour ce faire nous avons suivi sur trois ans quatre couvre-sols végétaux vivaces comparés à deux traitements témoins dans deux vignobles québécois. Les espèces choisies sont : 1) le Lotier corniculé (Lotus corniculatus); 2) le Thym serpolet (Thymus serpyllum); 3) l’Aspérule odorante (Galium odoratum); 4) l’Épervière piloselle (Pilosella officinarum) et elles étaient comparées à 5) l’Enherbement spontané et 6) le Sol à nu (herbicides selon les pratiques du producteur). Nous avons évalué l’effet des couvre-sols sur la phénologie et la croissance des plants de vigne, sur les ravageurs et les maladies, ainsi que sur le rendement et la qualité des fruits. Nous avons aussi suivi l’établissement des différents couvre-sols choisis et leur compétitivité face aux adventices. Finalement, les problématiques récurrentes de gel sur les sites nous ont aussi amenés à évaluer l’effet du couvert végétal sur la température du sol à différents moments
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