Carottes
Céleris (Montérégie-Ouest)
Pour plus de détails sur la biologie et la stratégie d’intervention contre la mouche de la carotte, consultez les pages 2 et 3 de l’avertissement N° 14 du 11 août 2005.
Autres insectes dans la carotte et le panais
Autres insectes dans le céleri en Montérégie-Ouest
MALADIES
Dans le céleri, les symptômes de brûlure cercosporéenne sont stables et ne justifient que rarement une intervention.
Autres maladies dans la carotte et le panais
DÉSORDRES
Les applications de bore se poursuivent afin de freiner la gerçure du pétiole (carence en bore) au point de croissance du céleri-branche et de prévenir le cœur creux dans le céleri-rave. Pour plus de détails sur les symptômes de gerçure du pétiole, les causes et les traitements, consultez les pages 2 et 3 de l’avertissement N° 6 du 12 juin 2008.
DERNIER RAPPEL : CULTURES DE COUVERTURE
Plus la saison avance, plus le choix des cultures de couverture (couvre-sol) diminue. Pourtant, celles-ci jouent plusieurs rôles importants, dont la protection contre les érosions hydrique et éolienne, surtout en terre noire. Cette pratique permet aussi d’accumuler les éléments nutritifs qui seraient autrement perdus par lessivage, dont l’azote, et d’accroître la biodiversité et l’activité biologique du sol. Les cultures de couverture jouent ainsi un rôle dans la gestion des mauvaises herbes et la lutte contre les agents pathogènes du sol.
Pour plus d'information
- Intégration des cultures de couverture en maraîchage de terre noire
- Cultures de couverture - Les pratiques agricoles de conservation : Habiter le sol par les racines
- Guide des cultures de couverture en grandes cultures
- Aide financière par le MAPAQ : Prime-Vert – Volet 1 Interventions en agroenvironnement par une entreprise agricole (sélectionnez ensuite « Pratiques de conservation des sols »).
Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) repose sur un vaste réseau de conseillers agricoles qui acceptent généreusement de mettre leur expertise au service de la collectivité et de fournir des données. Les principales personnes ayant collaboré cette année au réseau Carotte et céleri sont présentées dans les deux listes qui suivent. La première présente les collaborateurs et collaboratrices qui ont fourni des informations en lien avec le dépistage des cultures, tandis que la seconde présente ceux et celles qui ont participé au réseau de piégeage de la mouche de la carotte.
Organisme | Nom |
Bio-Action | Charlotte Coutin-Beaulieu |
Club agroenvironnemental de l'Estrie | Maggie Bolduc |
Club Agroenvirotech | Anne Leblond |
Club Durasol Drummond inc. | Julie Street |
Club Les Productions Écolo-Max | François Demers |
DG Agri-Consultants | Danielle Gardner, Mélanie Thériault, Camille Dumont et Jade Gardner-Poulain |
Innovterra Services Conseils | Amélie Lachapelle |
Pr'Eau maraîcher conseil inc. | Karine Mayer, Amélie Laporte et Katy Gaudreault |
PRISME | Katie Blondeau, Roxanne Letendre, Alejandro Polanco, Carlos Restrepo et Samuel Tremblay |
Réseau de lutte intégrée de Bellechasse | Denis Giroux |
Réseau de lutte intégrée Orléans | Patrice Thibault |
Services-conseils Profiteausol | Michaël Pelletier, Catherine Beaulieu et Laurianne Ladouceur |
Collaborateurs au réseau de piégeage de la mouche de la carotte :
Organisme | Nom |
Club Les Productions Écolo-Max | François Demers |
Groupe multiconseil agricole Saguenay-Lac-Saint-Jean | Audrey Laroche |
MAPAQ | Valérie Côté, Jacques Gagnon, Mélissa Gagnon, Jenny Leblanc, Julie Marcoux, Dominique Martin, Joëlle Ouellet et Robert Robitaille |
Réseau de lutte intégrée de Bellechasse | Denis Giroux |
Parmi les autres personnes qui collaborent à ce réseau, il est aussi important de mentionner :
- Les producteurs, membres de clubs ou non, qui acceptent généreusement que l’on recueille de l’information sur leur ferme.
- Le personnel du Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) (phytopathologie et entomologie) du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), dont l’expertise est essentielle pour l’identification précise des différents problèmes observés dans les cultures.
Donc, nos plus sincères remerciements à tous!
Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures et la réduction des pesticides et de leurs risques.
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