Rethinking Methane
Explication simple par le chercheur de l’Université Davis de Californie que le bilan est neutre en production bovine même en tenant compte du méthane.
- Noter que vous pouvez obtenir une traduction des échanges en utilisant la touche forme de clavier (au bas de l'écran) et la touche en forme de roue de tracteur (paramètres) pour choisir la langue désiré Contrairement à ce que des militants projettent, l’élevage du bétail ne fait pas partie de la problématique du réchauffement climatique, mais bien de la solution. C’est le résultat des études menées par le Clarity and Leadership for Environmental Awareness and Research Center (CLEAR Center) de l’Université Davis en Californie (UC Davis). Tiré de lebulletin.com – par Marie-Josée Parent – Publié le 4 décembre 2020
| Traduction et adaptation libre par la rédaction | Le directeur du centre, le professeur Frank Mitloehner a présenté une conférence intitulée La réalité et la fiction concernant l’impact du bétail sur la qualité de l’air et le climat lors du Porc Show, le jeudi 3 décembre 2020. Les idées véhiculées par les opposants à l’élevage est que le bétail produit plus de gaz à effets de serre que le transport. Frank Mitloeher a d’ailleurs eu à ce sujet de bonnes discussion avec la FAO qui a publié en 2006 le livre Livestock’s Long Shadow. Il y est écrit que « le secteur de l’élevage est un acteur important, responsable de 18% des émissions de GES mesurées en CO2e. Cette part est plus élevée que celle du transport. » Selon Frank Mitloehner, les équivalents de CO2 ne devraient pas être utilisés pour comparer le transport et l’élevage. Premièrement, dans le cas des élevages, tout le cycle de vie a été utilisé. Dans le cas du transport, seulement les émissions de CO2 ont été prises en compte. Mais ce n’est pas tout. Le principal gaz émis par l’élevage est le méthane qui a un potentiel de réchauffement climatique de 28 fois celui du CO2. Or, l’élevage a un cycle de vie qui inclut le recyclage de ce méthane, ce qui n’est pas du tout le cas par l’industrie du transport. L’animal émet du méthane qui reste 10 ans dans l’atmosphère. Après, ce gaz est transformé en CO2 qui est absorbé par les plantes qui nourriront les animaux. Dans l’industrie du transport, le pétrole est extrait du sol et le CO2 est émis sans aucun retour au sol. Le CO2 s’accumule sans cesse dans l’atmosphère.
- Noter que vous pouvez obtenir une traduction des échanges en utilisant la touche forme de clavier (au bas de l'écran) et la touche en forme de roue de tracteur (paramètres) pour choisir la langue désiré Contrairement à ce que des militants projettent, l’élevage du bétail ne fait pas partie de la problématique du réchauffement climatique, mais bien de la solution. C’est le résultat des études menées par le Clarity and Leadership for Environmental Awareness and Research Center (CLEAR Center) de l’Université Davis en Californie (UC Davis). Tiré de lebulletin.com – par Marie-Josée Parent – Publié le 4 décembre 2020
| Traduction et adaptation libre par la rédaction | Le directeur du centre, le professeur Frank Mitloehner a présenté une conférence intitulée La réalité et la fiction concernant l’impact du bétail sur la qualité de l’air et le climat lors du Porc Show, le jeudi 3 décembre 2020. Les idées véhiculées par les opposants à l’élevage est que le bétail produit plus de gaz à effets de serre que le transport. Frank Mitloeher a d’ailleurs eu à ce sujet de bonnes discussion avec la FAO qui a publié en 2006 le livre Livestock’s Long Shadow. Il y est écrit que « le secteur de l’élevage est un acteur important, responsable de 18% des émissions de GES mesurées en CO2e. Cette part est plus élevée que celle du transport. » Selon Frank Mitloehner, les équivalents de CO2 ne devraient pas être utilisés pour comparer le transport et l’élevage. Premièrement, dans le cas des élevages, tout le cycle de vie a été utilisé. Dans le cas du transport, seulement les émissions de CO2 ont été prises en compte. Mais ce n’est pas tout. Le principal gaz émis par l’élevage est le méthane qui a un potentiel de réchauffement climatique de 28 fois celui du CO2. Or, l’élevage a un cycle de vie qui inclut le recyclage de ce méthane, ce qui n’est pas du tout le cas par l’industrie du transport. L’animal émet du méthane qui reste 10 ans dans l’atmosphère. Après, ce gaz est transformé en CO2 qui est absorbé par les plantes qui nourriront les animaux. Dans l’industrie du transport, le pétrole est extrait du sol et le CO2 est émis sans aucun retour au sol. Le CO2 s’accumule sans cesse dans l’atmosphère.