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Grandes cultures, Avertissement No 9, 29 juin 2023
29 juin 2023
Fusariose de l'épi : conditions favorables à l'infection. Ravageurs du blé méconnus. Criocère des céréales : observations non problématiques. Premiers pucerons du soya. Soya jaune ou pâle : causes possibles. Soya : carences en potassium et manganèse. Charançon de la silique (Chaudière-Appalaches). Charançon postiche de la luzerne (Estrie et Outaouais). Herbicides : délais avant récolte et rotations.     FUSARIOSE DE L'ÉPI DES CÉRÉALES : CONDITIONS FAVORABLES À L'INFECTION Y. Dion1, T. Copley2, B. Duval1, V. Samson1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM)   Les précipitations, le taux d’humidité élevé et les températures des derniers jours et des jours à venir sont très favorables à l’infection causant la fusariose de l’épi des céréales si la culture est au stade critique pour l’infection. Dans le cas du blé d’automne, la floraison est en large part chose du passé. Si la culture est en postfloraison, le risque d’infection est pratiquement inexistant. Par contre, si le blé est en floraison, les risques sont actuellement présents et élevés dans plusieurs régions. Dans le cas de toute culture de blé qui est en épiaison ou au début de la floraison, il convient de suivre les niveaux de risque affichés sur les cartes d’Agrométéo Québec (voir les informations ci-dessous). Les précipitations et la chaleur qu’on observe vont induire un fort développement des cultures et précipiter l’épiaison chez le blé et autres céréales de printemps, mais les précipitations rendent difficiles les interventions au champ.  Il faut surveiller étroitement le développement de la culture de la céréale, les niveaux de risque pour la fusariose de l’épi ainsi que les conditions météorologiques prévues pendant la période critique d’infection. Pour assurer l’efficacité d’une application de fongicide, chez le blé, le traitement doit être réalisé avant la mi-floraison. Plus de 70 % des épis doivent se situer entre le stade début floraison (début de la sortie des Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 15 juillet 2022
15 juillet 2022
Puceron du soya : seuil d'alerte non atteint (majorité des champs dépistés). Insectes défoliateurs du soya : à surveiller. Carence en potassium dans le soya : à surveiller. Pourriture phytophtoréenne : quelques cas observés. Pourriture à sclérotes du soya : champs à risque? Maladies dans les céréales : à surveiller. Pucerons dans les céréales : faut-il s'en préoccuper? Chrysomèle des racines du maïs : évaluation des dommages racinaires et dépistage des adultes à prévoir dans les prochaines semaines.     PUCERON DU SOYA : LA MAJORITÉ DES SITES NE DÉPASSENT PAS LE SEUIL D'ALERTE M. Neau 1, S. Boquel 2, J. Saguez 2, J. Breault 3, S. Mathieu 3 et V. Samson 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheurs (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Parmi la soixantaine de champs dépistés cette semaine par le RAP Grandes cultures, quatre sont près du seuil d’alerte de 250 pucerons par plant, et seulement cinq l’ont dépassé. Pour rappel, ce seuil n’est pas un seuil d’intervention. Il indique qu’il faut suivre les champs de près, dépister tous les trois à sept jours pour noter l’évolution des populations de pucerons et l’abondance des ennemis naturels, et tenir compte de plusieurs facteurs avant d’intervenir. Le puceron du soya peut affecter la culture jusqu’au stade « R5 ». La plupart des champs sont encore loin de ce stade. Pour rappel, un traitement phytosanitaire hâtif entraîne un risque de réinfestation du champ par le puceron en éliminant les ennemis naturels, comme les coccinelles. Le dépistage est recommandé, particulièrement en Lanaudière, dans les Laurentides et en Montérégie, où les populations sont actuellement plus abondantes. Les autres régions semblent pour le moment épargnées. En plus de la quantité de pucerons, le niveau de stress subi par la culture et la présence d’ennemis naturels sont des éléments à prendre en compte pour juger de la pertinence d’un traitement. Certains cultivars tolèrent beaucoup mieux la présence Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 18, 12 août 2022
12 août 2022
Ver-gris occidental du haricot : augmentation des captures, dépistage des masses d'oeufs recommandé. Puceron du soya : diminution des populations, dépistage recommandé dans les champs n'ayant pas atteint le stade R5. Verse du maïs : causes possibles. Chrysomèle des racines du maïs : cols d'oie observés. Syndrome de la mort subite : deux cas en Montérégie. Carence en potassium dans le soya : jusqu'à quand peut-on intervenir? Taches mauves ou brunes à la base des feuilles de maïs : pas d'inquiétude à avoir.   VER-GRIS OCCIDENTAL DU HARICOT : LES CAPTURES DE PAPILLONS CONTINUENT D’AUGMENTER DÉPISTAGE DES MASSES D’OEUFS RECOMMANDÉ DANS LES CHAMPS À RISQUE M. Neau 1, J. Saguez 2, J. Breault 3 et B. Duval 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Les captures de papillons du ver-gris occidental du haricot (VGOH) ont continué d’augmenter dans la quasi-totalité des régions au Québec. C’est la première année, depuis le début du suivi de cet insecte en 2010, que la moyenne provinciale dépasse 200 papillons par piège. Rappelons toutefois que ce n’est pas le nombre de papillons qui justifie ou non une intervention phytosanitaire, mais bien le pourcentage de plants infestés par des masses d’œufs ou de jeunes larves.   Dans le cadre du RAP Grandes cultures, sur 33 champs dépistés cette semaine, sept masses d’œufs ont été observées dans cinq champs : une en Chaudière-Appalaches (1 champ), deux en Montérégie-Ouest (2 champs) et quatre en Outaouais (2 champs). De nouvelles masses d’œufs ont été observées dans les deux champs de Sainte-Victoire-de-Sorel, semés avec des hybrides Bt Viptera et dépassant le seuil d’intervention. La plupart de ces masses d’œufs étaient écloses et quelques-unes étaient sur le point d’éclore. D’autre part, un champ présentant un nombre important de masses d’œufs dans le secteur de Mirabel a été rapporté au RAP Grandes cultures. Lors du dépistage, il est important Lire la suite
29 juillet 2016
- La carence en potassium chez le soya : diagnostic et correction.
15 juin 2021
Soya jaune en début de saison : les causes possibles
24 août 2023
Jaunissement du soya en fin de saison : sénescence normale ou problème phytosanitaire?
12 juillet 2024
Le nématode à kyste du soya
Grandes cultures, Avertissement No 13, 12 juillet 2024
12 juillet 2024
Nématode à kyste du soya : période idéale pour les symptômes au champ. Puceron du soya : le dépistage doit s'intensifier par endroits, populations faibles. Risques variables pour la pourriture à sclérotes. Fusariose de l'épi (blé de printemps) : peu de risque, sauf dans les champs plus tardifs. VGOH : faibles captures de papillons, planification du dépistage des masses d'oeufs et des larves. Chrysomèles des racines du maïs : cols d'oie et dommages. Cécidomyie du chou-fleur : stades sensibles dépassés. Le dépistage et le désherbage de mauvaises herbes en prérécolte et postrécolte des céréales d'automne.     NÉMATODE À KYSTE DU SOYA : JUILLET ET AOÛT, PÉRIODE IDÉALE POUR OBSERVER DES SYMPTÔMES AU CHAMP M.-E. Cuerrier1, A. Dionne2, H. Brassard1, T. Copley3, B. Duval1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (LEDP-MAPAQ); 3. Chercheuse (CÉROM) Le nématode à kyste du soya (NKS) est reconnu comme étant l’un des plus importants parasites de la culture du soya à travers le monde. Sa présence a été confirmée au Québec en 2013. Depuis cette confirmation, selon les dépistages réalisés par le RAP Grandes cultures, le nombre de champs aux prises avec le NKS augmente, de même que le niveau des populations dans les champs infestés (tableau). On en retrouve désormais dans toutes les principales régions productrices de soya au Québec, et même dans les régions périphériques. Depuis quelques années, les niveaux de populations de NKS sont suffisamment élevés pour causer des symptômes visibles dans certains champs. Un tel cas, montrant des zones affectées au champ (jaunissement et diminution de la vigueur des plants), a d’ailleurs récemment été rapporté au Centre-du-Québec.   Comment détecter des champs aux prises avec le NKS? Le NKS est un ver microscopique invisible à l’œil nu. Il endommage le système racinaire et utilise l’eau et les nutriments disponibles au détriment de la culture. Bien que la plupart du temps aucun Lire la suite
09 septembre 2015
- Jaunissement du soya en fin de saison : sénescence normale ou problème phytosanitaire?
Grandes cultures, Avertissement No 8, 18 juin 2020
18 juin 2020
Plusieurs cas de dommages causés par le ver-gris (Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches). Légionnaire uniponctuée : un autre insecte à surveiller. Canola : dépistage recommandé des altises, piégeage de la cécidomyie du chou-fleur et impact de la sécheresse. Jaunissement du soya : les causes possibles.   En raison de la crise de la COVID-19, le Québec pourrait faire face à une perturbation de son approvisionnement d’équipements de protection individuelle (EPI) au cours de l’été 2020, laquelle perturbation pourrait mener à une pénurie. En toute circonstance, le respect des étiquettes des pesticides et le port d’EPI approprié sont obligatoires (article 36 du Code de gestion des pesticides). La meilleure protection contre l’exposition aux pesticides est de porter un équipement de protection individuelle. Si vous n’êtes pas en mesure de vous procurer un EPI : Ne pas appliquer de pesticides sans les EPI appropriés. Assurez-vous de porter les protections prescrites sur l’étiquette. Si possible, retardez les applications jusqu’à l’obtention des bons EPI. Utilisez des produits à moindre risque pour la santé (consultez SAgE pesticides) pour connaître les IRS des produits) ou pensez aux solutions de rechange. Utilisez, s’il y a lieu, des pesticides qui pourraient être appliqués avec des EPI actuellement disponibles ou réutilisables, comme des gants lavables et réutilisables. Advenant un manque dans l’approvisionnement des EPI, veuillez contacter votre fédération régionale de l’UPA pour les informer de la situation. Des démarches sont en cours pour assurer la disponibilité des équipements.     PLUSIEURS CAS DE DOMMAGES CAUSÉS PAR DES VERS-GRIS DANS LES RÉGIONS DE LA CAPITALE-NATIONALE ET DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les papillons Le RAP a été informé de plusieurs champs très endommagés par des vers-gris. Le premier est une prairie, située à Saint-Jean-Port-Joli (Chaudière-Appalaches), dans laquelle des Lire la suite
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