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Q&R BCEE - Charge fertilisante de phosphore laissée au pâturage

Base de connaissances effluents d'élevage

QUESTION : Nous voulons confirmer le calcul de la charge associée aux déjections produites au pâturage pour les cas où une fraction du cheptel va au pâturage; lorsque certaines catégories d’animaux demeurent à l’intérieur. Est-il acceptable de considérer le résultat de la caractérisation pour représenter les déjections produites pendant la claustration et d’y ajouter la charge calculée avec les valeurs de référence du CRAAQ pour prendre en considération la production au pâturage? La charge totale produite sur le site et considérée dans le bilan P serait donc la somme du résultat de la caractérisation et d’une valeur théorique pour la production au pâturage. Serions-nous mieux de considérer un certain pourcentage de notre charge caractérisée comme étant représentative de la production au pâturage? Par exemple, s’il y a 300 kg de P2O5 au pâturage sur une production de 3000 kg calculée avec les valeurs de références, il y a donc 10 % de la charge théorique produite au pâturage. Nous pourrions donc supposer que 10 % de la charge caractérisée va aussi au pâturage.


RÉPONSE : Dans le cas que vous présentez, il peut y avoir deux situations mais trois façons d’établir la production annuelle de phosphore selon la situation décrite. La première situation, lorsque l’ensemble du cheptel va au pâturage pendant un certain nombre de jours. Dans ce cas, la valeur issue de la caractérisation des fumiers illustre la production de phosphore pendant la période de claustration. Il suffit donc de ramener cette valeur pour une durée de 365 jours afin d’illustrer la production annuelle de phosphore. Un exemple de cette situation est présenté sur la Base de connaissances effluents d’élevage au lien suivant : Rapport de caractérisation - cas no 2 (vache-veau) Rapport de caractérisation: 4 études de cas à titre d'exemples pour les agronomes. La seconde situation, lorsque seulement une partie du cheptel va au pâturage pendant un certain nombre de jours, par exemple les génisses : • Une première façon consiste alors à utiliser la valeur issue de la caractérisation des fumiers pour établir la production de phosphore du cheptel élevé en claustration. Pour évaluer la production annuelle de phosphore du lieu d’élevage, il suffit d’y ajouter la production de phosphore produite au pâturage, pour les catégories d’élevage concernées, à partir de la valeur référence du CRAAQ 2003; • Une autre façon de faire serait de procéder à partir du pourcentage de phosphore laissé au pâturage, établi à partir de la référence CRAAQ 2003, et d’utiliser ce pourcentage en combinaison avec la valeur réelle caractérisée.
 

Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage.


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Auteur(s) : Comité de coordination effluents d’élevage
Date de publication : 25 mars 2014

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