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Vous êtes vous déjà demandé si par « rusticité » on entendait qu’une plante survit dans une zone donnée ou si elle y fleurit ? La question, loin d’être anodine, a poussé le REPLOQ (Réseau d’essais des plantes ligneuses ornementales du Québec) à affiner sa façon d’attribuer les cotes de rusticité. Il en attribue maintenant trois plutôt qu’une.