Trois-Rivières — Quoi de plus désagréable que d’ouvrir son sac de pommes de terre pour constater que plusieurs ont commencé à germer ou à pourrir, parfois alors qu’on l’a acheté récemment? Une étudiante de l’UQTR s’est penchée sur ce problème et a trouvé une façon prometteuse de retarder ces phénomènes en utilisant... des résidus forestiers.
Ce projet de recherche est supporté financièrement par l’Accélérateur du CRPTQ.
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