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Grandes cultures, Avertissement No 51, 28 septembre 2017
28 septembre 2017
Le dépistage de champs à risque a révélé la présence de dommages et de larves matures du ver-gris occidental des haricots dans les régions de Lanaudière, de la Montérégie-Ouest et de l’Outaouais. Des larves matures ont aussi été rapportées dans la région de la Chaudière-Appalaches. Les larves ont commencé à migrer dans le sol. Un traitement insecticide à ce stade d’infestation est inutile, car inefficace. RÉSULTATS DE DÉPISTAGE DE LARVES MATURES DU VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS   Observations En juillet dernier, des champs de maïs à risque ont été dépistés dans les régions de la Montérégie-Ouest et de l’Outaouais pour détecter la présence de masses d’œufs du ver-gris occidental des haricots (VGOH). Au cours des dernières semaines, un second dépistage a été effectué dans ces champs afin d’identifier la présence de larves du VGOH, le stade de développement, ainsi que la présence d’épis endommagés. Des champs dans la région de Lanaudière ont également été dépistés, car la présence de larves matures a été signalée. Le tableau ci-dessous dresse un portrait des données recueillies jusqu’à présent pour l’année 2017. Il est à noter qu’en plus des champs mentionnés dans le tableau, la présence de larves matures a été signalée à Saint-Jacques-Le-Mineur et Hemmignford en Montérégie-Ouest sur quelques épis. Un champ présentant 8 hybrides différents dans la région de Lanaudière a également été dépisté le 19 septembre. Environ 10 % des plants d’un des hybrides étaient porteurs de larves, ce pourcentage était d’environ 3 % dans les plants d’un second hybride et aucune larve ou aucun dommage n’ont été observés dans les autres hybrides. Cette différence observée entre les hybrides pourrait être expliquée par une différence de stade de croissance au moment de la ponte. Enfin, une observation de larves du VGOH à Saint-Odilon-de-Cranbourne en Chaudière-Appalaches, faite le 26 septembre, a été également rapportée au Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP).   Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 50, 8 septembre 2017
08 septembre 2017
Ce texte traite de dépistage et de désherbage de fin de saison, puisque ce moment de l’année constitue une fenêtre intéressante particulièrement pour la répression des mauvaises herbes vivaces, bisannuelles et les annuelles hivernantes.     LE DÉPISTAGE DES MAUVAISES HERBES ET LE DÉSHERBAGE DE FIN DE SAISON   Essentielle 1re étape : le dépistage Le dépistage d’automne est un préalable essentiel au désherbage de fin de saison. Il permet en effet de déterminer la nécessité d’intervenir ou non en prérécolte ou en postrécolte en fonction de certains seuils et des objectifs recherchés. Il permet aussi de déceler l’introduction de mauvaises herbes nouvelles et d’éventuelles résistances aux herbicides. Dans le cas où vous suspectez de la résistance, vous pouvez faire parvenir des échantillons de graines au CÉROM. Pour plus d’information, consultez l’avertissement N° 37 du 3 août 2017 Service de détection de la résistance des mauvaises herbes aux herbicides. Le dépistage d’automne permet aussi de vérifier si  les interventions phytosanitaires réalisées durant la saison ont été efficaces et d’obtenir le portrait des mauvaises herbes présentes au champ afin de mieux orienter les interventions phytosanitaires de l’année suivante.    Le désherbage de fin de saison   Quelques notions de base La fin de la saison culturale est une bonne période pour réprimer les annuelles hivernantes (bourse-à-pasteur, vélar fausse giroflée, vergerette du Canada, etc.), les bisannuelles (barbarée vulgaire, armoise bisannuelle, bardane, etc.) et les vivaces (pissenlit, plantain, etc.) à l’aide d’herbicides. Voici quelques notions de base sur l’intérêt d’un traitement herbicide de fin de saison et sur les conditions nécessaires à son efficacité :    À l’automne, il y a souvent plus de surface foliaire pour absorber les herbicides qu’au printemps, où la surface foliaire est moins développée que le système racinaire. Ainsi, au printemps, la quantité de matière Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 49, 5 septembre 2017
05 septembre 2017
Les captures totales de papillons du ver-gris occidental des haricots en 2017 ont été les plus élevées depuis 2010. L'évaluation des dommages avant la récolte est une pratique recommandée dans les secteurs à risque élevé.   CAPTURES RECORDS DE PAPILLONS DU VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS AU QUÉBEC EN 2017; LE DÉPISTAGE DES DOMMAGES AVANT LA RÉCOLTE EST RECOMMANDÉ   Bilan des captures de 2017 La figure 1 montre que les captures de papillons du ver-gris occidental des haricots (VGOH) ont atteint des valeurs records durant deux semaines consécutives en 2017 au Québec. Des captures records sont aussi rapportées aux États-Unis (Indiana) et dans le sud de l'Ontario où l'on a capturé environ deux fois plus de papillons que la moyenne.   Figure 1 : Évolution des captures hebdomadaires de papillons du VGOH au Québec de 2010 à 2017   L’historique des captures annuelles totales par piège depuis 2010 démontre que les populations ne cessent d’augmenter dans les principales régions productrices de maïs au Québec (figure 2). Figure 2 : Évolution de la moyenne des captures totales de papillons du VGOH par piège et par saison1 dans les principales régions2, 3 productrices de maïs au Québec de 2010 à 2017   1. Total des 8 semaines de captures les plus importantes où le dépistage a été effectué chaque année. 2. Principales régions productrices de maïs dépistées chaque année depuis 2010 : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Estrie, Mauricie, Laurentides, Montérégie-Est et Montérégie-Ouest. 3. Les captures en 2017 de 3 sites de Saint-Anicet ne sont pas considérées dans ce graphique. Ces champs ne peuvent pas être comparés aux années antérieures, car ils avaient été spécifiquement ciblés en raison des dommages observés en 2016.   Des captures records ont aussi été enregistrées dans la région du Bas-Saint-Laurent avec des captures totales de 66 papillons par comparaison à 25 en 2016. Comme il n’y a pas suffisamment de degrés-jours Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 48, 1er septembre 2017
01 septembre 2017
Les populations du puceron du soya ont commencé à baisser au cours de la dernière semaine. Quelques champs encore au stade R5 présentent des populations supérieures à 1 000 pucerons/plant. Toutefois, il est trop tard pour intervenir même pour les champs les plus infestés.     LES POPULATIONS DIMINUENT, MAIS ON SIGNALE ENCORE DES CHAMPS AU STADE R5 AVEC DES POPULATIONS ÉLEVÉES    On nous a rapporté cette semaine la présence de 2 champs de soya au stade R5 avec des populations de plus de 1 000 pucerons/plant dans les régions de l’Estrie et de la Chaudière-Appalaches. Le dépistage hebdomadaire de 20 champs du réseau de surveillance confirme que les populations étaient les plus élevées la semaine dernière. Les données enregistrées cette semaine montrent que la moyenne des populations de ces champs a diminué de 25 %, passant de 463 à 349 pucerons/plant. Cette diminution est plus importante, soit de l’ordre de 50 %, dans tous les champs qui étaient infestés avec plus de 500 pucerons/plant la semaine dernière (figure 1). Figure 1 : Variation (%) des populations depuis une semaine en fonction de la densité la semaine dernière des 20 champs du réseau de surveillance les plus infestés Note : Les populations ont augmenté pour les champs situés en haut de la ligne de 0 % et diminué s'ils sont sous cette ligne. Il est très rare que des champs de soya soient encore au stade R5 à cette période de la saison. L’outil de calcul dynamique ne permet donc pas de prédire les pertes de rendement pour du soya après le 28 août. On sait par contre que les pertes diminuent progressivement durant le mois d’août pour un champ au même stade et avec la même densité plus tôt en saison. Il y a donc vraiment peu de chances qu’un traitement réalisé au stade R5 puisse être rentable présentement même avec des populations supérieures à 1 000 pucerons/plant.       Cet avertissement a été rédigé par Claude Parent, agronome, avec la collaboration Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 47, 25 août 2017
25 août 2017
Les populations du puceron du soya ont continué d’augmenter au cours de la dernière semaine. Elles atteignent une moyenne provinciale de 202 pucerons par plant. Par contre, même pour les champs les plus infestés, il est généralement trop tard pour intervenir.   FIN DE SAISON AVEC DES POPULATIONS DU PUCERON DU SOYA QUI CONTINUENT D’AUGMENTER     Les populations du puceron du soya ont continué d’augmenter rapidement et elles atteignent maintenant une moyenne sur l’ensemble de la province de 202 pucerons par plant. Toutefois, en Estrie, dans un champ situé à Windsor, une densité de 1 654 pucerons par plant (au stade R6) a été observée.   Feuille infestée de pucerons Photo : Priscilla Petrauskas, CAE de l’Estrie, 22 août 2017 Pour obtenir les détails de la situation dans votre région, veuillez consulter le tableau suivant qui présente le dernier bilan hebdomadaire 2017 du réseau de surveillance du puceron du soya. L’utilisation de l’outil de calcul dynamique avec le champ le plus infesté (972 pucerons par plant) au stade R5 indique que le traitement d’un champ avec une telle population ne serait plus rentable présentement. Il semble donc qu’il y ait peu de chances qu’un dépistage à cette date permette de trouver un champ qui justifie une intervention phytosanitaire.   Le graphique ci-dessous montre un résumé de l’évolution des populations de pucerons au cours des 6 dernières années. En 2017, la croissance des populations en fin de saison a été la plus rapide des 6 dernières années, mais n’atteint toutefois pas la même moyenne de pucerons par plant qu’en 2014. Les populations de pucerons pourraient continuent d’augmenter et constituer une source de pucerons ailés qui migreront vers le nerprun cet automne. Le cas échéant, si la ponte des femelles est abondante et que l’hiver est assez doux, on pourrait observer le printemps prochain des populations de pucerons plus élevées que la normale au début de la saison.       Cet Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 46, 25 août 2017
25 août 2017
La période la plus propice pour effectuer le dépistage de l’ériochloé velue, une espèce à déclaration obligatoire, se situe entre la mi-août et la fin de septembre. Cette plante est facilement reconnaissable par ses inflorescences dont les branches latérales, toutes étalées sur le même plan, font penser à celles du pied-de-coq. Les feuilles, très velues, sont pourvues de poils sur leurs deux faces, ce qui leur confère un toucher velouté.   C'EST LE TEMPS DE DÉPISTER L'ÉRIOCHLOÉ VELUE; UNE MAUVAISE HERBE À DÉCLARATION OBLIGATOIRE     État de la situation Au Canada, l’ériochloé velue a été rapportée pour la première fois en 2000, en Montérégie. Selon l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA), en 2013, le nombre de sites où la présence de la plante avait été confirmée était de 32. Ces sites étaient répartis dans 13 municipalités du Québec, majoritairement situés en Montérégie, mais également en Mauricie et dans Lanaudière.   Pour prévenir la dissémination de l’ériochloé velue, les producteurs doivent assurer un bon contrôle de la plante au champ et nettoyer la machinerie ayant circulé dans une zone infestée afin de la départir de la terre ou de tous débris végétaux qui auraient pu y adhérer1. L’ériochloé velue est réglementée en vertu de la Loi sur les semences. Sa présence est donc interdite dans tout lot de semence vendu ou importé au Canada. L’ériochloé velue est également réglementée en vertu de la Loi sur la protection des végétaux. Bien que l’ACIA ait suspendu l’application de ses mesures réglementaires, les producteurs aux prises avec l’ériochloé velue doivent mettre en place des pratiques exemplaires de gestion s’ils veulent réduire sa présence, limiter sa propagation et minimiser les pertes de rendement qu’elle occasionne. Au cours des années 2012-2013, le Centre de recherche sur les grains (CÉROM), en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), a accompagné ces producteurs et Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 45, 18 août 2017
18 août 2017
Les populations du puceron du soya ont augmenté rapidement depuis la semaine dernière. Le dépistage des champs semés tardivement est recommandé dans plusieurs régions.   LES POPULATIONS DU PUCERON DU SOYA CONTINUENT D’AUGMENTER; LA VIGILANCE EST RECOMMANDÉE POUR LES SEMIS TARDIFS EN ESTRIE, DANS LANAUDIÈRE ET EN MONTÉRÉGIE         Les populations du puceron du soya ont augmenté rapidement au cours de la dernière semaine et atteignaient cette semaine une moyenne provinciale de 124 pucerons/plant. Une population de 1 500 pucerons/plant nous a été rapportée récemment dans un champ au stade R3 dans la région de Lanaudière (Îles de Berthier). Même si la présence d’ennemis naturels du puceron a été signalée dans 55 des 63 champs dépistés (87 %), on retrouve parfois des champs fortement infestés où leur présence semble insuffisante pour contrôler efficacement les populations.   En raison des semis tardifs en 2017, certains champs de soya sont encore aux stades R3 et R4 et méritent encore d’être dépistés pour ce ravageur, en particulier dans les régions de l’Estrie, de Lanaudière et en Montérégie. Les traitements effectués à partir du stade R5 ont peu de chances d’être rentables. Rappelons que ce stade correspond à la présence d’une graine de 3 mm dans l’une des gousses portées par l’un des 4 nœuds les plus élevés sur la tige principale.   La stratégie d’intervention contre le puceron du soya est basée sur un seuil d’alerte de 250 pucerons/plant et ne signifie pas nécessairement qu’un insecticide doit être appliqué immédiatement, mais qu’il est nécessaire de refaire un dépistage (tous les 2 à 4 jours) pour vérifier si les populations continuent d’augmenter.   Pour tous les détails sur  la stratégie d’intervention, veuillez consulter le bulletin Stratégie d’intervention recommandée au Québec contre le puceron du soya.     Que faire si on découvre une population de plus de 1 000 pucerons/plant avant le Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 43, 11 août 2017
11 août 2017
Les populations du puceron du soya dépistées dans 3 des 63 champs suivis par le RAP Grandes cultures ont dépassé le seuil d’alerte de 250 pucerons par plant. Ces champs sont situés en Estrie, dans Lanaudière et en Montérégie-Est. Le dépistage des champs dont le stade est inférieur à R5 situés dans ces trois régions est recommandé.     FAIBLES POPULATIONS DU PUCERON DU SOYA DANS LES CHAMPS SUIVIS PAR LE RAP MAIS LA VIGILENCE EST RECOMMANDÉE EN ESTRIE, LANAUDIÈRE ET MONTÉRÉGIE-EST   Sommaire des populations du puceron par région pour 63 sites du réseau de surveillance   Le suivi du puceron du soya dans le cadre du RAP Grandes cultures a débuté le 3 juillet dernier. Le tableau ci-dessus montre les résultats obtenus cette semaine.   La moyenne provinciale actuelle de 54 pucerons par plant est inférieure au seuil d’alerte de 250 pucerons par plant. La présence d’ennemis naturels du puceron a été signalée dans 50 des 63 champs dépistés (80%).   Toutefois, le seuil d’alerte de 250 pucerons par plant a été atteint dans trois champs situés à Valcourt (Estrie), à La Présentation (Montérégie-Est) et à Saint-Paul-de-Joliette (Lanaudière). De plus, un autre champ situé à Saint-Georges-de-Windsor (Estrie) présente une population élevée (213 pucerons par plant).   QUOI FAIRE ? Dans la moitié des champs suivis par le RAP, le soya a atteint le stade R5. Le stade R5 est atteint lorsqu’on retrouve une graine de 3 mm dans l’une des gousses portées par l’un des 4 nœuds les plus élevés sur la tige principale. À ce stade, une application insecticide a peu de chances d’être rentable.   Un dépistage des champs de soya dont le stade de croissance est inférieur à R5 situé en Estrie, en Montérégie-Est et dans Lanaudière est maintenant recommandé.   L’atteinte du seuil d’alerte de 250 pucerons par plant ne signifie pas qu’un insecticide doit être appliqué immédiatement, mais qu’il est nécessaire de dépister régulièrement (tous les 2 à 4 jours) Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 42, 11 août 2017
11 août 2017
  En 2017, le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) ne publie plus les avertissements pour la fusariose de l'épi. Il faut consulter le site d’Agrométéo Québec qui héberge un moteur de prévision du risque et qui présente des cartes indiquant les niveaux de risque pour l’ensemble du Québec.   RAPPEL : LES PRÉVISIONS DE RISQUE DE LA FUSARIOSE DE L’ÉPI SUR AGROMÉTÉO QUÉBEC En 2017, le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) ne publie plus les d’avertissements pour cette maladie. Il faut consulter le site d’Agrométéo Québec qui héberge un moteur de prévision du risque et qui présente des cartes indiquant les niveaux de risque pour l’ensemble du Québec. Pour accéder aux prévisions de risque sur Agrométéo, cliquez ici.   Le modèle de l’évaluation du risque de la fusariose de l’épi disponible sur Agrométéo Québec offre une mise à jour automatisée en temps réel. À mesure que les données météorologiques et les prévisions sont saisies et enregistrées par Agrométéo Québec, les niveaux de risque sont modifiés. Ainsi, les cartes changent au cours de la journée. Les données proviennent de l’ensemble des stations météo du Québec et couvrent ainsi les différentes régions de la province.   L’information présentée sur le site d’Agrométéo Québec ne prend pas en compte le stade de développement de la culture et ne permet donc pas de déterminer si un champ donné se trouve à un stade sensible à l’infection, soit entre l’épiaison et la floraison. Il appartient au producteur ou au conseiller de suivre le développement de la culture de la céréale, d’identifier si celle-ci est à un stade propice pour l’infection et de prendre une décision concernant le risque de la culture. Exemple d'une carte montrant les indices de risque associés à la fusariose sur Agrométéo Québec : Veuillez consulter le bulletin d'information Les prévision des niveaux de risque de la fusariose de l’épi des céréales sur Agrométéo Québec pour connaître la procédure à suivre Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 44, 11 août 2017
11 août 2017
Les captures de papillons du ver-gris occidental des haricots (VGOH) ont presque triplé depuis la semaine dernière. Des masses d’œufs ont été détectées dans des champs en Montérégie-Ouest et en Outaouais. Le dépistage des masses d’œufs dans les champs de maïs à risque est recommandé.   LE DÉPISTAGE DES ŒUFS ET DES JEUNES LARVES DU VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS DANS LE MAÏS-GRAIN  État de la situation Cette semaine, les captures de papillons du ver-gris occidental des haricots (VGOH) ont presque triplé depuis la semaine dernière et elles ont probablement atteint leur pic de la saison. Les sites de piégeage avec les captures de papillons les plus élevées se retrouvent aux endroits suivants : Clarendon (Outaouais) : 595 papillons/piège (stade V8 du maïs) Shawville (Outaouais) : 518 (stade V12 du maïs) Godmanchester (Montérégie-Ouest) : 155 (stade R1.1 du maïs) Saint-Anicet (Montégie-Ouest) : 154 (stade V9 du maïs) Mirabel (Laurentides) : 102 (stade VT2 du maïs) Sainte-Julienne (Lanaudière) : 85 (stade du maïs non précisé) Dans plusieurs régions, les captures atteignent les moyennes les plus élevées observées depuis 2009. Au Québec, les pics de capture d’adultes surviennent le plus souvent durant la première semaine d’août, après la sortie des croix lorsque le maïs est devenu moins attrayant pour la ponte. Or, la floraison du maïs accuse du retard cet été en raison des semis tardifs. 65% des champs du réseau étaient encore au stade de la sortie du verticille (cornet) au début de cette semaine. C’est la première fois que du maïs à un stade aussi attractif pour la ponte est exposé aux populations les plus élevées de la saison. Il est donc possible qu’on découvre, d’ici l’automne, les premiers dommages causés par ce ravageur dans plusieurs nouveaux champs en 2017. Heureusement, il est encore temps de dépister les champs à risque afin de déterminer si une intervention est nécessaire. Le piégeage des adultes du VGOH permet de détecter Lire la suite
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