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Grandes cultures, Avertissement No 11, 7 juillet 2023
07 juillet 2023
Sclérotiniose (soya) : risques, efficacité des fongicides. Charançon de la silique : abondance en Chaudière-Appalaches et en Abitibi-Témiscamingue. Cols d'oie (maïs) : dépister les chrysomèles des racines et évaluer les dommages. Effets de la grêle (maïs et soya). Tache brune dans le soya. Herbicides : attention au stade du soya.     SOYA : RISQUES DE SCLÉROTINIOSE ET EFFICACITÉ DES TRAITEMENTS FONGICIDES Y. Faucher1, T. Copley2 et Y. Dion1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) État de la situation du risque de la maladie Dans certaines régions, le soya entre en floraison. La floraison (R1 à R3) est la période critique pour l’infection par Sclerotinia sclerotiorum, causant la sclérotiniose (pourriture à sclérotes). Toutefois, le risque réel dépend des conditions spécifiques du champ, de l’état de la culture et des conditions agroenvironnementales. Les suivis et dépistages les plus récents de sclérotes, au cours de la dernière semaine, dans 28 champs de soya repartis à travers la province (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) indiquent jusqu’à maintenant de rares développements d’apothécies. Des observations sur le développement d’apothécies ont été notées seulement à deux sites, soit un en Montérégie-Ouest et un autre dans la Capitale-Nationale. Les apothécies sont les structures du champignon qui produisent les spores causant la pourriture à sclérotes. Les modèles prévisionnels québécois développés au CÉROM indiquent des risques moyens ou élevés de développement d’apothécies dans plusieurs régions. Cependant, le risque de développement de la maladie dépend aussi de la capacité des spores du champignon à infecter la plante. Plusieurs conditions doivent être réunies pour le développement de la maladie. L'avertissement N° 10 du 4 juillet dernier présente les facteurs de risque à prendre en compte pour évaluer le risque Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 17, 7 août 2020
07 août 2020
Des « cols d’oie » dans les champs de maïs (chrysomèle des racines du maïs). Ver-gris occidental des haricots dans le maïs : hausse des captures de papillons, le dépistage des masses d’œufs se poursuit. Tétranyques à deux points (soya). Puceron du soya : vigilance recommandée pour les champs sous le stade R5.   PRÉSENCE DE « COLS D’OIE » DANS LES CHAMPS DE MAÏS Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les ravageurs des semis   Deux types de dommages causés par la chrysomèle des racines du maïs peuvent être observés présentement dans les champs de maïs : des cols d’oie et des soies coupées. Lorsque des plants de maïs en forme de cols d’oie sont observés, la chrysomèle des racines du maïs est souvent suspectée d'en être la cause; l’alimentation des larves de ce ravageur sur les racines provoque ce symptôme. Cependant, d’autres causes sont possibles (fort vent, dommage d’herbicide, etc.). Pour en savoir plus, consultez le bulletin Plants de maïs en forme de « cols d'oie » : les causes possibles. Il existe une méthode d’évaluation des dommages aux racines permettant d’évaluer l’impact des larves de chrysomèle des racines du maïs sur la culture. La méthode d’évaluation est basée sur une échelle de 0 (aucun dommage) à 3 (3 nœuds racinaires ou plus sont affectés). Sur ce point, veuillez vous référer à la figure 1 et à la photo 1. Essentiellement, il s’agit de recenser le nombre de nœuds totalement endommagés et celui des nœuds partiellement mangés par les larves. Par exemple, une cote de 1,5 correspond à un nœud dont toutes les racines ont été sévèrement attaquées, et à un deuxième dont la moitié est affectée. Il existe un outil interactif développé aux États-Unis pour aider à cette évaluation (gratuit, en anglais). En Illinois, des chercheurs ont observé qu’à partir d’une cote de 0,25, des dommages économiques peuvent commencer à être observés et qu’une perte de rendement de 15 % doit être attendue pour chaque nœud grugé par les larves. Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 28 juillet 2023
28 juillet 2023
Risques pour la sclérotiniose du soya. Faible augmentation du puceron du soya. VGOH : augmentation des captures et masses d'oeufs observées. Amarante tuberculée : dépistage et arrachage. Maladies, mycotoxines et fongicides dans le maïs. Dépistage des chrysomèles des racines du maïs. Préserver la qualité des grains des céréales.   SCLÉROTINIOSE DU SOYA : QUEL RISQUE?  Y. Dion1, T. Copley2, Y. Faucher1, S. Mathieu1 et J. Breault1    1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Dans l’ensemble des régions, le soya est en floraison (R1 à R3) et il s’agit de la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Les conditions sont généralement favorables au développement de spores infectieuses, mais la situation n’est pas simple. Le risque d’infection varie selon les conditions spécifiques du champ en culture. Alors, quel est le risque et comment prendre en compte la situation? Les précipitations et les conditions humides observées depuis les dernières semaines induisent un risque pour la pourriture à sclérotes. Aussi, les températures plus fraîches prévues dès le samedi 29 juillet et la semaine suivante peuvent favoriser le développement des spores infectieuses et l’infection du soya s’il est aux stades critiques d’infection (R1 à R3). Les observations les plus récentes, de 30 sites de dépistage (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) montrent le développement d’apothécies à 9 sites. Voir l'état des observations sur les sites. Dans le tableau des observations, les lignes grisées montrent les données de la semaine du 23 juillet. Le développement des apothécies n’est pas aussi important que les conditions (précipitations, humidité, fermeture des rangs) laissaient présager. Les températures élevées ainsi que la saturation en eau des sols ont pu nuire au champignon et pourraient expliquer le Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 18, 12 août 2022
12 août 2022
Ver-gris occidental du haricot : augmentation des captures, dépistage des masses d'oeufs recommandé. Puceron du soya : diminution des populations, dépistage recommandé dans les champs n'ayant pas atteint le stade R5. Verse du maïs : causes possibles. Chrysomèle des racines du maïs : cols d'oie observés. Syndrome de la mort subite : deux cas en Montérégie. Carence en potassium dans le soya : jusqu'à quand peut-on intervenir? Taches mauves ou brunes à la base des feuilles de maïs : pas d'inquiétude à avoir.   VER-GRIS OCCIDENTAL DU HARICOT : LES CAPTURES DE PAPILLONS CONTINUENT D’AUGMENTER DÉPISTAGE DES MASSES D’OEUFS RECOMMANDÉ DANS LES CHAMPS À RISQUE M. Neau 1, J. Saguez 2, J. Breault 3 et B. Duval 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Les captures de papillons du ver-gris occidental du haricot (VGOH) ont continué d’augmenter dans la quasi-totalité des régions au Québec. C’est la première année, depuis le début du suivi de cet insecte en 2010, que la moyenne provinciale dépasse 200 papillons par piège. Rappelons toutefois que ce n’est pas le nombre de papillons qui justifie ou non une intervention phytosanitaire, mais bien le pourcentage de plants infestés par des masses d’œufs ou de jeunes larves.   Dans le cadre du RAP Grandes cultures, sur 33 champs dépistés cette semaine, sept masses d’œufs ont été observées dans cinq champs : une en Chaudière-Appalaches (1 champ), deux en Montérégie-Ouest (2 champs) et quatre en Outaouais (2 champs). De nouvelles masses d’œufs ont été observées dans les deux champs de Sainte-Victoire-de-Sorel, semés avec des hybrides Bt Viptera et dépassant le seuil d’intervention. La plupart de ces masses d’œufs étaient écloses et quelques-unes étaient sur le point d’éclore. D’autre part, un champ présentant un nombre important de masses d’œufs dans le secteur de Mirabel a été rapporté au RAP Grandes cultures. Lors du dépistage, il est important Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 12, 14 juillet 2023
14 juillet 2023
Soya : risque de la pourriture à sclérotes. Pucerons du soya : populations loin du seuil d'alerte. Champs de céréales et de maïs versés. Cultures inondées. Cécidomyies du chou-fleur : la période à risque pour le canola tire à sa fin. Méligèthe des crucifères : des populations sous les seuils d'intervention.   SOYA : RISQUE POUR LA POURRITURE À SCLÉROTES Y. Faucher1, T. Copley2, S. Mathieu1 et V. Samson1   1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) État de la situation du risque de la maladie Dans certaines régions, le soya entre en floraison ou est au stade R2 (pleine floraison). La floraison (R1 à R3) est la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Le risque réel varie d’une région et d’un champ à l’autre selon les facteurs de risque spécifiques du champ et les conditions agroenvironnementales. Les suivis et dépistages de sclérotes réalisés au cours des deux dernières semaines, dans 28 champs de soya répartis à travers la province (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) indiquent la présence d’apothécies dans trois champs, soit en Capitale-Nationale, en Montérégie-Ouest (région de Sainte-Barbe) et au Centre-du-Québec. Les apothécies sont les structures du champignon qui produisent les spores causant la pourriture à sclérotes. Les modèles prévisionnels québécois développés au Centre de recherche sur les grains (CÉROM) indiquent des risques moyens à élevés de développement d’apothécies dans plusieurs régions. Cependant, le risque de développement de la maladie implique qu’il ait un historique de la maladie au champ, que le soya soit en floraison, que le sol soit humide et que la variété soit sensible. L’avertissement N° 10 du 4 juillet 2023 présente les facteurs de risque à prendre à compte pour évaluer le risque réel du développement de la maladie. Dans les cas où les conditions favorisant le développement Lire la suite
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