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Cultures ornementales en serre, Avertissement No 14, 8 octobre 2024
08 octobre 2024
Ennemis des cultures dans les arrivages de plantes tropicales. Suivi des ravageurs du poinsettia.   ENNEMIS DANS LES ARRIVAGES DE PLANTES TROPICALES   Nos collaborateurs ont observé une diversité de ravageurs dans des plantes tropicales livrées récemment, notamment en provenance de la Floride. À leur arrivée, mettre les plantes tropicales en quarantaine et procéder à un dépistage attentif. La présence de tétranyques à deux points (Tetranychus urticae) a été détectée dans des Hibiscus, des crotons (Codiaeum) et des oiseaux du paradis (Strelizia). Le thrips du figuier (Gynaikothrips uzeli) a été trouvé dans un arrivage de Ficus benjamina. Ils causent des taches foliaires et l’enroulement des feuilles des figuiers. Il en avait été question dans l’avertissement N° 5 du 28 mars 2023. Thrips parvispinus a été observé dans des plants de Hoya, de Mandevilla et de Schefflera. Une population de thrips de l’impatiens (Echinothrips americanus) se trouvait dans des arrivages de Calathea et d’Alocasia. Des cochenilles farineuses étaient présentes dans des arrivages de goyaviers (Psidium guajava). La présence de l’aleurode du figuier (Singhiella simplex) a été détectée dans des caoutchoucs (Ficus elastica). Voir la fiche Ficus whitefly de l’Université de Floride (en anglais) pour en apprendre plus sur ce ravageur.   RAVAGEURS DU POINSETTIA   Dommages du tétranyque de Lewis sur des feuilles de poinsettia Photo : IQDHO Le tétranyque de Lewis (Eotetranychus lewisi) est encore observé par nos collaborateurs. Les populations sont faibles, mais semblent difficiles à contrôler par les insecticides conventionnels et biologiques. La surveillance est de mise. Le retrait des plants fortement atteints est recommandé. L’aleurode du tabac (Bemisia tabaci) est bien contrôlé en général; on nous rapporte un contrôle satisfaisant autant par la lutte biologique que conventionnelle.    POUR PLUS D'INFORMATION    Fiche technique : Poinsettia Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 13, 10 septembre 2024
10 septembre 2024
Thrips parvispinus dans les plantes tropicales. Suivi des ravageurs du poinsettia.   THRIPS PARVISPINUS   Thrips parvispinus a été observé dans plusieurs espèces de plantes tropicales en serre, dont Gardenia, Schefflera, Passiflora et Adenium. Malgré la présence de peu d’individus détectables, les dommages sont importants, particulièrement aux apex des plants. La taille des végétaux affectés est parfois nécessaire, afin de les rendre vendables à nouveau. Selon une récente étude américaine, les insecticides à base d’huile minérale ou de spinosad sont parmi les plus efficaces contre cet insecte.   Dommages de Thrips parvispinus sur Schefflera sp. Photo : IQDHO Dommages de Thrips parvispinus sur Schefflera sp. Photo : IQDHO   RAVAGEURS DU POINSETTIA   La vigilance est aussi de mise quant à Thrips parvispinus dans la culture du poinsettia. En effet, la spécialiste de l’Ontario, Sarah Jandricic, a publié un texte au sujet d'un cas où Thrips parvispinus se serait introduit dans les serres de poinsettia via des plantes tropicales, causant des dommages (voir). Des cas suspects non confirmés ont été aperçus au Québec. Les entreprises qui hébergent à la fois des plantes tropicales et des poinsettias devraient donc éviter de les placer dans des serres communes. Si c’est déjà fait, ouvrir l’œil pour détecter les symptômes. Consulter un agronome ou envoyer des échantillons au Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ pour une identification. Le tétranyque de Lewis (Eotetranychus lewisi) est encore observé occasionnellement par nos collaborateurs. Les populations sont faibles, mais des interventions locales sont recommandées, ainsi qu’un dépistage rigoureux et régulier. L’aleurode du tabac (Bemisia tabaci) est présent dans plusieurs serres de poinsettia. À ce jour, on nous rapporte un contrôle satisfaisant autant par la lutte biologique que conventionnelle. Le décompte hebdomadaire sur des pièges Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 7, 12 avril 2023
12 avril 2023
Ravageurs présents dans certains arrivages : aleurodes, cochenilles, pucerons, tarsonème trapu, tétranyque à deux points et thrips. Maladies détectées dans des arrivages : Alternaria, blanc, dépérissement et virus.    DÉPISTAGE DES ARRIVAGES   Ravageurs Cochenilles farineuses sous des feuilles de jasmin Photo : IQDHO   Aleurodes dépistés dans des arrivages d’Hibiscus et de Schefflera. Cochenilles farineuses présentes dans des plants de Cyperus, de jasmin et de palmiers livrés la semaine dernière. Pucerons dépistés en grande quantité dans des arrivages de Canna, de Dahlia, d’Hibiscus, de Muehlenbeckia, de pensées et de Salvia. Tarsonèmes trapus présents dans des arrivages de Begonia et de Crossandra. étranyques à deux points présents dans des arrivages de Canna, d’Ensete et de Xanthosoma. Abondants dans des arrivages de Cordyline, de Ficus, d’Hibiscus et de Pachira.   Thrips présents dans des arrivages de Lobelia et de Cordyline. Abondants dans des arrivages de Calibrachoa et de Verbena. Echinothrips dépistés dans des arrivages de Colocasia. Thrips du figuier dépistés en grand nombre sur des arrivages de Ficus. Maladies et désordres INSV (Impatiens necrotic spot virus - Virus de la tache nécrotique de l'impatiente) affectant Lobelia Photo : IQDHO Alternaria détecté avec beaucoup de symptômes sur des arrivages d’Haworthia. Blanc présent sur des arrivages de Calibrachoa et de Begonia. Dépérissement important observé dans plusieurs arrivages de Petunia. Divers symptômes sont observés, dont une croissance faible, et dans certains cas une apparence de virose. Différents virus soupçonnés dans des arrivages de Canna, de Lobelia et d’impatientes de Nouvelle-Guinée.    Fiche technique : Virus de la tache nécrotique de l’impatiente (INSV) Fiche technique :  Virus de la mosaïque du tabac (TMV) POUR PLUS D'INFORMATION   Les pesticides Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 6, 4 avril 2023
03 avril 2023
Ravageurs présents dans certains arrivages : aleurodes, cochenilles, pucerons, tarsonème trapu, tétranyque à deux points et thrips. Dans les végétaux en culture, les populations de pucerons sont difficiles à contrôler.      DÉPISTAGE DES ARRIVAGES   Aleurodes dépistés dans des arrivages de Lantana. Cochenilles farineuses présentes dans des plants d’Alocasia, de Cyperus et de Pilea, mais aussi dans des boutures de romarin livrées la semaine dernière. Pucerons dépistés dans des arrivages de Calibrachoa, Alstromoeria, Duranta, Salvia, Homocladium, Pericallis et Celosia. Ils étaient nombreux dans des Calibrachoa et les Vinca. Des pucerons ont aussi été vus dans des arrivages de plantes vivaces : Doronicum, Aster, Clematis, et en grande quantité dans des Viola (pensées), Tarsonèmes trapus présents dans des arrivages d’Hedera helix. étranyques à deux points présents dans des arrivages de Citrus, Dracaena, Cordyline, Xanthosoma. Thrips nombreux dans des arrivages de Cyperus. Thrips parvispinus (Karny), an emerging invasive and regulated pest in the United States Echinothrips, ont été dépistés dans des arrivages de Begonia et de Peperomia. DÉPISTAGE DES CULTURES EN CROISSANCE DANS LES SERRES Pucerons Puceron de la pomme de terre (Macrosiphum euphorbiae) Photo : LEDP (MAPAQ)   Plusieurs collaborateurs nous ont rapporté que les producteurs ont de la difficulté à contrôler les populations de pucerons, notamment le puceron de la pomme de terre. Il est possible d'être en présence d'individus résistants aux insecticides. Si vous devez intervenir: Assurez-vous d’alterner les groupes de résistance (groupes chimiques) et de respecter le nombre maximal d’application par cycle de culture. Intégrez à la rotation des produits qui sont peu sujets au développement de résistance chez les insectes, comme des bio-insecticides (Ex : Beauveria bassiana, sels de potassium d’acides gras, Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 5, 28 mars 2023
28 mars 2023
Ravageurs présents dans certains arrivages : cochenilles, pucerons, tarsonème trapu, tétranyque à deux points et thrips. Aleurodes, thrips exotique et autres ravageurs dépistés dans des arrivages de plantes tropicales. Dans les végétaux en culture, les populations de thrips augmentent et la pourriture racinaire est présente.      DÉPISTAGE DES ARRIVAGES   Cochenilles farineuses présentes dans des plants de Canna issus de rhizomes livrés la semaine dernière. Pucerons dépistés dans des arrivages de Carex, de Dahlia, d’Eucalyptus et de Stipa. Ils étaient nombreux dans de jeunes plants de Duranta. Tarsonèmes trapus présents dans des arrivages d’impatiens de Nouvelle-Guinée. étranyques à deux points dépistés en grand nombre dans des arrivages de Dracaena. Thrips présents dans des arrivages d’Alocasia, de Bacopa, de Canna, de Colocasia, de Cuphea, de fraisiers, d’Ipomoea, de Lobularia, de Melianthus, de Nemesia et de Solanum (étoile de Bethléem). Blanc détecté dans des arrivages de Dahlia. Mildiou observé dans des plantules d’Alyssum et des plateaux de Plectranthus (coléus) livrés récemment. Berkeleyomyces) affecte fortement des plateaux de Calibrachoa livrés en mauvais état. Plantules de Calibrachoa probablement affectées par Berkeleyomyces basicola. Photo : IQDHO ARRIVAGES DE PLANTES TROPICALES Plusieurs producteurs reçoivent actuellement des plantes tropicales pour compléter leur offre de produits pour la revente. Ces végétaux proviennent notamment de la Floride. Comme c’est souvent le cas année après année, on observe un grand nombre de ravageurs dans ces arrivages. Nos collaborateurs ont observé une grande quantité d’aleurodes dans des Hibiscus fraîchement livrés, qui abritaient aussi des tétranyques, des pucerons et des thrips. Des Schefflera arboricola transportant des quantités importantes de pucerons ont aussi été livrés chez quelques producteurs. Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 9, 14 octobre 2021
14 octobre 2021
État de la situation des cultures de poinsettias en serre : présence modérée d’aleurodes du tabac et de tétranyques de Lewis affectant certains cultivars.     ALEURODE DU TABAC (BEMISIA TABACI)   Dans les cultures de poinsettias, les populations d’aleurodes sont encore bien contrôlées selon nos collaborateurs. La lutte conventionnelle, la lutte biologique et la lutte intégrée ont donné de bons résultats jusqu’à maintenant, dans les entreprises visitées.   Rappel Il est possible de vérifier si le contrôle de Bemisia tabaci est efficace et prometteur pour la fin de la culture du poinsettia, et ce, en utilisant une méthode développée par Graeme Murphy et publiée par Sarah Jandricic, du ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l'Ontario (MAAARO) :   Vérifier 15 à 20 plants par table, sur au moins 50 % des tables des serres. Noter la présence ou l’absence d’adultes, de larves ou de pupes de Bemisia tabaci en observant le dessous des feuilles, en soulevant les pots au-dessus des yeux. Additionner le nombre de plants infestés (présence de Bemisia tabaci), diviser par le nombre total de plants dépistés et multiplier par 100 pour obtenir un pourcentage. À cette période de la production (1er octobre), si le taux de plants infestés est de plus de 20 %, la lutte biologique en place ne suffirait pas à assurer un contrôle suffisant jusqu’à la fin de la saison. On pourrait alors envisager une intervention avec des insecticides. Si le taux de 20 % est atteint en novembre, on propose de maintenir la lutte biologique jusqu’à la fin de la production, mais un traitement insecticide pourra être envisagé en prévision de la vente.   Forte population d'aleurodes du tabac (Bemisia tabaci) dans le poinsettia Photo: IQDHO En lutte conventionnelle, il est aussi important de faire un suivi des populations pour vérifier l’efficacité des traitements et la nécessité d’intervenir. L’emploi Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 10, 29 septembre 2020
29 septembre 2020
État de la situation des cultures du poinsettia en serre : présence de l’aleurode du tabac en nombre variable selon les entreprises. Période propice à l’apparition de maladies racinaires.   CONTRÔLE DES ALEURODES DU TABAC (Bemisia tabaci) L’aleurode est présent dans les cultures de poinsettias. De façon générale, selon nos observateurs, les populations sont encore bien contrôlées par la lutte intégrée, en lutte conventionnelle, et par la lutte biologique dans les serres visitées. Stratégie face à la résistance aux insecticides Bemisia tabaci de souche Q, généralement présent dans la culture du poinsettia, est résistant à de nombreuses matières actives. En effet, certains pesticides chimiques vont éliminer tous les Bemisia sensibles (souche B), alors que les Bemisia résistants (souche Q) vont survivre et continuer de se reproduire. En fin de saison, il pourrait alors être impossible de les éliminer avant la vente.   En retardant la lutte chimique, par exemple en utilisant la lutte biologique, on laisse la souche B constituer une plus grande proportion de la population. Les aleurodes de cette souche seront plus faciles à éliminer par des traitements chimiques en dernier recours, à la fin de la saison.   Aleurode du tabac sur poinsettia Photo : IQDHO Calcul – Poursuivre la lutte biologique ou traiter Il est possible d’estimer si le contrôle de Bemisia sera efficace jusqu’à la fin de la saison de culture du poinsettia en utilisant une méthode rapide publiée par Sarah Jandricic (MAAAR Ontario) :   Inspecter 15 à 20 plants par table, sur au moins 50 % des tables des serres. Noter la présence ou l’absence d’adultes, de larves ou de pupes de Bemisia en observant le dessous des feuilles, en soulevant les pots au-dessus des yeux. Additionner le nombre de plants infestés (présence de Bemisia), diviser par le nombre total de plants dépistés et multiplier par 100 pour obtenir un pourcentage. À cette période de la production (1er octobre), Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 9, 24 juillet 2020
04 août 2020
État de la situation des cultures de poinsettia en serre. Réception des boutures : irrigation raisonnée en période de chaleur intense et rappels de prévention et de bonnes pratiques.     GESTION DE L’IRRIGATION EN PÉRIODE DE CANICULE Il pourrait être tentant d’irriguer abondamment et à répétition, par temps très chaud et ensoleillé, les jeunes plants fraîchement empotés. Toutefois, il faut éviter de saturer le sol d’eau afin de prévenir les maladies racinaires et la prolifération de sciarides. Optez plutôt pour une brumisation régulière du feuillage qui laissera de l’oxygène dans le terreau, favorisant ainsi le développement des racines.   Aleurode (Bemisia tabaci) sur poinsettia Photo : IQDHO Plateau de boutures de poinsettia Photo : IQDHO OPÉRATIONS PRÉVENTIVES  Planifier la lutte biologique Effectuez un bon dépistage dès la réception. L’aleurode est le ravageur à contrôler en priorité. La résistance de la souche Q de Bemisia tabaci aux pesticides est bien connue. La lutte biologique constitue une stratégie à privilégier pour contourner ce problème. Prévoir l’utilisation de parasitoïdes des aleurodes comme Encarsia formosa et Eretmocerus mundus. D’autres ravageurs sont à surveiller tout au long de la culture. Dans les serres qui sont ventilées par des côtés ouvrants, des bandes collantes jaunes peuvent être installées près de ces entrées d’air afin d’intercepter des insectes comme les thrips et les cicadelles provenant de l’extérieur. Ces bandes collantes peuvent aussi contribuer à baisser la population d’aleurodes. En cours de culture, on dépistera notamment les tétranyques et les thrips afin d’effectuer les introductions de prédateurs requis.   Premiers traitements Il est possible que des pesticides chimiques aient été utilisés par les multiplicateurs et nuisent à la survie des auxiliaires. On peut attendre quelques semaines avant de les introduire, et contrôler les aleurodes par l’emploi d’insecticides à faible toxicité, par exemple Lire la suite
01 octobre 2019
État de la situation des cultures de poinsettias en serre Présence modérée d’aleurodes du tabac.
14 mars 2023
Aleurode des serres et aleurode du tabac
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