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Nouveau
01 mai 2025
La compaction des sols agricoles est un frein majeur au rendement des cultures. La compaction en profondeur est celle qui est le plus difficile à résoudre. Cette problématique est grandissante dans les régions méridionales du Québec, dans la plaine de Montréal et le Centre-du-Québec où les cultures annuelles sont plus présentes
et intensives et où le parc de machinerie est grandissant. La compaction profonde est engendrée par le passage de machinerie dont le poids dépasse 3 500 kg par roue et est exacerbé lorsque l’humidité du sol augmente. Lorsque la profondeur de la compaction est supérieure à 60 cm (24 po), les équipements de sous-solage standard ne peuvent accomplir le travail et les exploitants se retrouvent sans solution. Il est essentiel de développer des techniques capables de résoudre cette problématique. Une entreprise agricole de la Mauricie aux prises avec cette problématique a voulu tester une méthode alternative de sous-solage profond avec une charrue-taupe sans pose de drain souterrain. Les résultats de cet essai démontrent qu’il est possible de résorber une problématique de nappe perchée lorsqu’elle est causée par de la compaction profonde. De plus, cette technique permet de restituer partiellement la productivité de la zone affectée. Cette technique est transposable dans d’autres entreprises aux prises avec la même problématique.
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04 avril 2025
Le projet s’inscrit dans l’objectif du Plan d’agriculture durable (PAD) Améliorer la santé et la conservation des sols, particulièrement le sous-objectif 75% des superficies cultivées seront couvertes en hiver, mais également l’autre sous-objectif soit 85% des sols agricoles auront un pourcentage de matière organique de
4% et plus. Étant donné les contraintes associées aux opérations de désherbage mécanique printanier effectuées par les entreprises en grandes cultures biologiques (GCB) lorsque des cultures de couverture et des résidus de culture sont présents, la grande majorité de ces entreprises enfouissent à l’automne avec un labour les résidus de culture du maïs-grain et les cultures de couverture, dont les engrais verts implantés lors de l’année en céréale, particulièrement le trèfle rouge. L’objectif principal du projet est de répertorier, documenter et diffuser les pratiques de gestion des résidus laissés par les couverts végétaux par l’utilisation de méthodes alternatives au labour. Plus spécifiquement, le projet vise à documenter les pratiques permettant de laisser 50 % ou plus de la surface couverte par des résidus à la surface du sol durant l’hiver. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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17 février 2025
Ce projet a permis d’obtenir des données probantes pour plusieurs indicateurs associés à la santé et conservation des sols. Les résultats indiquent qu’il n’y a pas d’indicateur idéal, mais qu’une combinaison d’indicateurs est requise, incluant les rendements des cultures, pour évaluer l’effet d’itinéraires agronomiques
sur la santé des sols. L’utilisation de l’apprentissage automatique, une forme d’intelligence artificielle axée sur le développement d’algorithmes statistiques capables de détecter des relations complexes, s’avère une avenue prometteuse pour diagnostiquer la productivité d’agrosystèmes végétaux à l’aide d’un ensemble d’indicateurs et pour établir les changements et les pratiques agricoles à mettre en place afin d’obtenir des performances optimales et durables au bénéfice de l’ensemble de la société. À court terme, les itinéraires étudiés causent une diminution de la teneur en MO du sol de surface et tendent à réduire la stabilité des agrégats. Ces itinéraires font augmenter le carbone labile (POxC) et tendent à augmenter la respiration du sol (Solvita). Soulignons que des tendances constatées durant les premières années de l’implantation d’un dispositif de longue durée peuvent être inversées après plusieurs années, une fois que le dispositif nouvellement implanté est entré dans une période de plus grande stabilité. Les effets des traitements sont alors souvent plus facilement distinguables par rapport aux changements causés par l’implantation de nouveaux itinéraires agronomiques en mode biologique sur un site en mode conventionnel depuis de nombreuses années. C’est notamment une des raisons pour laquelle il est important de maintenir en place de tels dispositifs pendant de longues périodes de temps.
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17 février 2025
Ce projet a permis d’obtenir des données probantes pour plusieurs indicateurs associés à la santé et conservation des sols. Les résultats indiquent qu’il n’y a pas d’indicateur idéal, mais qu’une combinaison d’indicateurs est requise, incluant les rendements des cultures, pour évaluer l’effet d’itinéraires agronomiques
sur la santé des sols. L’utilisation de l’apprentissage automatique, une forme d’intelligence artificielle axée sur le développement d’algorithmes statistiques capables de détecter des relations complexes, s’avère une avenue prometteuse pour diagnostiquer la productivité d’agrosystèmes végétaux à l’aide d’un ensemble d’indicateurs et pour établir les changements et les pratiques agricoles à mettre en place afin d’obtenir des performances optimales et durables au bénéfice de l’ensemble de la société. À court terme, les itinéraires étudiés causent une diminution de la teneur en MO du sol de surface et tendent à réduire la stabilité des agrégats. Ces itinéraires font augmenter le carbone labile (POxC) et tendent à augmenter la respiration du sol (Solvita). Soulignons que des tendances constatées durant les premières années de l’implantation d’un dispositif de longue durée peuvent être inversées après plusieurs années, une fois que le dispositif nouvellement implanté est entré dans une période de plus grande stabilité. Les effets des traitements sont alors souvent plus facilement distinguables par rapport aux changements causés par l’implantation de nouveaux itinéraires agronomiques en mode biologique sur un site en mode conventionnel depuis de nombreuses années. C’est notamment une des raisons pour laquelle il est important de maintenir en place de tels dispositifs pendant de longues périodes de temps.
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17 février 2025
Le projet proposé vise à mettre en œuvre un projet pour répondre à l’engagement des Producteurs de grains du Québec (PGQ) afin de « mettre en place un réseau provincial de vitrines pour démontrer les pratiques visant la diminution des risques et de l’usage des pesticides dans le secteur des grains ». Ce projet
est complémentaire au projet intitulé « Réseau de producteurs ambassadeurs démontrant les pratiques visant la diminution des risques et de l’usage des pesticides dans le secteur des grains » coordonné par la Coordination services-conseils. Le projet s’articule autour de quatre actions : Diffusion de bulletins techniques présentant des innovations ainsi que les pratiques gagnantes en matière de désherbage mécanique et de moyens alternatifs aux herbicides ; Ateliers d’échanges et discussions adressés aux conseillers sur la base des bulletins ; Cliniques terrain de désherbage mécanique chez une entreprise en régie conventionnelle et lors d’évènement d’envergure comme la journée phytoprotection du CRAAQ qui se déroule au Cérom ; Conférence clé en main pour les producteurs qui pourra servir lors des journées organisées par les conseillers pour les producteurs. Ce projet a contribué à développer le réflexe des conseillers agricoles de présenter les alternatives aux pesticides aux producteurs. Quant à eux, les producteurs ont été mieux outillés pour intégrer des moyens de lutte autres que l’utilisation de pesticides. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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10 février 2025
Le CETAB+ a initié des essais variétaux dans la culture du tournesol oléique en 2021 afin de répondre à la demande des producteurs et des transformateurs québécois. Plusieurs variétés sont ou ont été récemment utilisées au Québec, principalement les variétés Hornet, N4H et Cobalt. Les rendements obtenus sous nos conditions
ne sont pas toujours à la hauteur et les variétés disponibles sont sensibles à la sclérotiniose, une maladie fongique qui touche plus de 360 espèces de plantes de la famille des dicotylédones, dont le tournesol. L’hypothèse initiale est qu’il existe des variétés de tournesol hautement oléique mieux adaptées aux conditions pédoclimatiques du Québec que celles actuellement utilisées sur les entreprises agricoles québécoises. Nous avons ainsi mis en place un réseau d’essais selon une approche dite «?mère-filles?» permettant d’évaluer de nouvelles variétés disponibles sur les marchés européen et américain. Un essai complémentaire a également été mis en place sur deux des quatre entreprises participantes ainsi que sur le site mère afin de déterminer le taux de semis optimal du tournesol. Le projet a été réalisé conjointement avec le secteur bioalimentaire de transformation afin de s’assurer de l’adéquation entre la production de tournesol oléique et la demande en huile. Ainsi, le projet a impliqué trois huileries québécoises artisanales biologiques (Huilerie Arôme des champs, Ferme Améroquois commercialisé sous les Huiles Champy et la Ferme Pré Rieur), des producteurs agricoles en grandes cultures biologiques et des semenciers dans une démarche collaborative afin de bénéficier à l’ensemble de ce secteur. Ce Projet est financé par l’entremise du Programme Innov’Action en agroalimentaire, en vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec
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