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Grandes cultures, Avertissement No 13, 12 juillet 2024

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12 juillet 2024
Nématode à kyste du soya : période idéale pour les symptômes au champ. Puceron du soya : le dépistage doit s'intensifier par endroits, populations faibles. Risques variables pour la pourriture à sclérotes. Fusariose de l'épi (blé de printemps) : peu de risque, sauf dans les champs plus tardifs. VGOH : faibles captures de papillons, planification du dépistage des masses d'oeufs et des larves. Chrysomèles des racines du maïs : cols d'oie et dommages. Cécidomyie du chou-fleur : stades sensibles dépassés. Le dépistage et le désherbage de mauvaises herbes en prérécolte et postrécolte des céréales d'automne.     NÉMATODE À KYSTE DU SOYA : JUILLET ET AOÛT, PÉRIODE IDÉALE POUR OBSERVER DES SYMPTÔMES AU CHAMP M.-E. Cuerrier1, A. Dionne2, H. Brassard1, T. Copley3, B. Duval1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (LEDP-MAPAQ); 3. Chercheuse (CÉROM) Le nématode à kyste du soya (NKS) est reconnu comme étant l’un des plus importants parasites de la culture du soya à travers le monde. Sa présence a été confirmée au Québec en 2013. Depuis cette confirmation, selon les dépistages réalisés par le RAP Grandes cultures, le nombre de champs aux prises avec le NKS augmente, de même que le niveau des populations dans les champs infestés (tableau). On en retrouve désormais dans toutes les principales régions productrices de soya au Québec, et même dans les régions périphériques. Depuis quelques années, les niveaux de populations de NKS sont suffisamment élevés pour causer des symptômes visibles dans certains champs. Un tel cas, montrant des zones affectées au champ (jaunissement et diminution de la vigueur des plants), a d’ailleurs récemment été rapporté au Centre-du-Québec.   Comment détecter des champs aux prises avec le NKS? Le NKS est un ver microscopique invisible à l’œil nu. Il endommage le système racinaire et utilise l’eau et les nutriments disponibles au détriment de la culture. Bien que la plupart du temps aucun Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 12, 9 juillet 2024

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09 juillet 2024
RISQUES GÉNÉRALEMENT FAIBLES POUR LA POURRITURE À SCLÉROTES  T. Copley1 et M.-É. Cuerrier2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Selon les modèles prévisionnels, les températures élevées des dernières semaines réduisent le développement des apothécies et le risque d’infection du soya par la pourriture à sclérotes dans la majorité des régions, et ce, jusqu’au 13 juillet prochain. Dans plus de 60 champs de soya suivis dans le cadre du RAP Grandes cultures et des projets de recherche menés par l’équipe en phytopathologie du CÉROM, aucune apothécie n’a été observée jusqu’à maintenant. Les apothécies (voir photo), champignons produisant les spores infectieuses de la pourriture à sclérotes, nécessitent des conditions fraîches (< 25 °C) et humides pour germer. Les températures élevées actuelles créent des conditions défavorables au développement des apothécies, mis à part dans quelques secteurs. Les secteurs à risque selon les modèles prévisionnels (du 9 au 13 juillet) sont les suivants : Matawin (Lanaudière), le secteur de Papineau-Labelle et du Mont-Tremblant (Laurentides), La Pêche (Outaouais) et Saint-Éphrem-de-Beauce (Chaudière-Appalaches). Les secteurs de Beauceville (Chaudière-Appalaches) et de Victoriaville (Centre-du-Québec) sont maintenant à faible risque selon les modèles prévisionnels. Les autres secteurs et régions sont à faible risque selon les modèles prévisionnels, et ce, jusqu'au 13 juillet, en raison des températures chaudes prévues cette semaine. Chaque semaine et ce, jusqu’à la fin du stade critique du soya (fin R3 – premières gousses), le niveau de risque pour chaque région sera publié par le RAP Grandes cultures deux fois par semaine, soit les mardis et les vendredis. Pour de plus amples informations concernant la maladie, vous pouvez vous référer à la fiche technique La pourriture à sclérotes chez le soya et l'avertissement N° 11 du 5 juillet 2024. *L'information tirée des modèles prévisionnels ne prend pas en compte le stade de développement Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 11, 5 juillet 2024

Nouveau

05 juillet 2024
Risques élevés pour la fusariose de l'épi du blé. Rouilles brune et jaune présentes dans le blé. Risques variables pour la pourriture à sclérotes. Puceron du soya : populations encore loin des seuils. Puceron du pois dans la luzerne : pas d'inquiétude. VGOH : premières captures, très faibles, du papillon. État des captures de la cécidomyie du chou-fleur. Abondance élevée du charançon de la silique en Abitibi-Témiscamingue. Nouveaux cas de criquets au Bas-Saint-Laurent. Causes possibles des plants de maïs tombés ou cassés.   RISQUES ÉLEVÉS POUR LA FUSARIOSE DE L’ÉPI DU BLÉ T. Copley1, M.-E. Cuerrier2 et V. Samson2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Dans certaines régions, les précipitations, le taux d’humidité élevé et les températures des derniers jours et des jours à venir sont très favorables à l’infection causant la fusariose de l’épi des céréales si la culture est au stade critique. En effet, si le blé de printemps est en épiaison ou au début de la floraison, il convient de suivre les niveaux de risque affichés sur les cartes interactives d’Agrométéo Québec. Ces cartes doivent être consultées quotidiennement, afin de faire un suivi du niveau de risque d’un champ donné (voir les cartes ci-dessous en date du 5 juillet 2024). Elles présentent le niveau de risque en temps réel; les niveaux de risque peuvent donc varier au cours d’une même journée. Pour que l’infection ait lieu, le niveau de risque doit être de moyen à élevé pendant au moins 24 heures. En cas de risque « moyen », la consultation fréquente des cartes permettra un meilleur suivi. Il est recommandé d’agrandir les cartes (actionner le signe « + » pour faire un « zoom avant ») pour obtenir le niveau de risque avec précision, surtout dans les zones avec une transition du niveau de risque. Il n’est pas possible d’obtenir les cartes antérieures à la journée en cours. Il est donc conseillé de prendre des captures d’écran et de les conserver à vos dossiers. En cas de Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 10, 3 juillet 2024

Nouveau

03 juillet 2024
PUCERONS DANS LES CÉRÉALES DE PRINTEMPS : PAS D'URGENCE DE TRAITER, SUIVI RECOMMANDÉ  15 juillet 2022 : Y. Dion1, T. Copley2 et B. Duval1  Révision 2024 : A. Akpakouma1, M.-É. Cuerrier1, B. Duval1 et S. Boquel2 1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheur (CÉROM)   La présence de pucerons dans les céréales de printemps a récemment été rapportée au RAP Grandes cultures dans quelques champs situés dans la région du Bas-Saint-Laurent. Habituellement, les pucerons présents au Québec dans les céréales sont le puceron bicolore des céréales (Rhopalosiphum padi) et le puceron des céréales (Sitobion avenae) (voir photos plus bas ou cliquer sur le nom des pucerons pour consulter les fiches sur IRIIS). Les pucerons sont présents par zones plutôt circulaires, résultant en des foyers d’infestation, et ne sont pas dispersés dans tout le champ. Il est rare que les dommages attribuables aux pucerons soient importants au point de nécessiter une intervention au moyen d’un insecticide. Une intervention pourrait être justifiée lorsque les pucerons sont nombreux et qu’ils sont présents sur chaque talle ou tige, sur l’ensemble du champ et sur une période prolongée, soit plus de 12 jours. Bien qu’il n’y ait pas de seuil d’intervention validé pour le Québec, le seuil établi dans l’Ouest canadien est de 12 à 15 pucerons par talle, pour un ou l’autre des deux pucerons. Le stade de la culture est aussi à considérer; une infestation hâtive (du tallage à la montaison) est plus à risque de causer des problèmes. Les interventions avec un insecticide ne sont généralement pas rentables, en plus d’affecter les populations d’ennemis naturels. Il vaut mieux compter sur les conditions météorologiques, le temps et les ennemis naturels en suivant attentivement la présence des pucerons pendant au moins deux semaines. Les fortes pluies, telles que celles reçues dernièrement, contribuent à réduire les populations. Le problème plus préoccupant causé par la présence Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 9, 28 juin 2024
28 juin 2024
Risques variables pour la fusariose de l'épi du blé. Quels sont les risques pour la pourriture à sclérotes? Pas d'inquiétude pour le puceron du soya. Légionnaire uniponctuée : dépistage à prévoir dans certaines régions. Quand s'inquiéter de la cicadelle de la pomme de terre dans les luzernières? Attention à l'application d'herbicides au stade floraison du soya.   RISQUES VARIABLES POUR LA FUSARIOSE DE L'ÉPI DU BLÉ : CONSULTEZ QUOTIDIENNEMENT LES CARTES INTERACTIVES ET ÉVALUEZ LE STADE PHYSIOLOGIQUE DU BLÉ T. Copley1, M.-E Cuerrier2, B. Duval2 et V. Samson2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Les champs de blé de printemps sont présentement en floraison dans certaines régions. Les conditions météorologiques des prochains jours sont favorables au développement de la fusariose de l’épi du blé. L’infection par Fusarium graminearum est fortement associée aux précipitations ainsi qu'à la température et l’humidité de l’air. Pour qu’il y ait une infection par le champignon, le blé doit être au stade de la floraison. Lorsque les conditions sont propices à l’infection, les anthères sont la porte d’entrée du pathogène dans l’épi. Si le blé n’est pas en floraison ou si la floraison est terminée, le risque d’infection est à peu près nul. Les cartes interactives du site Agrométéo Québec doivent être consultées quotidiennement, afin de faire un suivi du niveau de risque d’un champ donné (voir les cartes ci-dessous en date du 28 juin). Ces cartes présentent le niveau de risque en temps réel; les niveaux de risque peuvent donc varier au cours d’une même journée. Pour que l’infection ait lieu, le niveau de risque doit être de moyen à élevé pendant au moins 24 heures. En cas de risque « moyen », la consultation fréquente des cartes permettra un meilleur suivi. Il est recommandé d’agrandir les cartes (actionner le signe + pour faire un « zoom avant ») pour obtenir le niveau de risque avec précision, surtout dans les zones Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 8, 21 juin 2024
21 juin 2024
Premières observations du puceron du soya. Légionnaire uniponctuée : faibles captures de papillons et dépistage de larves à prévoir. Charançon de la silique en Chaudière-Appalaches. Cécidomyie du chou-fleur : suivi recommandé en Abitibi-Témiscamingue et au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Charançon postiche de la luzerne. Risque de fusariose de l'épi et de la rouille jaune dans le blé. Mouchetures physiologiques dans le blé. Causes possibles du soya pâle ou jaune. Désherbage : plusieurs cas de phytotoxicité. Dépistage de l'amarante tuberculée et contrôle postlevée. Contrôle du chénopode blanc en canicule. Causes possibles du problème de contrôle du chénopode avec glyphoste. PREMIÈRES OBSERVATIONS DE PUCERONS DU SOYA EN MONTÉRÉGIE S. Mathieu1, B. Duval1, J. Breault1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ) Des populations de pucerons du soya ont été observées dans certains champs de soya en Montérégie. Dès la mi-juin, il est courant de voir un nombre élevé de pucerons sur quelques plants de soya dans des foyers localisés. D’ici les prochaines semaines, ces pucerons pourraient produire une génération de pucerons ailés, leur permettant de se répartir dans le champ ou de migrer.   Dépister les champs est la première étape pour bien évaluer la situation Examinez au moins 30 plants bien distribués dans le champ afin de déterminer l’abondance moyenne de pucerons par plant et la présence d’ennemis naturels. La présence de fourmis peut vous aider à localiser les pucerons puisqu’elles s’alimentent du miellat qu'ils produisent.   Les fourmis et les coccinelles sont des indicateurs utiles pour localiser les colonies de pucerons Photos : S. Mathieu, agr. (MAPAQ)   Au stade végétatif du soya, l’application d’un insecticide foliaire n’est habituellement pas recommandée, puisqu’il détruit les prédateurs naturels du puceron qui sont très efficaces pour contrôler les populations. De plus, un traitement n’étant jamais efficace à 100 %, les pucerons qui survivraient pourraient Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 7, 14 juin 2024
14 juin 2024
Ver-gris noir : cas rapportés, continuez la surveillance et le dépistage. Dommages de criquets dans le Bas-Saint-Laurent. Cécidomyie du chou-fleur dans le canola. Les risques d'infection de la fusariose de l'épi dans le blé d'automne. L'importance de vérifier l'efficacité d'un traitement herbicide après une intervention.   VER-GRIS NOIR : CAS RAPPORTÉS, CONTINUEZ DE SURVEILLER ET DE DÉPISTER LES LARVES ET LEURS DOMMAGES DANS LES CHAMPS À RISQUE Julien Saguez1, Véronique Samson2 et Brigitte Duval2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) De nouveaux cas de dommages importants par le ver-gris noir ont été rapportés au RAP Grandes cultures, dans les régions plus périphériques cette fois. Ces cas ont été observés en Abitibi-Témiscamingue, dans des champs de canola, de céréales et de maïs, dans les municipalités de Béarn, Duhamel-Ouest, Notre-Dame-du-Nord, Saint-Bruno-de-Guigues, Saint-Eugène-de-Guigues et Saint-Édouard-de-Fabre, ainsi qu’en Estrie, à Courcelles dans la culture de maïs. Les larves de stade 4 et plus sont les plus dommageables, car elles peuvent couper les plants de maïs à leur base jusqu’aux stades 5-6 feuilles de la culture. L’avertissement N° 6 du 7 juin 2024 présente les facteurs favorisant la présence de l’insecte ainsi que la méthode de dépistage. Dans plusieurs régions, les cultures sont encore au début de leur croissance, avec une levée tardive. Elles peuvent donc être la cible du ver-gris noir. Il est donc important de poursuivre le dépistage des champs à risque afin de déceler les larves et les dommages. Il pourra ensuite être possible de déterminer si une intervention phytosanitaire est nécessaire, tout en tenant compte du stade de développement de la culture, du niveau de dommage et de la taille des larves. La plupart des produits sont peu efficaces lorsque l’insecte a atteint les derniers stades larvaires. Il est nécessaire de dépister les champs dès l’apparition des premiers dommages et d’intervenir avant que la majorité des Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 6, 7 juin 2024
07 juin 2024
Légionnaire uniponctuée : surveillance des champs plus à risque. Ver-gris noir : évaluation des dommages pour les champs de maïs à risque. Mouche de Hesse : un ravageur qui peut passer inaperçu. Tipule des prairies : quelques nouveaux cas, mais bientôt terminé. Ravageurs du canola : début de saison assez tranquille. Fusariose : hausse du risque d’infection dans les prochains jours. Mauvaises levées de maïs et soya : causes et resemis. Observation du virus de la mosaïque striée du blé.   LÉGIONNAIRE UNIPONCTUÉE : SURVEILLEZ LES CULTURES DE MAÏS, DE CÉRÉALES ET LES PRAIRIES DE GRAMINÉES PLUS À RISQUE Julien Saguez1et Marie-Edith Cuerrier2 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ) Depuis quelques semaines, le RAP Grandes cultures surveille les populations de papillons de légionnaire uniponctuée dans les différentes régions de la province. Les larves de la légionnaire uniponctuée peuvent s’attaquer à plusieurs cultures dont le maïs, les céréales et les prairies de graminées. Jusqu’à maintenant, les populations de papillons sont faibles, avec des captures plus abondantes en Abitibi-Témiscamingue, en Montérégie-Ouest et en Montérégie-Est. Toutefois, les quantités de papillons capturés dans les pièges ne sont pas forcément signe d’une forte infestation de larves. À l’inverse, il est possible de voir des champs atteints dans des secteurs où les captures sont faibles. Dans plusieurs comtés de l’Ontario, la présence de larves de légionnaire uniponctuée a récemment été rapportée dans plusieurs champs de blé d’automne (voir la publication en anglais). Dans le secteur de Salaberry-de-Valleyfield, en Montérégie-Ouest, de jeunes larves d’environ 1 cm de long ont également été rapportées dans le maïs sucré (Yves Auger, MAPAQ, comm. pers.). La légionnaire uniponctuée produit rarement des dommages dans les cultures. En cas de fortes infestations, la défoliation des plants peut être importante. Il est suggéré de surveiller et de dépister régulièrement Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 5, 31 mai 2024
31 mai 2024
Amarante tuberculée : émergée dans certaines régions, la vigilance est de mise. Fusariose de l'épi du blé : surveillance des risques avec les cartes interactives. Mouche des semis : mise à jour des dates du pic d'activité. Ver-gris noir : dépistage du maïs qui n'a pas atteint le stade 5-6 feuilles. Maïs et soya tolérants aux herbicides : astuces pour un désherbage efficace.     L'AMARANTE TUBERCULÉE MAINTENANT ÉMERGÉE DANS CERTAINES RÉGIONS : LA VIGILANCE EST DE MISE Stéphanie Mathieu1, Marie-Edith Cuerrier1, Brigitte Duval1 et Véronique Samson1 1. Agronome (MAPAQ) Des plantules d’amarante tuberculée ont été observées cette semaine, entre autres, en Montérégie-Ouest. Le dépistage des champs est de mise. À ce temps-ci de l’année, plusieurs options de désherbage sont possibles pour contrôler cette plante envahissante. Que l’intervention soit mécanique ou chimique, il est important d’intervenir avant qu’elle n’atteigne 10 cm de hauteur. Par temps chaud, elle peut croître de plusieurs cm par jour. Puisque cette mauvaise herbe émerge tout au long de la saison de culture, privilégiez une intervention en prélevée suivie d’une intervention de postlevée avec un produit qui permet à la fois de lutter contre les plantules levées tout en offrant un effet résiduel. Des dépistages fréquents sont aussi recommandés afin de s’assurer de l’efficacité des traitements.  En fonction des herbicides appliqués et du niveau de précipitations prévu, l’implantation d’une culture intercalaire peut aussi aider à compétitionner la mauvaise herbe. Identifier la résistance de l’amarante tuberculée Il est important de connaître le profil de résistance aux herbicides des populations d’amarante tuberculée présentes sur votre entreprise et d’en tenir compte avant de choisir votre stratégie herbicide. En effet, les foyers découverts au Québec à ce jour n’ont pas tous les mêmes résistances. Des populations résistantes à un ou à plusieurs des groupes suivants ont été confirmées Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 4, 24 mai 2024
24 mai 2024
VFF QC : saisir les résultats de dépistage. Tipule des prairies : premiers dommages en Chaudière-Appalaches, populations parfois élevées en Estrie et au Bas-Saint-Laurent. Maïs et soya : évaluer les causes du manque à la levée. Surveillance des plants de maïs pour le ver-gris noir. Oïdium : quelques cas rapportés; fusariose de l'épi : nouveau site Web. Mauvaises herbes : désherbage des céréales de printemps; importance de dépister après un traitement herbicide.     VERS FIL-DE-FER : AVEZ-VOUS PENSÉ À SAISIR VOS RÉSULTATS DE DÉPISTAGE DANS L'OUTIL VFF QC? Julien Saguez1, Sébastien Boquel1 et Marie-Edith Cuerrier2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) C’est le moment du dépistage des vers fil-de-fer. L’outil VFF QC vous permet de compiler les données obtenues dans les champs dépistés, selon la méthode régulière de dépistage par pièges-appâts. Les données saisies permettent d’alimenter la base de données qui sert à évaluer le niveau de risque. Les données peuvent être directement saisies sur la plateforme d’Info-sols.ca. La fiche technique expliquant comment utiliser l’outil VFF QC a été mise à jour pour vous permettre de compiler correctement les données. La saisie des données dans l’outil VFF QC permet de les conserver dans un lieu sûr, vous assurant d’une tenue de dossier selon les règles de l’art en tant que professionnel, et de bâtir un historique des champs en vue des changements réglementaires à venir en 2025. Ces changements élargiront l’obligation de produire une justification et une prescription agronomiques pour l’utilisation de tous les traitements de semences insecticides, pas seulement ceux à base de néonicotinoïdes.   Capture d'écran de la plateforme Info-sols.ca permettant la saisie des données de dépistages des vers fil-de-fer Si vous avez des questions concernant l’outil VFF QC ou que vous avez besoin d’assistance, vous pouvez contacter julien.saguez@cerom.qc.ca, le responsable du service aux utilisateurs au CÉROM.   PREMIERS Lire la suite
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