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Fiers de diffuser leur expertise
06 septembre 2024
Le développement de projets de serres connait un essor sans précédent dans les régions nordiques du Québec (Société du Plan Nord 2021). Le projet de laboratoire nordique est né de la volonté de conduire des recherches qui viennent répondre aux enjeux auxquels les communautés nordiques sont confrontées dans la conception,
la mise en place et la pérennité de leurs initiatives agroalimentaires. Cette collaboration a débuté avec des projets d’élaboration ou de l’amélioration de projets de serre des communautés de Kuujjuaq, Radisson et Matagami avec des chercheuses et chercheurs du Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA) du Cégep de Victoriaville et de l’École de technologie supérieure (ÉTS). Ces collaborations ont mené à la conception du projet de prototype de laboratoire nordique (avril 2022-mars 2024) coordonné par le CISA, en collaboration avec le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+) et l’ÉTS, ainsi qu’une vingtaine de partenaires dans les régions du Nord-du-Québec et de la Côte-Nord. Le projet a rapidement évolué vers deux directions complémentaires : • La première fut de soutenir des partenariats entre les organismes de recherche et de transfert technologique avec les organismes porteurs de projets agroalimentaires. Ces partenariats ont permis de renforcer les capacités locales par de l’accompagnement technique et organisationnel dans le domaine de l’agriculture. • La deuxième consistait à créer des opportunités de réseautage entre les différents acteurs impliqués dans les systèmes alimentaires des différentes régions nordiques du Québec afin de briser les silos et réduire l’impact les distances. Ces deux directions se rejoignent dans le présent rapport sous la forme d'une collection de fiches à destination des porteuses et porteurs de projets agroalimentaires actuels ou futurs, afin d’alimenter leur réflexion. Consultez et téléchargez le rapport complet Téléchargez la fiche synthèse du projet 2022-2024,
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04 juillet 2024
Cladosporiose dans le concombre. Prévention du mildiou dans les serres de tomates. CLADOSPORIOSE DANS LE CONCOMBRE À chaque année, à compter du début mai, des cas de cladosporiose (gale) sont dépistés dans les serres de concombre, principalement chez les petits producteurs maraîchers qui cultivent en régie biologique.
Cette maladie, causée par le champignon Cladosporium cucumerinum, est une des nombreuses maladies qui affecte le concombre, mais est réputée absente ou presque chez les plus gros producteurs et chez les producteurs qui cultivent sous régie conventionnelle. La gale est une maladie fréquente, mais mineure chez les cucurbitacées. Certaines cultures sont plus sensibles (p. ex. melons et courges d’été) tandis que le concombre compte de nombreuses variétés résistantes. On ne devrait donc pas retrouver de cas de gale dans le concombre cultivé en serre lorsqu’on utilise des cultivars réputés résistants. Exemples de cultivars de concombres libanais résistants à Cladosporium cucumerinum, caractérisés par l'abréviation « Ccu » Source : Capture d'écran du site Web de Rijk Zwaan Exemples de cultivars de concombres libanais résistants à Cladosporium cucumerinum, caractérisés par l'abréviation « Ccu » Source : Capture d'écran du site Web de Enza Zaden Sur les feuilles, les symptômes sont caractérisés par la présence de taches vitreuses blanchâtres à grisâtres, de forme plus ou moins angulaire. Un halo jaune entoure les taches. Chez le concombre cultivé en serre, le centre de la tache tombe rarement, ce qui donnerait un aspect criblé à la feuille. Ultimement, la feuille sera gravement atteinte et devra être retirée. La gale entraîne une baisse de productivité rapide par la défoliation qu’elle entraîne. Symptômes suspectés de Cladosporium cucumerinum sur des feuilles de concombre Photo : RAP Cultures maraîchères et fruitières en serre Symptômes suspectés de Cladosporium cucumerinum sur des feuilles de
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01 mai 2024
L’outil d’analyse de sensibilité d’un emprunt est un fichier Excel qui permet, à partir de la saisie de trois données, de connaître l’incidence de différents taux d’intérêt et de différentes durées sur un emprunt. On peut ainsi examiner rapidement chaque scénario possible sans avoir à faire de calculs.
15 mars 2024
MISE EN GARDE BIEN QU’IL NE SOIT PAS PERMIS D’UTILISER L’HYPOCHLORITE DE SODIUM À LA CONCENTRATION RECOMMANDÉE DANS LE PRÉSENT PROTOCOLE POUR LE TRAITEMENT DES SEMENCES EN RÉGIE BIOLOGIQUE, UNE DÉROGATION DU CONSEIL DES APPELLATIONS RÉSERVÉES ET DES TERMES VALORISANTS (CARTV) A ÉTÉ ACCORDÉE POUR LES SAISONS DE CULTURE 2024
ET 2025. LE TRAITEMENT EST DONC AUTORISÉ POUR LES DÉTENTEURS D’UNE CERTIFICATION BIOLOGIQUE EN RESPECTANT LE PRÉSENT PROTOCOLE, POUR PRÉVENIR LE VIRUS DU FRUIT RUGUEUX BRUN DE LA TOMATE (TOBRFV) DANS LES TOMATES. CETTE DÉROGATION EST UNIQUEMENT APPLICABLE SUR LE TERRITOIRE DU QUÉBEC. Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) a été détecté pour la première fois en 2014, en Israël. Depuis, le virus a été trouvé dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie. Le ToBRFV peut considérablement réduire la productivité des cultures de tomate et la qualité marchande des fruits. Au Québec, sa présence a été confirmée pour la première fois en 2021, dans des serres de tomate. Le ToBRFV fait partie de la famille des Tobamovirus reconnus pour être hautement transmissibles par contact. Bien qu’inoffensif pour l'humain, il cause des pertes de rendement considérables sur les plants et les fruits. Même à l'extérieur de la plante-hôte, ce virus est persistant longtemps dans l'environnement, ce qui le rend difficile à éradiquer et a souvent pour conséquence la cession de la production de tomates sur un site, et ce, pour plusieurs années. Le virus peut se transmettre par les semences. Or il n’existe aucune certification, à ce jour, qui garantit l'absence de virus au niveau des lots de semences achetés. D'ailleurs, des chercheurs italiens ont détecté la présence du virus dans plusieurs lots testés de nombreux semenciers. Des études récentes ont démontré l'efficacité d'un trempage de semences, dans une solution d’hypochlorite de sodium (2,5 %), pour éradiquer le virus. Une solution d'eau de Javel aurait donc la capacité d'éradiquer le virus qui se
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05 mars 2024
Prévention du mildiou dans les serres de tomates. Information sur les mélanges de produits à base de savons ou d’huiles avec du soufre. PRÉVENTION DU MILDIOU DANS LES SERRES DE TOMATES En 2023, plusieurs cas de mildiou, maladie causée par Phytophthora infestans, ont été recensés au Québec. Ces cas ont été retrouvés
majoritairement dans des cultures de tomates et de pommes de terre. Dans la tomate, la maladie a été diagnostiquée autant dans les champs que de cultures abritées (tunnels et serres). Symptômes de mildiou sur un fruit Photo : Climax Conseils. SENCRL Symptômes de mildiou sur un fruit Photo : INRA Symptômes de mildiou sur des feuilles Photo : Riva Khanna, agr. (MAPAQ) Symptômes de mildiou sur une tige Photo : Climax Conseils, SENCRL Le mildiou est une maladie extrêmement destructrice et plusieurs efforts sont déployés chaque année pour détecter son apparition et surveiller sa progression. Les échantillons trouvés lors des années où la maladie était présente sont analysés par le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) pour, entre autres, déterminer le génotype présent. En 2023, c'est le génotype US-23 qui a été trouvé dans presque tous les échantillons analysés. En 2016, Frost et al. ont démontré que la vigueur des génotypes de Phytophthora infestans normalement retrouvés lors d’épisodes de mildiou (US-22 et US-24) diminuait avec l'augmentation de l'exposition aux températures froides. Toutefois, le génotype US-23 a survécu plus longtemps à des températures de 4 et -3 °C que les génotypes US-22 ou US-24. Cela veut dire que des tissus infectés en 2023 par cet oomycète, et qui ont été enfouis ou laissés dans la serre, pourraient être encore viables en 2024. En effet, des campagnes de mesures de températures en serres non chauffées ont démontré que les températures de sol dans des serres individuelles non chauffées et faiblement isolées restent relativement élevées. Cela veut dire que du mycélium pourrait survivre, par
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