L'efficacité de reproduction est l'un des plus importants facteurs qui affectent la rentabilité d'un troupeau de vaches-veaux. Et la fertilité du taureau en est l'élément-clé. On sait que la fertilité du taureau est influencée par plusieurs facteurs comme la génétique, la nutrition, l'âge et la constitution corporelle. De récentes recherches ont indiqué des associations non souhaitables entre l'amélioration de l'efficacité alimentaire et les traits de fertilité des jeunes taureaux de boucherie. Il en découle un problème de taille, car l'amélioration de l'efficacité alimentaire est le principal objectif des systèmes d'élevage des bovins de boucherie. Lire la suite

Bilan de production établi à partir du Programme d’analyse des troupeaux de boucherie du Québec sur la période de 1996 à 2013. Ce rapport comporte trois sections. La première section présente des analyses et des résultats pour les cinq principales races rencontrées au Québec avec leurs croisements dominants pour des caractères de reproduction, de naissance,  de croissance et d’abattage. La deuxième section compare les données de reproduction, de naissance, de croissance et de vente incluant les taux de mortalité en présevrage selon les saisons de vêlage pour les profils race pure et des sujets croisés. La troisième section est une simulation des retombées économiques en lien avec les niveaux de performances techniques des entreprises participantes au programme pour trois caractères mesurés d’importance pour ce secteur. Lire la suite

  Si dans le précédent numéro de Bovins (automne 2007, pp. 17-18), nous faisions état de l’importance de savoir évaluer visuellement certains caractères de conformation pour lesquels des ÉPD n’existent pas, le présent article a plutôt comme objectif de remettre en question une façon de faire répandue consistant à présumer de la facilité de vêlage ou de l’aptitude laitière en se référant à l’apparence plutôt qu’aux ÉPD. Lire la suite

Certains types de bruit sont une source de crainte pour le bétail. La peur engendre le stress chez les bovins accentuant les difficultés de manipulation. Les bovins stressés se blessent plus souvent et ont plus de meurtrissures donnant de la viande à coupe sombre. En outre, le stress réduit le gain de poids, supprime la réponse immunitaire et nuit au fonctionnement du rumen. En réduisant ou en éliminant les bruits les plus redoutés par les bovins, les éleveurs peuvent réduire grandement les effets négatifs du stress causé par la peur. Lire la suite

À quel moment doit-on sortir les vaches au pâturage pour la première fois, au printemps? Peut-être ne le saviez-vous pas, mais le choix de cette date a un impact majeur sur le succès de vos pâturages. Un repère facile : il est préférable d’envoyer les vaches dehors quand la pelouse est prête à être coupée. Les pâturages sont alors peu garnis, mais on diminue les risques d’indigestion et la transition est plus facile. Pour compléter l’alimentation des bêtes, on leur donne accès à du foin sec ou demi-sec, le même que celui qu’elles ont consommé dans les jours précédant la paissance. C’est certain que les clôtures doivent déjà être en place. Il faut privilégier les tiges de métal rondes coupées aux 4 pieds (celles qu’on fixe dans le ciment), car elles s’installent facilement. On les enfonce aisément dans le sol en frappant sur la tige de fer avec un bout de tuyau de métal fermé au bout. Vous n’avez donc pas besoin de la masse à clôture. Il faut aussi opter pour des isolateurs faciles à installer ; ils coûtent un peu plus cher, mais ils durent longtemps. Lire la suite

La kératoconjonctivite bovine infectieuse (pink-eye) se manifeste chez plusieurs veaux, tant au pâturage qu’en parc d’engraissement au cours de l’été et en début d’automne de chaque année. L’épidémiologie de cette maladie étant complexe, la lutte se révèle éprouvante pour bon nombre de producteurs.

Tiré de  "Tout pour réussir son installation" principes de comportement pouvant d'appliquer avec le travail d'un chien avec l'élevage bovin. Les exploitations ovines ne peuvent plus aujourd’hui se passer des nombreux services rendus par un chien de conduite efficace. Avec son aide, rassemblement, déplacement des animaux, rentrée en bergerie, passage dans le couloir de contention, embarquement des agneaux…le chien assure un confort incontestable sur les différentes interventions. Il permet à l’éleveur d’être autonome et réactif, de gagner du temps, de réduire la pénibilité des tâches, de gagner en sécurité… et dans un même temps, le bien être du troupeau s’en trouve amélioré. Lire la suite

Séminaire en sciences animales à l'Université Laval. Résumé des pratiques optimales entre le colostrum maternel et le colostrum en poudre et les méthodes d'alimentation (sous la mère, bouteille à suce et gaveuse). Basé sur des articles scientifiques, s'applique aussi pour le veau de boucherie.